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Nombreux sont à la recherche d’un nouvel emploi pour de nombreuses raisons. Mais bien avant de se lancer, il est impératif de s’attarder sur certains points qui pourraient devenir rapidement des sources de démotivation.

Avec le contexte actuel, la crise que la pandémie de COVID-19 a induite et surtout les pertes d’emploi, nombreux sont ceux qui ne rechignent pas devant une offre d’emploi. En effet, aucune offre ne se refuse, dès que le salaire est convenable ou permet de subvenir aux besoins. Au risque de tomber dans un travail peu payé et n’apportant aucun avantage, il est important de savoir quels critères doivent être vérifiés avant de se lancer.

Le contrat de travail

Pendant l’entretien d’embauche, le candidat a tout à fait le droit de poser des questions concernant le contrat de travail. Il est possible cependant que l’entretien soit conduit par une assistante RH qui ne connaît que certains points sur le contrat. Il est donc impératif, quand le responsable rappelle pour confirmer le poste, de prendre un autre rendez-vous pour discuter du contrat. Il peut arriver que le contrat ne soit pas celui que le travailleur espérait décrocher (CDD au lieu d’un CDI par exemple, contrat de prestation …).

La rémunération salariale

La question de la rémunération salariale peut faire rapidement baisser la motivation d’un nouvel employé. C’est surtout le cas s’il y a eu un malentendu lors de l’entretien d’embauche, notamment concernant la question de rémunération salariale. Il faut savoir que lors de l’entretien d’embauche, le recruteur ou l’employeur prendra la prétention salariale émise par le candidat comme salaire brut. Pourtant, pour les candidats, il s’agit parfois d’un salaire net de toutes charges. Ce malentendu peut pourtant faire une grande différence surtout pour l’employé.

Les autres avantages

Il est également important de se pencher sur les autres avantages que propose l’entreprise. Si dans plusieurs pays – Madagascar inclus, la couverture santé et la couverture sociale sont obligatoires, il s’avère que certaines sociétés locales n’en proposent pas. Pourtant, cela peut faire une grande différence ; surtout pour ce qui est de la couverture santé. Si l’entreprise n’en propose aucune, c’est à l’employé de prévoir une partie de son salaire pour couvrir les besoins médicaux de sa famille. Pourtant, si la rémunération n’est que trop juste, cela ne laissera aucune marge.

Dans tous les cas, il est toujours plus qu’important de se pencher sur chaque point stipulé dans le contrat ou évoqué par l’employeur ou le recruteur lors de l’entretien d’embauche. Cela permet d’éviter les malentendus et ainsi de s’engager à un poste qui par la suite ne convient pas faute de rémunération ou que les conditions ne conviennent pas.

L’hypoxie généralisée, un manque d’apport en oxygène,  fait partie des symptômes de la COVID-19 les plus redoutés. En effet, l’hypoxie prolongée peut mener immédiatement à une insuffisance cardiaque sévère et à un accident vasculaire cérébral (AVC). L’insuffisance d’apports en oxygène figure d’ailleurs parmi les principales causes de décès des patients atteints de la COVID-19 à Madagascar. Alors en cas d’hypoxie et que vous n’avez pas accès à une bouteille ou à un concentrateur d’oxygène dans l’immédiat, voici quelques astuces qui pourraient vous aider.

1 – Essayer de se tenir droit, même étant allongé

Dans l’attente d’une intervention médicale, adopter la bonne posture durant la période d’insuffisance respiratoire est primordial. Effectivement, un buste en position d’enroulement en dormant sur le côté ou dans une position fœtale (comme on a l’habitude de faire quand on se sent mal) entraîne la fermeture de la cage thoracique. Cela limite la ventilation pulmonaire et c’est ce qui accentue l’insuffisance respiratoire et l’hypoxie. De ce fait,il est conseillé de se tenir debout dans la mesure du possible ou de s’allonger sur le dos bien droit, sur un oreiller ni trop haut ni trop plat.

2 – Inhaler de l’eau salée et/ou de la vapeur de plantes curatives 

L’inhalation, méthode initiée par des médecins grecs, il y a fort longtemps,est ce qu’on appelle « evoka » en malgache.

