- Isan’ny mahatonga ny disadisa eny anivon’ny fiaraha-monina ny tsy fahampian’ny fanabeazana sy ny asa ho an’ny tanora
- Ny fanomezan-danja ny sehatra misy azy ihany no ahafahan’ny siantifika mamaly ny filà n’ny malagasy
- Commune urbaine Ambalavao : nahavita namorona rafibaiko fanamboarana kopia nahaterahana ny tanora mpianatra asa ao an-toerana
- Fisokafan’ny sisintany : miverina miaraka amin’izay ihany koa ny fanararaotana mamoafady atao amin’ny ankizy
Tout le monde doit être sensibilisé au protocole sanitaire pour contrer la COVID-19 : les directeurs d’écoles comme les parents, les enseignants et aussi et surtout les élèves.
D’abord, il faut mettre en place les dispositifs nécessaires pour permettre à chacun de se laver les mains régulièrement, avec de l’eau et du savon ou avec du gel désinfectant.
Ensuite, organiser les emplois du temps, les recréations et sorties en classe, de façon à toujours respecter la distanciation sociale et éviter les regroupements et chevauchements. Â
De plus, il faut toujours encourager au port de masque, dans la salle de classe comme dans la cour de l’école.
Prendre 5 minutes tous les jours pour informer et sensibiliser les élèves sur le coronavirus, en profiter pour corriger les fausses informations pouvant circuler. Â
Et enfin, donner l’exemple. Les enfants apprennent en imitant les grands.
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Ahoana ny hahafahana miaro ny ankizy amin’ny valanaretina COVID-19 ?
Ny olona rehetra mihitsy no tokony mahafantatra sy mampihatra ireo fihetsika sakana : ny talen-tsekoly, ny ray amandreny, ny mpampianatra ary indrindra ny mpianatra.
Voalohany aloha, ilaina ny fisian’ny fitaovana ahafahanan’ny rehetra manasa tanana matetika, amin’ny rano sy savony na amin’ny gel désinfectant.
Amboarina ny ora fidirana, anaovana fakan-drivotra sy ora ivoahana mba hifandimby isaky ny kilasy, ialana amin’ny mety ho fitangoronana eo an-tokontany.
Tohizana hatrany ny fanaovana aro vava orona na ao andakilasy na eny ivelany.
Maka fotoana 5 minitra isan’andro hiresahana amin’ny mpianatra momban’ny covonavirus, hizarana vaovao na entina hanitsiana ireo hevi-diso momba izany.
Tsara tadidina fa ny ankizy dia mianatra amin’izay ataon’ny lehibe ihany, noho izany, ny tanora sy ny lehibe aloha no tokony hampihatra ireo fihetsika ireo voalohany.  Â
La solidité et la longévité des murs centenaires malgaches ont toujours suscité curiosité et admiration. Perdus dans les forêts de béton, ils sont encore nombreux à affronter les intempéries dans les quartiers de la capitale.
Remise au goût du jour en architecture pour leur côté authentique, la bauge malgache peut constituer une alternative à la hausse des prix des matériaux de construction, selon Miraniaina Andriamalala Anjaramanantenasoa, une docteure en Science des matériaux qui vient de valider son Habilitation à diriger des recherches (HDR) avec le thème « Influences des caractéristiques physiques de la terre crue sur la modélisation et l’analyse du cycle de vie de la bauge pour la construction à Madagascar ».
« J’ai toujours été impressionnée par les murs traditionnels malgaches et leur durabilité, lance cette spécialiste en géotechnique. Jusqu’ici on se demande toujours ce qui les rend si résistants. Naturellement, j’ai axé mes recherches sur les caractéristiques physiques de ces murs ». Miraniaina Andriamalala fait remarquer qu’on continue à faire de la bauge actuellement. Elle déplore toutefois que ce n’est plus aussi résistant. « Même l’aspect n’est pas pareil comparé à ce qui se faisait d’antan. Il y a un savoir-faire qui ne s’est pas transmis », souligne-t-elle.
