Sinopharm est un vaccin mis au point par le groupe pharmaceutique national en Chine et reconnu par l’OMS depuis quelques mois. Un vaste essai clinique a montré que deux doses, administrées à intervalle de 21 jours, ont une efficacité de 79 % contre une infection symptomatique et contre les formes graves du coronavirus. Comme tous les vaccins, il faut attendre 14 jours ou plus, après la deuxième dose pour en sentir les effets. Les effets secondaires sont classiques : fièvre passagère et courbatures après injection.
Initialement, ce vaccin est destiné aux individus âgés de 18 ans et plus, mais depuis le mois de juillet, certaines provinces de Chine utilisent aussi le Sinopharm sur un groupe d’âge plus jeune, entre 3 à 17 ans. Jusqu’à ce jour, l’OMS n’a pas encore évalué son efficacité contre les nouveaux variants notamment le variant Delta.
Inona no tsara ho fantatra momba ilay vaksiny Sinopharm ?
Izy io dia vaksiny novokarin’ny groupe pharmaceutique national any Sina, ary efa neken’ny sampandraharahan’ny firenena mikambana misahana ny fahasalamana. Andrana iray lehibe no nahitana fa fatra roa, mielanelana 21 andro, no ilaina amin’ny vaksiny Sinopharm. 79% ny fiarovana omeny amin’ny tranga tsotra sy tranga atahorana. Tahaka ny vaksiny rehetra kosa dia miandry 14 andro aorian’ny fatra faharoa vao tena hita ny asany ao amin’ny vatany. Mety ho voan’ny tazo vetivety na mahatsapa fanaintaninana ny olona avy nitsindrona ny vaksiny.
Tany am-boalohany dia natokana ho an’ny olona 18 taona no mihoatra ny Sinopharm. Saingy nanomboka tamin’ny volana jolay teo dia nisy faritany sasany tany Sina nanao andrana ny vaksiny tamin’ny ankizy 3 hatramin’ny 17 taona. Hatreto aloha dia tsy mbola voamarina fa mandaitra ity vaksiny ity amin’ireo fiovan’endrika vaovao, toy ny variant delta.
« En 61 ans d’Indépendance, Madagascar a connu neuf ou dix crises politiques. Notre démocratie est encore jeune et la paix est encore fragile », explique le président du Conseil du Fampihavanana Malagasy, Maka Alphonse. Pourtant, la politique n’est pas la seule source de conflit à Madagascar. Il y a aussi les conflits générés par les politiques économiques, sans oublier ceux hérités de l’histoire sanglante de la période de la royauté malgache. Tout cela a fait en sorte que l’unité nationale est encore très fragile à Madagascar, selon Maka Alphonse, ce qui rend difficile la prévention des conflits dans le pays.
« Tao anatin’ny 61 taona nahaleovantena dia nandalo krizy ara-politika miisa sivy na folo eo Madagasikara. Mbola tanora kely ny demokrasia eto amintsika ary mbola marefo ny fandriam-pahalemana », hoy ny filohan’ny komitin’ny fampihavanam-pirenena, Maka Alphonse. Tsy ny politika ihany anefa no mety hipoiran’ny disadisa eto Madagasikara. Eo ihany koa ireo disadisa mety hateraky ny fitantanana ara-toekarena, ary tsy azo adinoina ny disadisa nolovaina tamin’ny tantara nampadriaka ny rà nandritra ny andron’ny fahampanjaka. Noho izany rehetra izany dia marefo tokoa ny firaisam-pirenena eo amin’ny samy malagasy hoy Maka Alphonse. Izany no isan’ny manasarotra ny fisorohana ny disadisa eto amin’ity firenena ity.
Il s’appelle Gabriel Rakotoniaina. Il est à moitié malgache, à moitié suisse. Il n’a jamais vécu à Madagascar mais vient d’y lancer pas une mais trois entreprises cette année. Interview de ce technicien qui découvre non seulement l’entrepreneuriat mais aussi l’administration malgache.
