Comparable au syndrome des jambes sans repos, le syndrome de l'anus sans repos serait un nouvel effet de la COVID--19. Il a été découvert chez un patient japonais âgé de 77 ans. Lors de son hospitalisation, le patient a développé une gêne et des douleurs anales qui s'intensifient en fin de journée et se calment avec de l'exercice physique. La découverte de ce symptôme a surpris les chercheurs du monde entier, même s’il s’agit d’une première apparition. Le syndrome de l’anus sans repos est une variante du syndrome des jambes sans repos, qui est un trouble chronique caractérisé par un besoin urgent et irrésistible de bouger les jambes, associé à des sensations désagréables comme des picotements, des fourmillements, des tiraillements, une impression de décharge électrique au niveau des membres inférieurs survenant au repos.
Fiantraikan’ny coronavirus vaovao ny « syndrome de l’anus sans repos »
Mitovy amin'ny soritraretin' ilay « syndrome des jambes sans repos » ihany izy io. Fiantraikan’ny COVID-19 vaovao indray ny syndrome de l'anus sans repos. Lehilahy Japoney iray 77 taona no nahitana azy. Nandritra ny fitsaboana azy tany amin'ny hopitaly, tsy nahazo aina izy noho ny fanaintainana tsapany tao amin’ny lavaka fivoahan’ny diky isaky ny hariva, saingy mitsahatra kosa izany rehefa avy mampiasa vatana izy. Vao sambany no nahitana ity soritr'aretina ity, kanefa dia nanaitra ny mpikaroka maro manerantany. Mitovy kazarana amin’ny syndrome des jambes sans repos ihany ny syndrome de l’anus sans repos. Iry voalohany izay fikorontanana maharitra tsapa eo amin’ny tongotra, te hanetsika ny ratsam-batany ambany sy te hamindra aingana foana ilay olona. Toy izao ny fisehony : mihenjana, misy manindrotsindrona, mangoritsina, ary ngoly, toy ny misy herinaratra izany anaty tongotra any rehefa maka aina.
Coup d’envoi du boot camp Rary Aro hier. Plus de 90 jeunes sont réunis à l’Institut de la Jeunesse à Carion jusqu’au 8 octobre pour s’imprégner des grands principes de la lutte pour les Droits de l’Homme.
Parce que les jeunes ont leur rôle à jouer dans la nation. C’est par ces mots que la vice-ministre de la Jeunesse, Juliana Ratovoson, a lancé la première édition du Rary Aro Boot Camp. D’après les explications du coordinateur de l’évènement, Hajatiana Andrianomenjanahary, le Rary Aro est un camp de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), du Fonds des Nations unies pour la consolidation de la Paix (PBF) et du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme (OHCHR), dont le but est de former les jeunes à combattre les injustices en matière de Droits de l’Homme. « Les jeunes ont droit à un parcours de formation durant ces cinq jours autour des thématiques Gender Equality and Women's Empowerment (GEWE), droits humains et journalisme et Droits de l’Homme et justice environnementale, lance-t-il. A partir du troisième jour, chaque participant doit choisir sa spécialité par rapport à ce qu’il veut faire dans la lutte pour les Droits de l’Homme ».
Appel ciblé
Pour cette première édition du Rary Aro Boot Camp, plus de 90 jeunes ont été sélectionnés. « La grande majorité vient d’Antananarivo mais nous avons des participants qui viennent de Mahajanga et de Mananjary. Nous envisageons d’organiser un total de 9 camps dans les grandes villes entre 2021 et 2022 », poursuit Hajatiana Andrianomenjanahary. Il indique que ces jeunes ont été sélectionnés pour leur parcours. Il y a ainsi, des membres d’associations, des étudiants et des journalistes. « Il faut un minimum d’implication et de motivation pour vraiment être actif dans ce genre de combat », souligne-t-il.