Nouvelles villes en bauge
Pour les besoins de ses recherches, elle a étudié plusieurs murs traditionnels anciens, de la Haute Matsiatra au Bongolava en passant par Moramanga. « Nous avons vu par exemple un mur qui date de plus de 150 ans à Manandriana », indique-t-elle. Bien que les murs aient été construits à différents endroits, il en est ressorti que les caractéristiques physiques sont presque identiques. Elle a ainsi pu identifier une bauge de référence. « Les recherches consistent à se pencher sur les caractéristiques physiques du sol afin de trouver la bonne formule pour avoir une bonne bauge solide à l’ancienne, peu importe le sol utilisé », explique-t-elle.
Concrètement, il en est ressorti un logiciel baptisé MBM (Modélisation des bauges de Madagascar) qui permet d’ajuster les composants du sol disponible sur un chantier pour aboutir aux caractéristiques physiques des bauges traditionnels, gage de longévité. Miraniaina Andriamalala assure que l’outil est facile à utiliser. Son idée est de faire en sorte que les Malgaches puissent eux-mêmes construire leur habitation. La désormais professeure de l’enseignement supérieur de rappeler que ce matériau est non seulement résistant mais également écologique et surtout bon marché. « La matière première est pratiquement gratuite dans la mesure où la terre est prélevée sur place », précise-t-elle. Miraniaina Andriamalala de souligner que Madagascar a la chance d’avoir une belle palette naturelle de couleur terre. Elle avance l’idée de nouvelles villes entièrement faite de bauge en indiquant qu’il est possible d’en faire une maison à deux étages avec ce matériau.
En général, la bauge est composée de sol limoneux argileux, non gonflant, des matières stabilisantes telles que de la paille, de bouse de vache, des produits servant de colle comme la sève de bananiers, de l’urée et de l’eau.
Tolotra Andrianalizah
Il très difficile d’avoir un traitement efficace contre les virus. Cependant, la presse française relate un brin d’espoir. Le professeur en maladies infectieuses à la faculté de médecine de l'université de Paris, Yazdan Yazdanpanah, souligne la possibilité d’avoir un traitement efficace sur le virus, par les fruits de recherches très importantes développées en ce moment. Il rappelle qu’on n’en a d’ailleurs jamais trouvé pour la grippe... ». L’infectiologue parisien, Nathan Peiffer-Smadja, ajoute que c’est la même chose pour la dengue, le VIH, ou le chikungunya. Il explique, dans un média français, que les bactéries, les parasites, les champignons ont des traitements efficaces. Mais comme le virus utilise nos cellules pour se reproduire, il faut le détruire sans abîmer nos cellules.
Azo atao hoe fotoana iresahana ireo fomba fitsaboana ny COVID-19 ve izao nefa ny an'ny gripa ary tsy mbola hita akory ?
Tena sarotra ny mahazo fitsaboana mahomby iadiana amin’ny tsimokaretina. Na izany aza, misy ihany ny fanantenana hoy ireo gazety frantsay. Mety hisy ny fitsaboana mahomby iadiana amin’ny tsimokaretina, amin'ny alalan'ireo voka-pikarohana izay efa mandroso be amin’izao, hoy ny profesora ao amin'ny sampa-pikarohana momba ny areti-mifindra ao amin'ny Oniversiten'i Paris, Yazdan Yazdanpanah. Na eo aza izany dia nampatsiahy izy fa mbola tsy hita mihitsy aloha ny an’ny gripa hatreto ... " Nanamafy izany ny manam-pahaizana momba ny areti-mifindra ao Paris hatrany, i Nathan Peiffer-Smadja, fa toy izany koa ny aretina dengue, ny VIH ary ny chikungunya. Nanazava tamin'ny haino amanjery frantsay izy fa efa nahitana fitsaboana mahomby ny bakteria, ny katsentsitra ary ny holatra. Koa satria mampiasa ny selan'ny olombelona ny tsimokaretina mba hitomboany isa, dia sarotra kokoa ny manapotika azy nefa tsy manimba kosa ireo sela.
 - Mbola misokatra sy afaka mandray mararin’ny COVID-19 ireo CTC isaky ny faritra
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Il y a trois gestes conseillés pour contenir une hémorragie externe : la compression manuelle, le pansement compressif et le garrot, explique Tahiry, formateur en secourisme. Une hémorragie qui n’est pas prise en charge à temps peut entraîner la mort de la victime.
