COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

lundi, 27 septembre 2021 11:55

Journal du 27 septembre 2021

  • Nanomboka androany ny fanaovana vaksiny miady amin’ny COVID-19 any Morombe
  • Manana hery fiarovana hiadiana amin’ny COVID-19 matanjaka kokoa ireo izay efa voa ka nanao vaksiny avy eo
  • Adidin’ny olom-boafidy sy ny olom-boatendry ny tamberin’andraikitra fa andraikitry ny olom-pirenena ny mitaky ny fanatanterahana azy
  • Extractivisme : fomba famokarana sy fampandrosoana ny toekarena mifototra amin’ny fitrandrahana ny harena voajanahary mihoatra amin’ny tokony ho izy

lundi, 27 septembre 2021 11:18

Journal des régions du 27 septembre 2021

    • Fianarantsoa : mitokona ny SECES ao amin’ny oniversite an’Andrainjato
    • Morondava : efa misokatra ny Akany Toro Zo
    • Toliara : nanaitra ireo vehivavy handray anjara amin’ny fifidianana ny EISA
    • Matsiatra Ambony : lozam-pifamoivoizana no nitranga tao Anteza Ambohimahasoa ny 25 septambra alina

  • Fianarantsoa : le SECES en grève à l’université d’Andrainjato
  • Morondava : l’Akany Toro Zo est ouvert au public
  • Toliara : l’EISA sensibilise les femmes sur l’importance de leur participation aux élections
  • Matsiatra Ambony : accident de voiture à Anteza Ambohimahasoa le 25 septembre dernier

« Il n’y a pas de développement sans sécurité ». Tels ont été, mot pour mot, les aspirations et objectifs du Secrétaire d'État à la Gendarmerie, le Général de Division Serge Gellé, lors de l'atelier portant sur la capitalisation des acquis et des démarches d’intervention en fin août, à l’hôtel Colbert.

C’est en vue d’un meilleur renforcement des capacités des organes de contrôle interne des forces de défense et de sécurité que cet atelier a eu lieu. Mais ce n’est pas tout car il a également pour objectif de se concentrer particulièrement sur les principes de droits de l’Homme et de l’État de droit. En outre, c’est aussi pour améliorer le protocole d’intervention dans l’application et le contrôle des mesures d’ordre public liées à la gestion de la crise générée par la pandémie de COVID-19.

Lors de l’atelier, il a été rappelé que la mission des forces de défense et de sécurité repose sur une prise en compte de la consolidation de la paix et du respect des droits humains, dans les différents rôles à jouer par l'armée, la gendarmerie et la police. Pour un meilleur vivre ensemble, les forces de l’ordre doivent garder en tête qu’ils œuvrent pour protéger les institutions, la population et leurs biens.

Mieux fédérer pour une paix durable

A l’issue des ateliers de formation des représentants des organes de contrôle interne des forces de défense et de sécurité ayant eu lieu en juin dernier à Antananarivo, Mahajanga et Toamasina et des missions de suivis effectuées, cette initiative entend préciser qu’instaurer un climat de sécurité est l’affaire de tous. En priorisant les droits humains, l’objectif de « vivre en sécurité » ne relève pas uniquement des forces de défense et de sécurité : l'État, les représentants de l'État, les institutions et chaque citoyen peut favorablement y contribuer.

Lors de cet atelier, les hauts cadres et points focaux des Organes de contrôle interne aux niveaux de l'armée, de la gendarmerie et de la police ont mis en lumière les diverses démarches suivies dans la mise en œuvre des mesures d'exception pour faire face à la COVID-19 en tenant compte des aspects des droits humains et formulé des recommandations sur les méthodes d’approches et protocoles d’intervention, dans l’application des mesures d’ordre public en situation de crise.

« Consolider et accélérer les acquis de la Paix à Madagascar durant la crise de la COVID-19 ». C’est dans un objectif de paix durable pour tous les acteurs nationaux que le Programme des Nations Unies pour le Développement et le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la paix ont lancé cette initiative.