La motivation, Nambinitsoa n’en manque pas. Cette étudiante en communication et postulante, membre de Liberty 32 fait partie des participants. Elle est particulièrement intéressée par les questions relatives au genre. « Je veux donner des précisions et de la consistance dans mes prises de positions sur le sujet. Je ne veux pas être comme ces personnes qui parlent pour ne rien dire sur Facebook », déclare-t-elle. Mahefa, pour sa part, est en quatrième année de droit. « Je suis ici pour approfondir mes connaissances sur les Droits de l’Homme », indique-t-il, en précisant que leur respect est encore difficile à Madagascar. « Il suffit de voir les conditions des personnes incarcérées pour s’en rendre compte », ajoute-t-il.
L’idée du boot camp est de constituer un réseau de jeunes défenseurs des Droits de l’Homme à Madagascar. Les sortants seront des « Rary Aro Heroes, de vrais défenseurs des Droits de l’Homme », souligne Hajatiana Andrianomenjanahary.
Tolotra Andrianalizah
Depuis 2019, le projet PRODIGY ou PROjet de Gouvernance DIgitale et de Gestion de l’Identité MalagasY est en cours de développement. Il a pour objectif de moderniser les services publics, via un processus d’identification numérique unique, propre à chaque citoyen malgache. Cet identifiant unique a pour visée de faciliter le recensement numérique mais aussi de faciliter l’accès aux services publics pour les administrés, selon les explications de l’architecte urbaniste système d’information à l’Unité de Gouvernance Digitale ou UDG, Jean Luc Razafindramitsa.
Fanapahan-kevitry ny fanjakana nanomboka ny taona 2019 ny hametraka ny tetikasa PRODIGY na koa tetikasa momba ny fitantanana nomerika sy ny fikirakirana ny taratasy maha-olom-pirenena. Fanomezana famantarana tokana na « identifiant unique », sy ny fampiasana izany mba hanamorana ny fisitrahana ny tolotra omen’ny fanjakana ho an’ny malagasy rehetra no tanjon’izany tetikasa izany araka ny fanazavan’ny architecte urbaniste momba ny rafi-pahalalana ao amin’ny sampan-draharaha Unité de Gouvernance Digitale na UDG, Razafindramitsa Jean Luc.
Les vaccins Pfizer et Moderna sont les plus chers sur le marché. Il faut compter 19.5 euros pour une dose de ces vaccins, soit environ 175.000 ariary pour deux doses complètes. Les fabricants de Pfizer et Moderna ont augmenté leurs prix de vente, en septembre dernier, après une adaptation du vaccin aux variants du coronavirus.
Concernant Sinovac, le vaccin chinois, il est affiché au prix de 23 euros les 2 doses, soit 105.000 ariary.
Le vaccin Janssen, de Johnson & Johnson, coûte 8 euros la dose, soit 36.000 ariary.
Et enfin, AstraZeneca est commercialisé à 6 euros les 2 doses, l’équivalent de 27.500 ariary.
Le prix d’un vaccin est calculé en fonction du coût de production, des matières premières, du packaging, des frais de contrôle et du brevet.
Jusqu’ici, la communauté internationale achète souvent les vaccins à un prix inférieur pour en faire dons aux pays n’ayant pas les moyens de se procurer ces vaccins pour un grand nombre de la population.
Tokony ohatrinona amin’ny sandam-bola malagasy ny vidin’ny vaksiny miady amin’ny COVID-19 iray?
Ny vaksiny Pfizer sy Moderna no lafo vidy indrindra. Eo amin’ny 175.000 ariary eo ny vidin’ny fatra anankiroa amin’ireo vaksiny ireo. Vao avy nampiakatra ny vidiny ireo mpanamboatra satria milaza izy ireo fa mahatohitra ny fiovan’endriky ny coronavirus vaovao ireo vaksiny ireo.
Ny vaksiny Sinovac indray, izay vita any Sina, dia 105.000 ariary ny vidin’ny fatra anakiroa.