En cas de traumatisme des os, il est recommandé d’immobiliser les os par une ou des écharpes ou des attèles. Certes, certaines pratiques de la société suggèrent de remettre les os en place, juste après l’inflammation, mais il y a des risques de complications, explique Andrianalijaona Rahelimampiandra, formateur en secourisme.
Mety hitarika hatramin’ny fahafatesan’ny olona iray ny fahavakisan-drà raha toa ka tsy voaray an-tanana haingana. Ny tanjon’ny fandraisana an-tanana atao dia ny hanajanonana ny fitosahan’ny rà . Misy fomba telo hahafahana manao izany : ny tsindrin-tanana, ny fatotra sy ny geja, hoy ny mpampiofana amin’ny famonjena aina, Tahiry.
Raha sendra misy fahatapahan’ny taolana na folaka, isan’ny fihetsika mahazatra ny fiaraha-monina ny hoe mamerina izany dieny mbola mafana. Mety hitera-doza anefa ny fanaovana izany raha sanatria tsy tafaverina amin’ny laoniny ilay taolana hoy ny mpampiofana amin’ny famonjena aina, Andrianalijaona Rahelimampiandra. Ny tsara indrindra dia tsy ahetsika mihitsy ilay faritra tapaka.
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La conférence sur "Le métier d’Auteur Ecrivain" durant le Carrefour de la Formation, des Métiers et de l'Emploi du 27-28 août dernier a permis à une première vague de futurs auteurs et écrivains malgaches d’être informés pour, par la suite, être encadrés par l’auteure-écrivaine Aina Michèle Rahariarisoa sur comment devenir auteur. Elle nous partage sa passion dans cette interview.
Studio Sifaka : Pouvez-vous vous présenter ?
Aina Michèle Rahariarisoa : Je suis Aina Michèle Rahariarisoa, auteure écrivaine de mon 1er livre qui s’intitule « Ma victorieuse vingtaine », édité en Allemagne par les Editions Universitaires Européennes en 2014. Je suis actuellement en train de finaliser mon deuxième livre. Je suis également conférencière et consultante.
Depuis combien d’années êtes-vous écrivaine ?
J’écris depuis l’âge de 12 ans. C’est d’ailleurs de mon journal intime de jeunesse que je me suis inspirée pour écrire mon premier livre, en y apportant les meilleures expériences de ma vingtaine… Mon talent, je l’ai travaillé depuis la primaire dans les travaux d’écriture et de littérature en Français. Du moment qu’on arrive à transcrire nos pensées, et qu’on veuille transmettre des messages qui pourraient « guider des vies » ou même « sauver des vies », alors on peut devenir un écrivain. Je ne cesse d’écrire même si ce n’est pas facile avec autant d’activités, souvent je fais des nuits blanches pour rédiger quelques pages lorsque je suis inspirée.
Existe-t-il une différence entre être écrivain à Madagascar et/ou à l’étranger ?
Je reste la même écrivaine lorsque je suis à Madagascar ou à l’étranger ! Toutefois, il y a une différence lorsqu’un livre a l’opportunité de faire le tour du monde et de rencontrer une audience large et où la culture du livre est importante. L’auteur et son œuvre ont plus de valeur, car l’industrie du livre est énorme à l’étranger. Heureusement que grâce à internet, l’écrivain et ses œuvres peuvent être présents partout.
Comment s’est déroulée votre conférence ?
L’audience a été satisfaite, nous n’avions pas vu le temps passer tellement il y a eu des échanges avec les jeunes en quête d’avenir et intéressés par le métier. Cette fois, j’ai transmis l’essentiel de « Ma victorieuse vingtaine » et répondu aux questions : Comment gérer sa vie en tant qu'auteur écrivain ? Comment devient-on un écrivain ? Pourquoi vouloir être écrivain ? Son rôle dans la société ? Comment trouver une maison d'édition, le processus et les points de vigilance ?
Combien de jeunes participants avez-vous touchés ? dans quelle tranche d’âge se situent-ils ?
Mes conférences se déroulent toujours différemment, et l’une ne peut pas représenter l’autre. Depuis 2019, j’ai organisé sept (7) conférences pour parler de mon livre. Elles ont réuni en tout plus de 500 personnes, essentiellement des jeunes de 18 à 30 ans, tous confondus (étudiants, militaires, employés d’entreprise et de Ministère).
Quel est votre prochain programme avec ces jeunes ?
