COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

mardi, 01 juin 2021 13:37

Journal du 1er juin 2021

- Tokony  hatsaraina ny serasera eo amin’ny samy mpitondra amin’ny fanapahan-kevitra

- COVID-19 : raha ampy sakafo tsara dia tsy ahiana ho tonga amin’ny tranga atahorana ireo  mpifoka sigara sy mpisotro zava-pisotro misy alikaola

- Faritra Analamanga : 15,7 % amin’ireo fitarainana voarain’ny PFSCE no mahakasika ny herisetra mihatra amin’ny     ankizivavy hatramin'ny   fihiboana 2020

- Andro maneran-tany hoan’ny ray aman-dreny : miezaka manome lanja ny fifampiresahana ireo tanora ny ray aman-dreny amin’izao fotoana izao


- L’utilisation de vaccins ne devrait pas faire oublier les recherches de traitements contre la COVID-19

- AUF-COVID-19 : lancement de la deuxième édition

- Madagascar : où en est-on en termes de bonne gouvernance ?

- Municipales et communales : aucun délai pour la sortie des décisions de justice


Selon Nofy Razafimbelo, membre du réseau des jeunes pour le développement durable, les jeunes doivent-être les premiers défenseurs de la nature, car il s’agit de leur héritage. La prise de conscience sur la dégradation de l’environnement, qui devrait mener à des actions, est la première étape vers cette action de protection. Les écogestes, qui consistent par exemple à ne pas jeter les ordures n’importe où, à éteindre la lumière quand une pièce est vide, au quotidien et à grande échelle ne seront que bénéfiques pour l’environnement.  Dans l’optique de la COP 26 qui se tiendra en novembre prochain, les jeunes auront l’occasion de se faire entendre grâce au webinaire retransmis en direct sur la page Facebook du réseau des jeunes pour le développement durable, ce 05 juin à l’occasion de la journée mondiale pour l’environnement.

 



Manana andraikitra lehibe eo amin’ny fiaraovana ny tontolo iainana ny tanora amin’ny maha lovany azy, hoy i Razafimbelo Nofy, mpikambana ao amin’ny réseau des jeunes pour le développement durable. Miatomboka amin’ny fahatsapana sy ny fahitana fa mihasimba ny tontolo iainana ary mila mandray andraikitra ny tsirairay manoloana izany ny ady atao ho an’ny tontolo iainana. Fietsika tsotra tahaka ny famonoana ny jiro rehefa tsy misy olona ao amin’ny efitra iray, ny tsy fanariana fako eny andalam-be dia efa ampy hanatsarana ny tontolo iainana raha miombona amin’izany ny rehetra. Ny 5 jona izao no ankalazana ny andro manerantany ho an’ny tontolo iainana, manana fahafahana maneho ny heviny ireo tanora ho entina hanatsarana ny politikan’ny tontolo iainana amin’ny COP 26 ny volana novambra ho avy izao amin’ny alalan’ny wibinaire, izay halefa mivantana ihany koa ao amin’ny pejy Facebook-n’ny réseau des jeunes pour le développement durable.

mardi, 01 juin 2021 13:07

Journal des régions du 1er juin 2021

    • Mahajanga : une nouvelle école primaire publique pour Amborovy
    • Midongy Atsimo : 23 personnes décédées lors d'une attaque dans la commune Lavaraty
    • Antananarivo : les réservations de places pour les transports régionaux disponibles à partir du 2 juin

  • Mahajanga: nahazo sekoly ambaratonga fototra vaovao ny ao Amborovy
  • Midongy Atsimo: olona 23 namoy ny ainy nandritra ilay fanafihan-dahalo tao amin’ny kaominina Lavaraty
  • Antananarivo: hisokatra manomboka ny 2 jiona ny fanaovana famandrihana toerana ho an’ireo izay handeha any amin’ny faritra

 

Pour deux raisons principales :

D’abord, parce que la piqûre crée une petite blessure superficielle au niveau du muscle, mais elle guérit rapidement. En même temps, les composants du vaccin commencent à circuler peu à peu dans les cellules, cela peut également générer quelques douleurs au niveau du bras.