Ny vaksiny Janssen, vokarin’ny Johnson & Johnson dia 35.000 ariary ny fatra iray. Fatra tokana ihany moa no ilaina aminy.
Ary farany, ny vaksiny AstraZeneca dia 27.500 ariary ny vidin’ny fatra anankiroa.
Tafiditra ao anatin’io vidiny io ny vola lany tamin’ny teknolojia nampiasaina, ny akora sy singa isankarazany, ny fonony, ny fanaraha-maso sy ny brevet.
Tsara marihina hoe mora kokoa ny hividianan’ireo fianakavimbe iraisampirenena ny vaksiny izay ho zarainy maimaimpoana any amin’ireo firenena tsy afaka mividy izany avy eo.
Fanadihadiana :
-Misy hifandraisany amin’ny fiovaovan’ny toetrandro ny fipoiran’ny karazana valanaretina. Simba ireo toeram-ponenan’ny biby noho ny fahasimban’ny tontolo iainana, eo ihany koa ny fihafanan’ny tany. Lasa mifindra monina ireo biby ka lasa mifanakaiky amin’ny olombelona ny toeram-ponenany, antony mampifindra ireo aretina. Eo ihany koa ny fivoaran’ny toe-batan’ny zavamanan’aina araka ny fiovan’ny tontolo mandodidina azy. Manazava ny mpandrindra ny birao nasionaly misahana ny fiovaovan’ny toetrandrao sy ny REDD+, ao amin’ny Ministeran’ny tontolo iainana sy ny fandrosoana lovainjafy, Ravelomanana Lovakanto sy ny mpitsabo, Ranaivoarison Dinah.
-Manana ireo fomba sy fahalalana izay ampihariny ireo mponina eny ifotony hiatrehana fiovaovan’ny toetrandro. Ohatra ny resaka fambolena hazo sy ahitra mitahiry rano. Mizara izany ny filoha lefitra Tafomihaavo, Andriananoro Toky sy ny filoha lefitra ao amin’ny fikambanana Famari, na fatidran’ny alamaiky sy ny rihaky, Rakotomanantsoa Vernet.
Vaovao :
-Mankalaza ny herinandro natokana ho an’ny toetrandro ny herinandron’ny 27 Septambra teo ny eto Afrika. Nanome anjara fitenenana manokana ny solontena avy amin’ny Fandaharanasa iraisampirenena momba ny fanjariantsakafo, Alice Rahmoun, ny UN Climate Change tao amin’ny Pejy Facebook-ny. Niresaka momba ny fifandraisana misy eo amin’ny krizy ara-tsakafo sy ny fiovaovan’ny toetrandro izy tamin’izany.
Reportages :
-L’apparition des épidémies comme la COVID-19 a un lien avec le changement climatique. Les habitats des animaux sauvages sont détruits à cause de la dégradation de l'environnement, s’y ajoute le réchauffement climatique. Les animaux migrent et vivent à proximité des humains, facilitant la transmission des maladies. Mais il y a également l’adaptation des êtres vivants par rapport au changement de leur environnement. Le coordinateur du Bureau National du changement climatique et de la REDD+, au ministère de l'Environnement et du Développement Durable, Lovakanto Ravelomanana et le docteur Dina Ranaivoarison expliquent.
-Les populations locales ont leurs méthodes et des connaissances qu'elles appliquent pour faire face et s’adapter au changement climatique. Par exemple, en plantant des arbres et des herbes pouvant stocker de l'eau. Le vice-président de Tafomihaavo, Toky Andriananoro et le vice-président de l'association Famari de la région du Sud-Est, Vernet Rakotomanantsoa en témoignent.
ACTUS :
-La semaine du 27 septembre a été célébrée la semaine africaine du climat. La représentante du Programme Alimentaire Mondial, Alice Rahmoun, est intervenue sur la page Facebook de UN Climate Change. Elle a évoqué le lien entre la crise alimentaire et le changement climatique.