Studio Sifaka : Pouvez-vous parler de votre parcours en quelques mots ?
Rakotoniaina Gabriel : Je suis métis. Mon père est malgache et ma mère est suisse . Je viens de m’installer à Madagascar. J’ai 20 ans d’expérience en procédé industriel complexe. J’ai travaillé 10 ans dans l’industrie du gaz et du pétrole comme spécialiste opération dans une raffinerie de pétrole, la dernière raffinerie en exploitation en Suisse où on raffinait 9.000 tonnes de pétrole par jour. J’ai également travaillé 5 ans comme technicien en cryogénie au CERN à Genève, l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire, dans le département technologie section cryogénie où on s’occupait des plus grosses installations cryogéniques du monde sur l’accélérateur de particules. Je suis venu à Madagascar pour apporter mon expérience et mon savoir-faire à l’industrie malgache à travers Rakotomatic Consulting.
Pourquoi ce retour à Madagascar ?
Ce n’est pas un retour. C’est un aller. Je n’ai jamais habité à Madagascar. J’ai grandi en Suisse. Je suis venu plusieurs fois en vacances à Madagascar. Je me suis rendu compte qu’il y a vraiment beaucoup de choses intéressantes, que ce soit au niveau de la matière première ou au niveau des choses qu’on trouve qui sont uniques à Madagascar. Il y a aussi la volonté de contribuer à l’évolution en apportant mes connaissances et mon savoir-faire. Par exemple, je suis en contact avec la Jirama pour le traitement des eaux. Ils m’ont demandé si je connaissais des solutions pour la désinfection de l’eau. Disons que c’est quelque chose qui me tient à cœur de pouvoir améliorer des processus à Madagascar et de ce fait, améliorer la qualité de vie des Malgaches. En somme, je veux apporter mes connaissances dans des industries qui sont en développement mais également sensibiliser à la pollution, à l’environnement et à la sécurité.
Quel a été le déclic ?
En Suisse, pour créer une entreprise comme celle-ci, les besoins d’argent sont beaucoup plus importants. A Madagascar, ça coûte quand même beaucoup moins cher de pouvoir mettre en place des choses comme ça. C’est grâce à cette opportunité que j’ai fait le choix d’essayer de développer mes activités ici à Madagascar.
On se plaint souvent de la lenteur administrative à Madagascar. Comment cela s’est passé pour vous ?
Malgré que j’aie un passeport suisse et un passeport malgache, je n’ai jamais vécu à Madagascar avant le mois d’avril. En ce sens, c’est à moi de m’adapter. Je viens de perdre mes papiers. On s’est fait voler. J’ai perdu mes chéquiers. J’ai fait le nécessaire à la banque pour bloquer. Cela fait deux jours mais on est encore en train de régler des choses. En Suisse, si vous perdez votre carte de banque ou votre chéquier, un coup de téléphone et c’est fait. Pour moi, c’est compliqué de devoir faire face à ce genre de situation. Mais c’est moi qui suis venu, je suis obligé de faire avec le système qui est ici. Seulement, l’adaptation demande des ressources. Je me suis bien énervé pendant deux jours parce qu’il fallait aller à la banque, signer des choses, pourtant il y a la FIM (Foire internationale de Madagascar). C’est notre première participation. J’ai besoin d’être présent sur le terrain. Finalement, c’était long et pénible mais disons que c’est à moi de m’adapter.
Mais vous avez lancé trois entreprises d’un coup …
C’est vrai que c’est un choix un peu ambitieux mais disons que diversifier les activités, c’est aussi voir les opportunités qui marchent. On verra par la suite comment on va pouvoir gérer et faire développer nos activités respectives et peut-être qu’on devra prioriser un choix. Donc on est encore en phase de test. On prend encore la température sur le terrain et on fera le bilan à la fin pour voir où est-ce qu’on peut mettre notre énergie et nos ressources.
Quelles sont les entreprises que vous avez lancées ?