On ressent aussi de la douleur musculaire quand l’organisme entre en contact avec le contenu du vaccin, appelé le « code source ». C’est le point de départ de la réponse immunitaire. Cette contre-attaque favorise le développement des globules blancs et des anticorps, caractérisée par une inflammation locale.  

Avoir mal au bras après un vaccin est donc un bon signe. Cela peut survenir dans l’heure après l’injection et peut durer 2 ou 3 jours.

 


Fa maninona no marary ny sandry rehefa avy natao vaksiny ?

Misy antony roa lehibe :

Voalohany aloha, ilay tsindrona natao dia miteraka ratra kely any amin’ny hozatra, saingy ratra tsy atahorana sy mora sitrana avy eo.

Faharoa, mahare marary ihany koa rehefa manomboka tonga tsikelikely any anaty any ireo singa mandrafitra ny vaksiny. Indrindra rehefa mifanehatra amin’ny “code source” n’ilay vaksiny ny vatana, dia voatery mamorona hery fiarovana izy iadiana aminy. Iny fiforonana sela fotsy sy hery fiarovana iny dia mahatonga fanaintainana kely any amin’ny sandry.  Mety haharitra ora vitsy, fa mety haharitra 2 na 3 andro mihitsy.

Tsy misy ahiana anefa izany ary midika fa miasa ny vaksiny matoa mahare marary.

Le bout du tunnel ? Les acteurs du tourisme de Nosy-Be ont accueilli avec espoir l’annonce de l’ouverture de la vaccination aux employés du secteur.

« Ça fait longtemps qu’on attendait ça », lance le PCA de l’Office régional du tourisme de Nosy Be, Sonny Tatatsiresy.  Plus exactement le 24 avril. L’office régional a émis une demande à cette date pour une vaccination de masse sur l’île de Nosy-Be. « L’idée, c’est de mettre en place un corridor COVID free sur Nosy-Be. Il est important que les employés qui prennent en charge directement les clients soient vaccinés contre la COVID-19, explique notre interlocuteur. Actuellement, les personnes qui peuvent voyager doivent être vaccinées. Le vaccin ne protège pas à 100%. C’est pourquoi il est important que le personnel le soit ».

L’exemple vient d'en haut

La campagne de vaccination a débuté ce week-end sur l’île au parfum. Le préfet de police de Nosy-Be, Lucien Manajara, le président de l’Office national du Tourisme, Narijao Boda et Sonny Tatatsiresy ont donné de leur personne pour montrer l’exemple lors du lancement. « L’exemple vient d’en haut », lance notre interlocuteur, qui indique qu’un appel a été lancé au niveau des opérateurs touristiques pour qu’ils envoient la liste de leur personnel au plus tard le mardi 1er juin. « L’objectif c’est qu’avant le 15 juin, une grande majorité des employés, prioritairement ceux qui sont en contact direct des clients aient leur première dose », conclut-il.

Avec cette opération de vaccination, les opérateurs touristiques de Nosy-Be espèrent une réouverture du ciel dans le courant du mois de juillet. 

Tolotra Andrianalizah

La situation évolue positivement sur le front de la lutte contre le coronavirus. Alors que Madagascar entrevoit un retour à la normale, focus sur les deux derniers mois particulièrement meurtriers.

Du 1er avril au 30 mai, les chiffres officiels font état de 406 décès de la COVID-19, soit près de la moitié (48%) des décès depuis le début de la pandémie en mars 2020, qui a fait 839 morts dans tout Madagascar. Il ne s’est pas passé une journée sans qu’il n’y ait eu au moins deux trépas au cours de ces deux derniers mois. Cette donnée contraste l’évolution de la situation car à part les décès, les indicateurs sont encourageants, à commencer par le nombre de nouveaux cas journaliers. Ce nombre n’est plus passé au-dessus de 100 depuis le 20 mai après avoir atteint 859, le 14 avril. Le 30 mai, les statistiques indiquent 76 nouveaux cas. Il en est de même pour le nombre de malades qui n’est plus que de 163, toujours au 30 mai, un nombre qui n’a cessé de baisser depuis un plus haut de 6.712, le 24 avril. Le nombre de personnes en traitement est passé sous la barre des 1.000, le 19 mai. Autre fait marquant, la totalité des personnes en traitement présentent des cas graves depuis deux jours. 

