COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

vendredi, 14 mai 2021 13:13

Journal du 14 mai 2021

  • CTC-19 Antananarivo : vers une baisse du nombre de patients pris en charge par rapport au mois précédent
  • Origine de la COVID-19 : l’hypothèse d’accident en laboratoire remise sur le tapis
  • Impôt sur les revenus : l’échéance des paiements pour les entreprises est reportée au 15 juin
  • Margherita Davico : un exemple à suivre pour les jeunes malgaches

  • Isan’ny olona marefo amin’ny aretina coronavirus ireo olona manana tosi-drà ambony
  • Ireo tsara ho fantatra mahakasika ny « Maladie coeliaque »
  • Mpanelanelana mpiaro ny zon’ny vahoaka na médiateur de la république : olona natao hanara-maso ny fomba fiasan’ny rafi-panjakana sy rafi-pitsarana
  • Antenimieram-pirenena : zava-dehibe ny fanarahan’ny mponina ny fivoriana

vendredi, 14 mai 2021 12:28

Journal des régions du 14 mai 2021

  • Avaratra, Atsimo Andrefana, Atsinanana : miparitaka amin’ny faritra enina ilay valan’aretina «  Fièvre de la Vallée du Rift »
  • Ambilobe : nitokona ireo mpivaro-kena tao amin’ny kaominina Ambilobe
  • Antsiranana : mitondra ny tsimokaretina COVID-19 ny sasany tamin’ireo tatsambo, nitondra ny sambo Mahatsangy

  • Nord, Sud-Ouest, Est : la fièvre de la vallée du Rift se propage dans 6 régions
  • Ambilobe : grève des bouchers de la commune Ambilobe
  • Antsiranana : des marins du navire « Mahatsangy » testés positifs à la COVID-19

En se basant sur ses expériences dans les activités associatives lors de ses années de lycée, Logan Hajatiana a eu l’idée de lancer YouGoGirl. L’esprit même de cet évènement est de partager, d’inspirer et de faire naître la motivation chez les jeunes femmes pour qu’elles entreprennent et concrétisent leurs rêves et ambitions. Interview avec linitiatrice de l’évènement.   

Studio Sifaka : Comment est né le concept « YouGoGirl » ?

Logan Hajatiana: Au lycée, j’ai eu une vie associative très active. J’ai été très motivée et j’ai toujours fait partie des organisateurs d’évènements au sein de diverses associations. Aussi, beaucoup de mes amies et connaissances m’ont demandée comment j’ai fait pour y arriver ? Comment est-ce qu’il faut faire pour réussir ? C’est de là que m’est venue l’idée de créer l’évènement « YouGoGirl ». Je voulais pouvoir apporter des éléments de réponses à leurs questions et surtout répondre à chacune en une seule fois. Mon idée, c’est de leur donner de la motivation mais surtout l’envie de s’accrocher à leurs rêves et aussi de prendre l’initiative d’entreprendre pour les réaliser.

Le fait est qu’aujourd’hui de nombreux jeunes n’osent pas franchir le pas et entreprendre. Il ne s’agit pas forcément de créer une entreprise, mais vraiment d’avancer et de concrétiser leurs projets. Pour certaines, c’est la peur de l’échec ; pour d’autres, c’est plutôt le fait qu’elles ne savent pas par où commencer. A travers « YouGoGirl », je pourrais aider les jeunes femmes à faire ce premier pas à travers des success stories d’autres jeunes femmes.  

Quels sont exactement l’idée et le but de l’évènement ?

Comme son nom l’indique, YouGoGirl ciblera principalement des jeunes femmes qui veulent entreprendre ou réaliser leurs projets mais qui n’osent pas ou ne savent pas par où commencer. Qu’elles soient lycéennes, universitaires ou ont déjà quelque peu commencé un projet mais se retrouvent bloquées, cet évènement s’adresse à ces jeunes femmes. Il s’agit d’un concept convivial qui permettra à ces « girls » de trouver une motivation à travers des ateliers, des témoignages et partages d’expériences d’autres « girls » qui mènent déjà des projets artistiques, culinaires, small business…

Mais lors de l’évènement, il y aura également des petits ateliers d’initiation aux relations bancaires que des partenaires animeront. Et pour permettre à ces jeunes femmes de pouvoir pleinement avoir confiance en elles et en leurs projets, il y aura également un atelier de réseautage.

Pourquoi ce choix de cibler principalement des jeunes femmes ?