• Pour ce qui de la difficulté respiratoire en soi, les médecins recommandent l’inhalation d’eau salée car la vapeur d’eau salée apaise très efficacement n’importe quels symptômes indiquant une obstruction des voies respiratoires. Le patient victime d’hypoxie peut alors tout simplement faire bouillir de l’eau de mer s’il y a accès. Le cas échéant, il suffit de faire bouillir un litre d’eau et y verser 2 cuillérées à soupe de sel fin.
• Pour ce qui est des irritations de la paroi respiratoire causées par l’insuffisance en oxygène causant des douleurs quasi-insupportables, il faut inhaler de la vapeur de plantes contenant du menthol. C’est-à-dire mettre des plantes comme la menthe, le romarin, la sauge ou le thym dans deux litres d’eau en ébullition.

Pour que l’inhalation rende l’effet escompté, il est conseillé de la faire en recouvrant la tête d’une serviette ou d’une petite couverture pour que la vapeur ne s’échappe pas et intègre en totalité les voies respiratoires.

3- Utiliser temporairement un traitement à la dyspnée 

La dyspnée est tout simplement le premier signe d’hypoxie. Autrement dit, il s’agit de la difficulté à respirer. Elle apparaît habituellement chez les personnes assujetties à l’asthme. Dans un cas de crise et de dyspnée, un asthmatique a alors recours à l’utilisation d’un inhalateur ou d’un nébuliseur. Il s’agit d’appareils pratiques permettant la projection rapide de substances médicamenteuses qui agissent sur les organes respiratoires comme les corticostéroïdes ou le salbutamol. Alors si vous avez la COVID-19 et que vous commencez à ressentir un manque d’oxygène et une difficulté respiratoire, procurez-vous d’un inhalateur ou d’un nébuliseur à la pharmacie qui coûte dans les 35.000 à 40.000 ariary. Ou tout simplement, empruntez-en un chez un ami asthmatique.

Le tweet d'une professeure agréée à l'Université de l'Illinois souligne des menstruations beaucoup plus abondantes après avoir reçu sa première dose de Moderna.

Des centaines de femmes ont répondu au tweet. Elles affirment également avoir remarqué un changement dans leur flux menstruel, après le vaccin contre la COVID-19.

Cependant, selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, pour le moment, « il n'y a aucune association connue entre les vaccins COVID-19 et les changements menstruels ». D’autres spécialistes veulent poursuivre des observations plus poussées avant de se prononcer sur le sujet.

A côté, aux yeux de certains médecins, ces irrégularités menstruelles peuvent s’expliquer autrement : le stress, un changement de poids, des troubles du sommeil, etc

Cela reste donc une hypothèse à vérifier. En attendant, les femmes sont encouragées à se faire vacciner.

Misy fiantraikany eo amin’ny fadim-bolana ve ny vaksiny miaro amin’ny COVID-19 ?

Araka ny nambarana profesora iray avy ao amin’ny Oniversite any Illinois tao amin’ny Twitter, mandeha be kokoa noho ny mahazatra ny fadim-bolany rehefa avy nahazo ny fatra voalohany amin’ny vaksiny Moderna.

An-jatony ireo vehivavy namaly ilay tweet ary manamarina fa nahita fiovana tamin’ny fandehanan’ny fadim-bolana ihany koa rehefa avy nanao vaksiny miaro amin’ny COVID-19.

Nefa araka ny nambaran’ny « Société des obstétriciens et gynécologues du Canada », hatreto aloha, mbola tsy misy fifandraisana natao teo amin’ny vaksinin’ny COVID-19 sy ny fiovan’ny fandehanan’ny fadim-bolana. Misy ireo manam-pahaizana sasany te hanao fikarohana lalina kokoa vao milaza ny heviny momba izay.

Etsy an-daniny, azo hazavaina amin’ny fomba hafa ireo fikorontanan’ny fadim-bolana ho an’ny mpitsabo sasany : rarintsaina, fiovana lanja, fikoron-tanan’ny torimaso, sns.

Noho izany, hevitra mila hamarinina ihany izany izay voalaza izay. Mandrapiandry izay aloha, entanina ireo vehivavy mba hanao vaksiny.