Les retards, accusés

Pour le directeur de la Promotion de la santé auprès du ministère de la Santé publique, le Dr Manitra Rakotoarivony, la raison de ce fort taux de mortalité est à mettre sur le compte du retard de prise de décision et du retard de prise en charge. « Faut-il le rappeler que les décès découlent des formes graves, lance-t-il. Beaucoup de gens ont préféré se faire soigner à domicile, dont un grand nombre en automédication, s’appuyant sur les médicaments pris par une connaissance. Ils ont attendu l’apparition des symptômes graves pour se rendre dans les établissements prévus à cet effet », a fait remarquer notre interlocuteur.

Quoi qu’il en soit, l’embellie de ces derniers jours a permis à Madagascar d’entrevoir un retour à la normale, cristallisé par l’abandon du confinement du weekend notamment à Analamanga et la réouverture des établissements scolaires. Le Dr Manitra Rakotoarivony toutefois de tempérer en indiquant qu’il est important de maintenir les gestes barrières. « Le vaccin, bien qu’il ne soit pas obligatoire, est très utile pour prévenir l’apparition des formes graves », ajoute-t-il.

lundi, 31 mai 2021 13:05

Journal du 31 mai 2021

- COVID-19 : miha-malefaka ireo fepetra sakana noho ny fihenan’ny isan’ireo tranga vaovao

- Vaksiny COVID 19 : nosokafana ho an’ireo mihoatra ny 18 taona

- Fizahan-tany : tsy mpitari-dia matihanina raha tsy mahafehy ny fomban-drazana

- Antananarivo : voafetra ny isan’ny olona afaka manatrika ny zaza atao didim-poitra eny amin’ny toeram-pitsaboana


- COVID-19 : allègement des mesures restrictives compte tenu de la diminution du taux de contamination

- Près de 2.000 ressortissants français déjà vaccinés contre la COVID-19 à Madagascar

- COVID-19 : un nouveau variant apparu au Vietnam

-Reprise des cours : la situation diffère d’un établissement à un autre


lundi, 31 mai 2021 12:23

Sifflet du 31 mai 2021

- Haltérophilie : huit médailles d’or pour les athlètes malgaches, lors de la compétition à Nairobi

- Natation : un an de bourse à Kazan Russie pour la nageuse, Holy Antsa Rabejaona

- Basket-ball : vers le renouvellement de certificat de conformité jusqu’à fin juin pour chaque club

 



- Fibatàna fonjamby : medaly volamena miisa valo no azon’ireo atleta Malagasy nandritra ny lalao tany Nairobi, ny 27 hatramin’ny 30 mai teo

- Lomano : hiofana mandritra ny heritaona any Kazan Russie ny mpilomano Rabejaona Holy Antsa

- Basket-ball : tokony hanavao ny taratasy momba azy ny klioba tsirairay hatramin’ny faran’ny volana jiona izao

lundi, 31 mai 2021 11:31

Journal des régions du 31 mai 2021

- Fin de la campagne de récolte de vanille pour l’année 2020-2021

- Deux lieux sacrificiels ont été la proie des flammes le 29 mai dernier, à Ambohimanga Antananarivo

- L’exposition des œuvres des photographes l’East Focus, au Musée Vavitiana Toamasina se fera sur trois mois


- Mifarana ny taom-piotazana lavanila ho an’ny taona 2020-2021

- May ny doany fanasinana roa tao Ambohimanga Antananarivo ny sabotsy 29 may lasa teo

- Haharitra telo volana ny fampirantiana ny sanganasan’ireo mpaka sary ao amin’ny East Focus, ao amin’ny Mozea Vavitiana Toamasina

30 ans en juillet, Tolojahanary Gerald Arnaud est à la tête d’une SARL spécialisée dans la construction métallique. Il s’est fait un nom dans la transformation de container en bâtiment. Ayant démarré son entreprise de rien, il se veut être un exemple pour les jeunes qui souhaitent se lancer dans l’entrepreneuriat.