En fait, il s’agit de la première édition de l’évènement. Nous avons spécifiquement choisi de cibler des jeunes femmes. Mais je pense également en faire de même pour les jeunes hommes « YouGoBoys » et un autre qui sera pour les jeunes dans leur globalité « YouGoYouth ». Mais cette première édition me permettra, dans un premier temps, de voir les points à améliorer et de faire des ajustements et des ajouts pour les prochaines éditions.

La structure narrative des contes suit les mêmes étapes pour tous les pays. Mais à Madagascar, la culture locale fait en sorte que la narration ne se fasse pas de façon directe. Pour les contes malgaches également, il faut que les histoires contiennent des leçons de vie et qu’elles soient attrayantes, selon la conteuse Rakemba. En ce qui concerne l’origine de l’histoire de Ikotofetsy sy Imahakà, elle ressemble de près aux histoires des « Contes des mille et une nuits », d’après les explications de Malanjaona Rakotomalala, Malanjaona Rakotomalala, anthropologue, professeur émérite à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris).


Manara-drafitra ny famolavolana ny angano hoy i Rakemba, mpitantara angano. Ny mampiavaka ny angano malagasy amin’ireo any ivelany dia amin’ny kolontsaina malagasy misy ny atao hoe fady ary tsy tantaraina amin’ny fomba mivantana ny tantara. Ny angano malagasy ihany koa dia tsy maintsy mifono anatra ary atao izay mahaliana azy hoy hatrany i Rakemba. Momba ny niavian’ny tantaran’Ikotofetsy sy Imahakà indray, araka ny fanazavana nataon’i Malanjaona Rakotomalala, mpampianatra mpikaroka momba ny haifiarahamonina sy ny kolontsaina ao amin’ny « Institut national des langues et civilisatons orientales » ao Parisy, dia mitovy amin’ireo tantara sy angano avy any Arabika izy ity na ireo antsoina hoe « Contes des mille et une nuits. »

Après les décisions du conseil des ministres en date du 7 avril dernier, une dizaine d’établissements hôteliers à Antananarivo seront équipés d’ici la semaine prochaine pour recevoir les malades de la COVID-19. Pour ces établissements, une organisation méticuleuse s’impose pour la sécurité du personnel.  

Des équipements de protection pour le personnel

Pour les établissements hôteliers qui ont accepté de devenir des hôtels-hôpitaux COVID-19, des dispositions soignées devraient se faire afin d’assurer la sécurité du personnel. Une question qui est au cœur des craintes pour les responsables auprès de l’établissement Le Pavé à Antaninarenina. Actuellement, l’établissement s’équipe afin de recevoir des malades de la COVID-19. « Nous avons demandé auprès des responsables du ministère de la santé s’il était possible d’avoir des réserves de médicament, afin de faire face à un éventuel cas de contamination de notre personnel », indique un des responsables de l’établissement. Une demande qui n’a pas encore eu de retour selon lui. « En tout cas, ce que l’on sait jusqu’à maintenant, c’est que c’est l’Etat qui prendra en charge la désinfection régulière des lieux et également la fourniture en EPI et masques pour l’ensemble de notre personnel. Et nous espérons qu’ils honoreront leur engagement», souligne-t-il.

Un tarif moyen pour rester fonctionnel

Selon les explications du président de la FHORM ou fédération des hôteliers et des restaurateurs de Madagascar, Johann Pless, la question de tarification au niveau des hôtels hôpitaux est définie suivant un contrat entre chaque établissement et les autorités. Le responsable auprès de l’établissement Le Pavé a indiqué que « c’est aux malades de payer les chambres, mais l’Etat prendra en charge tout ce qui est soins ». Dans le cas de cet établissement, le coût des chambres a été ajusté à une moyenne. « Nous ne pensons plus à prendre une marge bénéficiaire, mais vraiment assurer juste un prix qui nous permet de rester fonctionnel », explique le responsable.