Il y a Rakotomatic Consulting, c’est tout ce qui est industrie technique et procédés industriels. Il y a DNA Genetic avec notre slogan « Design it for new generation » qui fait des vêtements. On a une marque, Virus 2.0, qui a été créée en Suisse et qu’on est en train de déposer à Madagascar. La troisième entreprise, c’est Amada DNA qui est une société qui va exporter des huiles essentielles et de la vanille de Madagascar. On y a aussi intégré l’artisanat malgache. Comme je viens de la Suisse et que je connais bien la Suisse, on vise le marché suisse, dans un premier temps. On verra si on peut aller à l’international. On prend le pouls et la température parce qu’il y a beaucoup de démarches administratives avec les différents ministères. On doit se familiariser avec tout ça. Je ne suis pas entrepreneur, je suis technicien. Je viens de l’industrie. J’ai toujours été employé par un patron et là j’ai changé de fonction. Aujourd’hui, je suis directeur de mes trois sociétés et je suis en phase d’apprentissage.
Combien de temps cela vous a-t-il pris ?
Nos sociétés sont officiellement nées au mois de juillet. Ça nous a pris deux mois, quasiment à plein temps, avec mon équipe pour faire toute la partie administrative. Ce n’est pas ma spécialité l’administratif mais on est là maintenant. On essaie de trouver nos marques et de nous faire une place.
Propos recueillis par Tolotra Andrianalizah
Maux de têtes, vertiges, fatigue… des jeunes témoignent de leurs sensations après réception de 2 doses d’AstraZeneca. Selon les experts, tout vaccin peut provoquer des effets secondaires, qu’ils soient légers ou conséquents. Les effets secondaires du vaccin contre le coronavirus peuvent être de légers malaises. Les docteurs Maryse Rambaud-Debout, médecin dans une maison de retraite en France et Edinam Agbenou, résponsable de la sécurité vaccinale de l’OMS Afrique expliquent ces effets secondaires du vaccin.
Aretin’andoha, fanimpanina, vizambizana… mitantara ireo zavatra tsapany taorian’ny nanaovany vaksiny fatra roa an’ny AstraZeneca ireto tanora. Mety ho malefaka ihany ny fiantraikan’ny vaksiny. Araka ny voalazan’ireo manampahaizana, ny vaksiny rehetra dia mety misy fiantraikany avokoa, na malefaka izany na mahery. Manome fanampim-panazavan ny amin’izay fiantraikan’ny vaksiny miady amin’ny coronavirus izay ny dokotera isany : Maryse Rambaud-Debout, mpitsabo ao amina trano fisotroan-dronono iray any Frantsa, sy i Edinam Agbenou, miandraikitra ny filaminan’ny fanaovam-bakisiny ao amin’ny sampandraharahan’ny firenena mikambana misahana ny fahasalamana any Afrika.
Nivoaka ny 17 Septambra teo ilay gazety siantifika « Ilontsaina ». Tanjona ny hampifanakaiky ny tontolon’ny fikarohana amin’ny fiainana andavanandro sy hahazoan’ny daholobe izany. Fa eo ihany koa ny fahafahan’ireo mpianatra mpikaroka na ireo manomana ny “doctorat” mamoaka ny asa soratr’izy ireo izay mifandray amin’ny fikarohana ataony. Omena lanja araka izany ireo fikarohana mba hahafahany mandray anjara amin’ny fampandrosoana. Manana ny komity siantifika manokana ny gazety siantifika hoy ny tomponandraikitry ny serasera ao amin’ny Centre Arrupe, Andriamampianina Manda. Komity izay hivondronan’ireo Profesora sy Dokotera amina sehatra maro samy hafa toy ny sosialy, teknolojia, siansa sns. Manana ny mampiavaka azy ihany koa ny lahatsoratra siantifika, izany hoe manaja ireo fenitra angatahana amin’ny fikarohana.