Le Représentant résident adjoint du PNUD, Henry René Diouf, de préciser l’importance de la démarche avec les forces de défense et de sécurité à Madagascar. « Des mesures d’ordre public dont des restrictions ont été décrétées par le gouvernement malgache pour lutter contre la pandémie de COVID-19. Ce qui nous a amené à nous soucier du respect des droits de l’Homme dans l’application de ces mesures et de mitiger les risques d’abus, de violences et de corruption pendant les interventions auprès de la population ».

Linda Karine

samedi, 25 septembre 2021 06:59

Journal des régions du 25 septembre 2021

  • Menabe : tokony mirona amin'ny fehezina ny fambolena anaty ala arovana
  • Fianarantsoa : hampitsahatra ny fampianarana rehetra ny SECES manomboka ny alatsinainy 27 septambra izao
  • Vakinankaratra : hisy ny birao manokana handrindra ny famokarana ronono ao an-toerana
  • Diana : nahazo rafi-baiko entina manatsara ny fomba fiasany ireo tribonaly telo ao an-toerana
  • Voarara ny fanjonoana sy ny fivarotana oratsimba manomboka ny voalohan'ny volana oktobra 2021 ao Atsinanana, Analanjirofo, SAVA, DIANA, Sofia, Boeny, Melaky, Menabe ary Atsimo Andrefana

  • Menabe : vers la maîtrise des cultures ravageant l’aire protégée
  • Fianarantsoa : les activités pédagogiques seront suspendues à parti du 27 septembre
  • Vakinankaratra : une plateforme lait pour coordonner les productions et commerces de lait
  • Diana : les trois tribunaux de la région ont chacun été doté d’un logiciel pour améliorer les services internes et fournis aux publics
  • Fermeture de la pêche et du commerce de langoustes à partir du début octobre 2021 dans les régions Atsinanana, Analanjirofo, SAVA, DIANA, Sofia, Boeny, Melaky, Menabe et Atsimo Andrefana

La période post-COVID s’annonce plus tendue que jamais pour les portefeuilles. Aucun éclairci à espérer pour le moment sur le front du fret alors que Madagascar importe toujours autant.

On savait que la COVID-19 couvait une crise économique avec le ralentissement des activités. La reprise n’en est pas moins délicate. Ankylosées par deux années de pandémie, les chaînes logistiques du monde entier n’arrivent pas à suivre la relance. Résultat, le fret notamment maritime, a connu une hausse remarquée et remarquable ces derniers mois. « C’est simple. Aujourd’hui, il y a plus de demande que d’opérateurs pouvant fournir le service, lance Asgar Aly, gérant de Midex Madagascar, un acteur du fret aérien et maritime. Quand les pays étaient fermés, il y a eu un gros étranglement. Les containers étaient bloqués dans certains pays donc il n’y a pas eu assez de containers vides. A partir du moment où vous avez moins de capacité, les prix flambent ».

Faiblesse de l’industrie

Verohanta Ratsimbazafy, d’Ariva Logistics, précise que les compagnies maritimes ont commencé à augmenter les prix depuis la reprise des activités en Chine. « Il faut attendre des semaines, jusqu’à deux mois pour trouver un espace. Avant la COVID-19, c’était 1.200 dollars le container de 20 pieds. Maintenant, il fait prévoir jusqu’à 7.000 dollars », fait-elle savoir. La situation risque d’être tendue avec la période des fêtes de fin d’année qui arrive à grands pas. Il faut savoir que 80% des biens consommés dans le monde sont transportés par voie maritime selon les chiffres de la CNUCED (Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement) dont une grande majorité provient d’Asie.

Pour l’heure, aucune éclaircie n’est à prévoir. « Il y a du mieux mais le retour à la normal peut encore prendre du temps. En tout cas, ce n’est pas pour tout de suite. Sincèrement je ne peux pas prévoir », déclare Asgar Aly. Même son de cloche pour Verohanta Ratsimbazafy. « Nous n’avons aucune visibilité. Nous ne savons pas quand cela reviendra à la normale », lance-t-elle. Les experts s’accordent à dire que la tension devrait perdurer dans le courant de 2022.