L’établissement a établi 40 chambres dont 3 pour les personnels soignants et 37 pour les malades. « Nous avons déjà reçu aujourd’hui des extracteurs d’oxygène et nous attendons également l’arrivée des personnels soignants et des équipements médicaux pour les soins », a-t-il ajouté. Pour ce qui est d’éviter tout problème face aux coupures de courant, les établissements hôteliers recevront également des groupes électrogènes qui assureront le relais en cas de coupure.

jeudi, 15 avril 2021 14:46

Journal du 15 avril 2021

- Vidim-panafody : ny fahatongavan-tsainan’ny tsirairay no tsy hampisy fanararaotana

- Ny fahasalamana no mampitaintaina kokoa ny ray aman-drenin’ny mpianatra noho ny fihemoran’ny fidirana

- Efa manangona fitaovana tsikelikely iatrehana ny fiverenana mianatra indray ireo sekoly sasany ao Toamasina

- 4.500 ha ny velarantany efa namonoana valala any amin’ny faritra Menabe

- Antsiranana : vehivavy 60 niharan’ny herisetra no hahazo fiofanana ara-kajimirindra

 



- Quelles sont les lacunes au niveau des lois régissant la faune et les aires protégées à Madagascar ?

- Apiculture : hausse des besoins en miel de moindre qualité

- L’art peut être un métier

- Vocal Open Class : une technique vocale américaine pour trouver sa voix


Une fois de plus, l’apprentissage risque d’être perturbé avec les mesures pour contenir la propagation de la COVID-19. Avec une pénétration encore dérisoire de l’outil internet dans les ménages, la faute à un coût prohibitif pour nombre de portefeuille, l’enseignement à distance est encore utopique pour l’essentiel des élèves malgaches. Focus toutefois sur les outils qui sont utilisés dans le monde.

Google Classroom

Cette plateforme de Google dédiée aux écoles a pour but de faciliter la communication entre les enseignants et les élèves. Plus qu’un simple partage de leçons et de devoirs, elle permet de programmer la distribution des documents mais aussi de collecter numériquement les travaux des élèves. Les enseignants peuvent par ailleurs y publier des annonces et des rappels mais comme son nom l’indique, Google Classroom leur permet de communiquer avec les élèves pour un suivi individuel.

Microsoft Teams

Plus qu’un simple outil de visioconférence, Microsoft Teams propose une fonctionnalité pour l’éducation en fournissant un environnement familier aussi bien aux enseignants qu’aux élèves. Concrètement, la plateforme offre une classe virtuelle où les enseignants peuvent dispenser des cours en live. Elle crée un univers de collaboration et de proximité que ce soit entre les enseignants et les élèves ou les élèves entre eux. Par ailleurs, Microsoft Teams s’intègre aux applications courantes comme Word, Power Point et Excel.

Zoom

Comme la communication tient une place importante dans l’enseignement à distance, il y a l’incontournable Zoom. C’est un outil facile à utiliser pour les conférences vidéo, la collaboration et les webinaires. Le partage d’écran permet aux enseignants de montrer aux étudiants ce qu’il y a sur leur écran. Bon nombre d’entreprises utilisent cette plateforme durant le confinement.

Claroline

Véritable classe virtuelle, Claroline réunit les élèves en temps réel. La plateforme permet ainsi aux enseignants de dispenser des cours magistraux mais aussi de partager des documents et de répondre aux questions. L’outil est facile à prendre en main. En deux temps trois mouvement, l’enseignant peut débuter sont cours.

Edmodo

Dans l’esprit « réseaux sociaux », Edmodo propose un réseau privé de communication entre enseignants, élèves et mêmes les parents. La plateforme permet entre autres aux enseignants de partager les cours mais aussi de donner des devoirs et les noter. Le style réseau social permet facilement à la génération actuelle de s’y acclimater.

Deux barres, c’est positif ! En seulement 15 minutes d’attentes, les nouveaux autotests COVID-19 commercialisés en France depuis le 12 avril semblent être la meilleure alternative pour dépister rapidement le virus. A quand ces tests pour Madagascar ?

Depuis le début de la pandémie de coronavirus à Madagascar, la question des tests reste un souci pour beaucoup, notamment le prix ou la disponibilité. L’existence toute récente des autotests semble être une alternative permettant de corriger ce problème. Validé par la HAS (Haute Autorité de Santé) française, ce type de test permet d’avoir des résultats en peu de temps, mais surtout de faire le test soi-même sans sortir de la maison.

Une sensibilité clinique allant jusqu’à 95 %

Les expériences menées par la Haute Autorité de Santé en France ont démontré que la sensibilité clinique de ce tout nouveau type de test COVID-19 va de 80 à 95 %, dans le cas de personnes symptomatiques.  Pour les personnes asymptomatiques, cette sensibilité est aux alentours de 50 à 60 %. Par ailleurs, le temps d’attente est largement faible. Le patient peut lire lui-même les résultats de son auto prélèvement nasal après 15 minutes d’attente.