La revue scientifique « Ilontsaina » a été présentée le 17 septembre 2021. L'objectif est de rapprocher le monde de la recherche avec la vie quotidienne mais aussi de le rendre plus accessible au public. Elle se présente aussi en tant qu’opportunités pour les étudiants-chercheurs ou les doctorants de publier leurs travaux de recherche. L’objectif est ainsi de valoriser les recherches scientifiques pour qu’elles puissent contribuer au développement du pays. La revue scientifique dispose d'un comité scientifique spécial, a affirmé le responsable en communication du Centre Arrupe Madagascar, Andriamampianina Manda. Ce comité regroupe des professeurs et des docteurs dans divers domaines tels que le social, la technologie, la science, etc. Les articles scientifiques ont aussi leur propre particularité, respectant les démarches et méthodologies scientifiques.
La dématérialisation des procédures administratives de marchés publics est désormais possible via la plateforme en ligne E-GP, qui a officiellement été remise à l'Autorité de Régulation des Marchés Publics, le 17 septembre dernier.
L’autorité de régulation des marchés publics (ARMP) peut désormais se lancer le défi d’une meilleure gestion à partir de e-GP ou e-government procurment. Une solution face aux sommes avec lesquelles elle jongle, si l’on ne prend exemple que sur les chiffres de 2020, élevés à plus de 462,5 millions d’USD, soit environ 1.800 milliards d’ariary, d’après le site officiel de l'ARMP.
Auparavant, 70% des processus de passation et d’exécution de marchés publics se faisaient via des demandes manuscrites et des validations manuelles et 30% des dossiers restants étaient traités sous le logiciel système informatisé de gestion des marchés publics ou le SIGMP. E-GP compte répondre aux besoins en facilitation du suivi de l’avancement des dossiers et en automatisation des différentes étapes de passation et d’exécution des marchés publics.
Innovation technologique et transparence
Cette innovation technologique permet également à l’ARMP de se mettre au diapason face à la modernisation de l’administration d’une part, mais aussi d’éviter les bavures et mauvais traitements, d’autre part. « La conception de cette plateforme en ligne tient compte des défis que l'ARMP souhaite relever, entre autres, la diminution des risques de corruption (traçabilité avec login unique), la diminution des paperasses, l’amélioration de la transparence, l’accroissement du nombre de candidats à chaque avis spécifique, et l’accroissement de l’égalité des chances des candidats aux soumissions », a affirmé le Directeur Général de l'ARMP, Razafy Harison Vonjy.
Pour sa part, la ministre de l’économie et des finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison de souligner que « Madagascar se conforme à une norme internationale de commande publique ».
D’ailleurs, des échanges de données entre les différentes entités impliquées dans le processus de passation de marchés comme la Commission Nationale des Marchés, la Banque Centrale de Madagascar, la Direction Générale des Impôts, la Direction Générale du Trésor, les banques primaires et les opérateurs en mobile Banking font également partie des fonctionnalités de e-GP.
Par principe d’inclusion, les opérateurs économiques, le secteur privé peuvent désormais effectuer leurs soumissions par voie électronique tout comme la société civile peut également consulter les marchés publics qui passent par l’Administration publique.
Linda Karine
Cette année, l’écologie a particulièrement été représentée sous plusieurs aspects, lors de la 15ème édition de la FIM. L’initiative Barika design y a contribué.
Les gestes écologiques de certains peuvent faire le bonheur des autres. C’est ce que Randrema Hasina, gérante de Barika design, prône dans son initiative à la fois lucrative et écologique dans ses activités de recyclage de barriques en métal pour en faire des mobiliers de maison.
En trois années d’activité, Barika Design est devenue une structure spécialisée dans le traitement de « barika » ayant déjà été utilisés, pour en faire des fauteuils, canapés, sièges individuels, tables basses, etc…. Randrema Hasina et son équipe veulent « attirer l’attention sur la possibilité de pouvoir faire du ‘’vita malagasy’’ et en même temps de rappeler aux Malgaches l’importance d’opter pour le recyclage ».