Cette hausse du fret maritime explique en partie l’augmentation des prix, observée depuis quelques mois, à Madagascar. Elle met le pays au-devant de sa grande dépendance aux importations mais surtout de la faiblesse de son industrie.

Tolotra Andrianalizah

vendredi, 24 septembre 2021 13:42

Journal du 24 septembre 2021

  • Miha mifanakaiky ny toeramponenan’ny olombelona sy ny biby : antony mampifindra ireo aretina « zoonose »
  • Mbola sarotra ny mametraka ny fanajana ny zon’olombelona any am-ponja
  • Antony iray mampiakatra ny vidin’ny entana eto Madagasikara ny fiakaran’ny saran’ny entana sy ny fanafarana azy avy any ivelany

vendredi, 24 septembre 2021 13:30

Infos vues par les jeunes du 24 septembre 2021

Paroles aux jeunes pour s’exprimer sur les actualités marquantes de la semaine. Andoniaina Rajaonarivelo, professeur de physique-chimie, Rasoafara Josette Aline et Ratovelo Mahery, étudiants discuteront :

  • Des différentes sources de conflits et des solutions adéquates.
  • De l’enseignement de la langue malgache en Chine.
  • De la violence dans les réseaux sociaux.

Atolotra an’ny tanora indray ny fitenenana anio, haneho hevitra momba ireo vaovao nisongadina nandritra ity herinandro ity i Andoniaina Rajaonarivelo, mpampianatra physique-chimie, Rasoafara Josette Aline sy Ratovelo Mahery, samy mpianatra. Ireto avy no lohahevitra ho resahin’izy ireo mandritra izany :

  • Ireo tranga mitarika disadisa eny amin’ny fiaraha-monina.
  • Fampianarana ny teny malagasy any Sina.
  • Herisetra any anatin’ny tambazotra sosialy.

Lova Renée a, une fois de plus, fait parler d’elle mais cette fois, la petite star de la période COVID-19 a été la cible de propos haineux.

En cause, ses cheveux dans une de ses vidéos jugés non appropriés dans quelques commentaires. La facebookosphère malgache a vite fait de s’insurger. Se sont multipliés les publications de textes, de photos et de dessins prônant la diversité et dénonçant ce qui s’apparente à une discrimination capillaire. Cet évènement montre le poids des stéréotypes dans la société malgache et la difficulté du vivre ensemble.

Soutien

« Je n’ai plus de complexe par rapport à mes cheveux. Avant, on m’avait bassiné qu’ils n’étaient pas présentables », lance une femme dans une publication, avec plusieurs photos d’elle avec les cheveux au naturel. Elle a réagi en réponse aux propos haineux dont la jeune Lova Renée a été la cible. « C’est important pour moi de soutenir mes petites sœurs et de leur dire que leurs cheveux au naturel conviennent à toutes les occasions. Elles ne doivent changer de coiffure que si c’est leur choix », ajoute-t-elle. Comme cette mère de famille, plusieurs personnes ont fait part de leur indignation.  

« Si on entend toujours des discours sur l'unité nationale à Madagascar, c'est parce qu'il existe une souche de population raciste et bornée, déclare pour sa part un historien sur son compte Facebook. Elle dénigre tout ce qui ne cadre pas avec son humeur et sa volonté ». Au-delà des commentaires désobligeants, cet épisode sur Lova Renée montre à quel point les stéréotypes et autres préjugés continuent d’avoir la vie dure à Madagascar.

Cela touche visiblement tout le monde à Madagascar. D’une entrepreneure native du nord qui rencontre des difficultés à trouver un appartement dans la capitale, à un fonctionnaire originaire des hautes terres qui fait face à des regards défiants à Toamasina. La première s’est plaint qu’un propriétaire lui avait subtilement signifié qu’il ne pouvait la loger à cause des habitudes liées à ses origines. Ce type d’attitude fait en sorte que les malgaches ne tendent pas à se mélanger. Le fonctionnaire, pour sa part, indique ressentir une certaine distance à son égard de la part des autres personnes.         