On dénote également la facilité d’utilisation du test en question. Il s’agit d’un outil de prélèvement nasal profond doté d’écouvillon, d’un récipient à solution et d’une cassette pour lire le résultat. La méthode est presque identique à celle du test PCR. L’échantillon obtenu dans la narine grâce à l’écouvillon doit être essoré dans la solution pendant une dizaine de minute. 4 gouttes de la solution seront, par la suite, à verser sur la cassette.

A quand ces tests pour Madagascar ?

Pour les grossistes en produits pharmaceutiques, les opinions restent assez divergentes mais se rejoignent sur un point : l’importation n’est pas prévue dans un horizon à court terme. Il faut tenir compte du pouvoir d’achat de la population et du prix du produit sur le marché, explique une responsable chez Dipropharm. « Le produit est intéressant, mais nous restons hésitant quant à en importer. La décision doit se baser sur le pouvoir d’achat des clients », souligne-t-elle.  

Le directeur de Pharmatek reste, par contre, sceptique quant à ce produit, indiquant que « les tests antigènes ne dépassent pas la barre des 40 à 60 % en termes d’acquitté, ce qui fait qu’importer l’autotest COVID-19 ne serait pas aussi intéressant ».

Dans tous les cas, les grossistes de produits pharmaceutiques qui voudraient importer ces autotests à Madagascar doivent avant tout obtenir validation du Ministère de la Santé Publique.

mercredi, 14 avril 2021 12:23

Journal du 14 avril 2021

- Mpitatitra : tsy manana tahiry hahafahana miaritra ny fampiatoana ny asa intsony

- Mahamenatra ny olona sasany ny milaza fa mitondra ny tsimok’aretina COVID-19 ny tenany

- Ahiana hampihena be ny vidin’ny omby ny fisian’ny aretina fièvre de la Vallée du Rift

- Efa ao anatin’ny vaninandro mampisaran-taona i Madagasikara


- Transport de dépouille de personnes décédées des suites de covid-19 : certaines pompes funèbres déclinent la demande

- Les pharmacies grossistes à Madagascar ne prévoient pas encore l’importation de l’autotest COVID-19

- Refonte du code du travail : ce que proposent les personnes en situation de handicap

- Antsiranana : les jeunes femmes entrepreneures dans l’agribusiness allient production et transformation

- Internet regorge d’opportunités pour les jeunes


mercredi, 14 avril 2021 11:02

Journal des régions du 14 avril 2021

- Mahajanga : la fosse commune destinée aux personnes décédées de la COVID-19 empiète sur des propriétés privées

- Amboasary Sud: zéro cas de COVID-19 mais l’heure est à la sensibilisation intense quant au respect des mesures sanitaires

- Menabe : 42 jeunes paysans du fokontany Antazoa Malaimbandy reçoivent un kit application de formation

- Routes nationales 1, 2, 4 et 7 : la gendarmerie nationale passe à une fouille en profondeur de tous les véhicules


- Mahajanga : voahady ho fasana iombonana hatramin’ireo tany misy tompony ao Antsatratokana

- Amboasary atsimo : entanina ireo mponina hanaja ny fepetra ara-pahasalamana na dia tsy mbola ahitana trangana COVID-19 aza ao an-toerana

- Ho mafimafy sy entitra kokoa ny fisavana ireo fiara amin’ny lalam-pirenena 1, 2 , 4, 7

- Menabe : tanora 42 mianadahy ao amin’ny fokontany Antazoa Malaimbandy no nomena ondry iray avy sy fitaovam-pamonoana bibikely any an-tanimboly

Légende photo : Le déparasitage est indispensable pour des résultats agricoles sains.

mercredi, 14 avril 2021 10:45

Revue de presse du 14 avril 2021

- La reprise des cours prévue ce lundi 19 avril 2021 sera-t-elle maintenue ?

- CMDELAC Analakely : 90% des travaux de réhabilitation sont achevés

- Bilan de l’étude menée par le CIRAD et FAO : 44% des malgaches sont sous-alimentés


- Mametra-panontaniana ny amin’ny ho avin’ny fampianarana amini’ity taona ity ireo mpampianatra sy mpanabe ary ireo ray aman-dreny

- CMDLAC Analakely : vita avokoa ny 90%n’ny asa fanambaoarana sy fanaoavazana io ivon-toerana ara-koltoraly io

- Tatitry ny CIRAD sy ny FAO : 44% n’ny malagasy dia miaina ao anatin’ny tsy fanjararian-tsakafo isan’andro

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