Studio Sifaka : Pouvez-vous dire en quelques lignes votre parcours ?

Tolojahanary Gerald Arnaud : Après un bac technique en structure métallique au LTP Toamasina, j’ai décidé de poursuivre dans l’informatique à Antananarivo, ma passion à l’époque. Je n’ai malheureusement pas pu aller jusqu’à la fin car on a volé mon laptop durant mes études. Cela m’a beaucoup handicapé. Six mois après le vol, au lieu d’acheter un autre laptop, j’ai préféré ouvrir un multiservice à Toamasina avec un seul ordinateur. Trois mois plus tard, mon business a évolué en cybercafé. Je proposais plusieurs services à mes clients, de l’impression à la maintenance en passant par le shooting photo. En un an et demi, j’ai gagné en notoriété dans le quartier et très vite la petite pièce de 9m2 que j’ai louée n’était plus suffisante. Alors j’ai cherché un nouveau local plus grand mais les loyers proposés étaient trop chers. Finalement, j’ai fermé le cybercafé Jango.

Comment vous est-elle venue l’idée de lancer Jango Multi-travaux ?

C'est là que l'idée de construire un genre de box maison transportable m’est venue. Comme je n’arrivais pas à trouver un local plus grand, je me suis dit, pourquoi ne pas en proposer d’autant plus que j’ai une formation en structure métallique. C’est ainsi que Jango Multi-Travaux est née en août 2019.

Le container était-il à la base lorsque vous avez créé Jango Multi-travaux ?

Oui et non. J’y ai pensé mais les containers coûtent chers. J’ai commencé avec des box métalliques. Je dirais que la base, c’est l’acier. J’ai démarré de zéro. Pour ma première commande, je n’avais pratiquement aucun outil. J’avais dû emprunter. C’est avec cet argent que j’ai acheté ma première meule entre autres. 

Une habitation en container est-elle moins chère qu’une maison classique, disons en brique ou en parpaing ?

Sans décoration, ni personnalisation, c’est moins cher. On peut équiper à l’infini une habitation container. C’est là que ça peut revenir plus cher. Mais en listant les avantages, la maison container est plus intéressante.

Qu’est-ce que vous pouvez faire avec les containers à part les habitations ?

Piscine, jacuzzi, benne à ordures, hôtel flottant, bateau, …

Où puisez-vous votre inspiration pour le design de vos réalisations ?

Quand j’étais gosse, j’étais passionné par le bricolage. A partir de 7 ans, j’ai gagné des concours dans mon village dans la fabrication de petites maisons en bambou, de petits bateaux ou encore de fusil en bâton. Je dirais que je suis créatif de nature.

Qui sont vos clients ?

La plupart de mes clients sont des entreprises, mais il y a aussi des particuliers.

Qu’est-ce qui est le plus difficile lorsqu’on est jeune et qu’on gère une entreprise ?

Je dirais que c’est de transmettre mon ambition à mes collaborateurs. Je suis perfectionniste. Je recherche la qualité dans toutes mes réalisations. Je ne peux pas tout faire pourtant tout le monde n’a pas le même niveau d’exigence.

Avez-vous un modèle en particulier dans l’entrepreneuriat ?

Elon Musk. Il offre le meilleur de lui en proposant plusieurs produits innovant.

Quelle est votre vision à la tête de Jango ?

J’aimerais élargir ma gamme de produits aussi bien en termes d’habitation que de local business. Je m’intéresse beaucoup aux structures flottantes actuellement notamment pour des hôtels flottants.

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