Je compte organiser une autre conférence en octobre 2021 pour les jeunes qui n’ont pas pu assister à ma conférence lors du Carrefour de la Formation, des Métiers et de l'Emploi, organisé au mois d’août par l’Alliance Française de Tananarive.
Je compte bien les accompagner s’ils le veulent, jusqu’ici je n’ai fait que partager mes expériences et donner des conseils. En effet, le rôle du coach sera d’accompagner ceux qui souhaitent être accompagnés et qui croient au pouvoir de l’écriture. Mon ouverture aux jeunes continue, je prévois d’organiser une série d’ateliers-conférences jusqu’en décembre 2021.
En 2021, quels seraient les rôles des écrivains à Madagascar, d’après vous ?
Les écrivains sont depuis toujours des leaders. A travers leurs écrits, leurs livres, leurs conférences ou leurs publications sur les réseaux sociaux, ils peuvent guider les jeunes dans la formulation et la réalisation de leurs visions respectives. Cet exercice est valable dans tous les domaines de la vie : travail, argent, santé, amour ou amitié. J’ai d’ailleurs organisé une série de 3 conférences, de juin à septembre 2020, sur le thème « Transformer sa vision, réussir sa vie en 2021 », face à la pandémie. Pour moi, un écrivain a un rôle à jouer dans la réussite d’un individu, parce que ses écrits ont la capacité de changer la vie de son lecteur, ne serait-ce qu’un peu.
Être écrivain, est-ce un métier d’avenir ?
Absolument, l’écriture est tournée vers l’avenir même si on écrit sur le passé. L’écrivain apprend dès son plus jeune âge, à écrire son histoire, en observant son environnement, en découvrant sa personnalité, en développant son être dans la société. Plus tard ce jeune voudra intervenir pour un monde meilleur et guider des individus, c’est ainsi qu’il se constituera leader. Le rôle de l’écrivain est de transformer le monde, en transmettant le meilleur de lui-même à travers l’écriture : une partie de sa vie, celle des autres, son savoir-être, son savoir et ses expériences. Un livre est une richesse pour construire le futur. Ecrivons !
Propos recueillis par Linda Karine
Misy ny olona tia ny fofony natoraly avoakany ary misy koa ny tsy tia izany. Tsy voatery manosotra ranomanitra amin’ny helika fa ny karibonetra sy ny alamo dia akora natoraly azo ampiasaina noho izy ireo mifoka ny atsembohana. Ny fofona dia natoraly amin’ny vatan’olombelona kanefa, raha ny filazan’ny dokotera Rodolphe, misy karazan-tsakafo hoanina mety hampamoaka fofona hafa ho an’ny vatana. Anisan’izany ny trondro, ny atody, ny ronono, ny tongolo sns. Mampiakatra ny hafanana ao anaty vatana ihany koa ny kafe, dite, alikaola ary mahatsemboka sy mampamoaka fofona. Ny faritra misy volo sy ny felan-tanana sy tongotra dia faritra tena misy mikraoba ka mety mahatonga ny fofona. Raha toa ka tsy mihinana ireo sakafo voatondro ireo ka mamoaka fofona ratsy dia tokony hanantona dokotera. Tsy tokony miverina manao kiraro roa andro misesy ny olona iray fa misolo kiraro isan’andro ary tokony hiandry ny vatany maina tsara vao miankanjo mba tsy hisian’ny fofona aminy.
Certaines personnes aiment sentir leur odeur naturelle tandis que d’autres non. L’odeur émanant des aisselles, par exemple, est naturelle selon le docteur Rodolphe. Cependant, en fonction des aliments consommés, la sueur peut amplifier les odeurs. Les personnes qui consomment du poisson, des œufs, du lait, des oignons sont plus enclins à dégager de fortes odeurs. Il en est de même pour les aliments et boissons qui aident à la transpiration, comme le café, le thé, le piment et l’alcool. Les zones à forte pilosité sont également des nids à odeur, du fait que les microbes y siègent facilement.
Il convient de préciser que si un sujet ne consomme aucun des aliments cités et que son corps dégage de mauvaises odeurs, il lui faut consulter un médecin. De plus, le docteur Rodolphe interpelle chacun à changer de chaussures tous les jours, et surtout à attendre d’être au sec, après sa douche, pour s’habiller.