Initiative écologique
Selon elle, à Madagascar, « on a tellement de déchets métalliques alors que le recyclage est à portée de main et permet de booster la créativité ». En récupérant les métaux jetés et en les réutilisant à d’autres fins, il est possible de favoriser les initiatives écologiques. Son équipe s’attèle aux tâches de transformation de déchets de barils d’huile vides, parfois selon les goûts des clients, du retapage au capitonnage jusqu’à la peinture de divers meubles. Elle d’ajouter que « les Malgaches ne doivent pas lésiner sur les opportunités de montrer le savoir-faire qu’ils possèdent car ils ont la capacité de produire de très belles œuvres ».
Randrema Hasina soutient que, pour l’instant, les représentations écologiques de Barika design se focalisent sur les barriques en métal mais qu’elle compte bien recycler d’autres types de déchets afin de réduire l’empreinte du fer à Madagascar. Elle de conclure que « la concurrence est positive dans ce secteur » car l’objectif est le même : ne pas aggraver la situation actuelle de pollution qui menace la Terre.
Linda Karine
Malgré la distance géographique, le défi climatique n’effraie pas la jeunesse solidaire. L’association franco-malgache Tilane se lance dans des actions de préservation de l’environnement à Madagascar.
De plus en plus de jeunes se mobilisent pour lutter contre les changements climatiques. La présidente de l’association Tilane, Orlane Rajaoarisoa, n’est pas en reste. Tout juste âgée de 21 ans, c’est en souffrant d’insomnie lors du premier confinement que l’idée de créer Tilane, lui est venue à l’esprit.
Avec actuellement 40 membres actifs en France et à Madagascar, Tilane dispose de deux branches. La première est une branche sociale dénommée Vatsy à partir de laquelle ils accompagnent un orphelinat Felana Maitso. L’association s’occupe des travaux de rénovation des salles de classe, des sanitaires et subvient aux besoins alimentaires des orphelins. La deuxième branche qui est plutôt environnementale est appelée Tanàna soa. Elle vise à sensibiliser la population à la réduction des déchets, à l’économie circulaire, à la propreté des quartiers avec un nettoyage tous les deux mois.
Orlane Rajaoarisoa affirme être « vachement touchée par la cause environnementale » et que cela lui tient à cœur de porter un projet basé sur l’environnement. Raison légitime à ses yeux pour ne pas arrêter de s’activer. Depuis août dernier, Tilane a lancé le programme Mavana.
Mavana
Le projet Mavana de l’association Tilane est co-financé à hauteur de 5.000 € par la Fondation pour la Nature et l'Homme et est appuyé par le consortium Génération Climat Madagascar, FACT Madagascar et Tetikasa Ala.
Mavana travaille sur deux tableaux. Outre améliorer les conditions de nutrition des 72 enfants de l’orphelinat qui les héberge et qu’ils ont créé, le projet a pour objectifs d’effectuer des campagnes pour sensibiliser la population malgache à l’éducation environnementale afin de limiter les dégâts du changement climatique à Madagascar.
L’initiation des orphelins à la culture autosuffisante en parallèle à l’aide alimentaire qui leur est fournée, est accompagnée de sensibilisation à la réduction des déchets à travers la transformation des déchets destinée à tous les Malgaches.
Dans l’ambition d’acheter 400 m2 de terre pour permettre un jardin potager et un poulailler, Mavana amènera les enfants à apprendre à cultiver mais aussi à apprendre l’autosuffisance vie des pratiques écoresponsables. La récupération de l’eau de pluie pour arroser le potager, la mise en place d’un bac à compost pour servir d’engrais naturel pour le potager, pousseront les enfants de changer de mentalité et de comportement. Lorsqu’ils atteindront l’âge adulte, ces enfants pourront à leur tour sensibiliser leurs pairs et sur le long terme, cela permettra de réduire les effets du réchauffement climatique.
Linda Karine