Tolotra Andrianalizah

vendredi, 24 septembre 2021 12:30

Journal des régions du 24 septembre 2021

    • Ihorombe : hanampy ireo tantsaha hisokatra bebe kokoa amin’ny tsena anatiny sy ivelany ny foaram-paritra LOVOKAHITSY
    • Fianarantsoa : hifarana ny 30 septambra izao ny fitsarana mitety vohitra hanomezana kopia an’ireo zaza tsy manana izany
    • Antsirabe : fankalazana ny andron’ny tanàna an’Antsirabe ho fanarenana ny toe-karena sy fanomezan-danja ny fiaraha-miasa amina tanàna rahavavy any rosia

  • Ihorombe : la foire LOVOKAHITSY est une ouverture de marché interne et externe pour les agriculteurs d’Ihorombe
  • Fianarantsoa : les jugements supplétifs organisés par l’ONG Vozama prendront fin le 30 septembre
  • Antsirabe : la journée de la ville d’Antsirabe contribuera à la relance économique de la ville

La surcharge cognitive survient lorsque le cerveau n’arrive plus à traiter la quantité d’informations qu’il reçoit tant il est saturé. Le docteur Michael Rarison, psychiatre à Espace médical, nous explique que la surcharge cognitive peut engendrer le stress et pousser à la dépression. Il faut donc une hygiène de vie saine et faire des exercices de concentration pour détendre le corps et le mental. Quant à l’Alzheimer précoce, il peut se manifester par des troubles de comportement chez les personnes âgées de moins de 60 ans. Le docteur Andrianiaina Raharison nous explique que toute personne peut souffrir de l’Alzheimer à un âge très avancé.


Voan’ny surcharge cognitive ny atidohantsika rehefa be loatra ny zavatra apidirina ao aminy. Manazava ny dokotera Rarison Michael, mpitsabo saina ao amin’ny espace médical fa mety hahavoa ny rarintsaina izy ity ary mety ho tonga hatrany amin’ny fahaketrehana ara-tsaina an dépression mihitsy aza. Mila tandrovina tsara izany ny fomba fiaina ary mila mampiasa ny fifantohana tsara hahazoan’ny vatana sy ny saina aina. Mikasika ny alzheimer précoce kosa, hita taratra amin’ny alalan’ny fikorontanan’ny fomba fitondran-tena izy ity alohan’ny 60 taona. Manazava ny dokotera Raharison Andrianiana fa tsy maintsy voan’ny Alzheimer daholo ny olona rehetra rehefa tena antitra loatra.

vendredi, 24 septembre 2021 10:36

Les jeux qui stimulent l’intelligence

Façonner sa personnalité pour améliorer ses chances de succès. Cet exercice ne doit pas forcément se passer dans le cadre du travail ou des études. Cela peut très bien être intégré dans les loisirs et ce, dès le plus jeune âge. En effet, il existe plusieurs jeux qui stimulent l’intelligence sous plusieurs aspects comme le puzzle ou le rubik’s cube, ou encore des jeux locaux comme le fanorona ou le katro. Les jeux d’échecs font également partie de cette panoplie. Le président fondateur de l’IKM Chess club, Anja Randrianarivelo, nous explique comment cette discipline aide les joueurs d’échec à forger leur personnalité.


Mamolavola ny maha izy azy ny tena mba hahombiazana bebe kokoa. Tsy voatery hoe rehefa any amin’ny sehatry ny asa na ny fianarana ihany no mizatra amin’izany. Azo ampivadiana tanteraka amin’ny fialamboly tsara mihitsy mantsy izy io, eny na dia hoan’ireo zaza mbola kely aza. Betsaka tokoa ireo kilalao mandranitra ny saina amin’ny lafiny maro toy ny puzzle sy ny rubik’s cube. Na ihany koa ireo kilalao gasigasy toy ny fanorona sy ny katro. Ao anatin’izany kilalao mandrani-tsaina izany ihany moa ny « échec ». Manazava ny fomba hanampian’io kilalao io ny mpilalao azy mba handrafitra ny maha izy azy ny tenany ny filoha mpanorina ny IKM Chess club, Randrianarivelo Anja.

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