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Vivre sans payer des factures énergétiques ou ne plus subir les coupures d’eau ou d’électricité de la JIRAMA, c’est sans doute le rêve de beaucoup de Malgaches. Pourtant, peu osent encore franchir le pas et faire en sorte que leur maison soit entièrement autonome en énergie.

Pour un ménage moyen, n’utilisant que les matériels électriques strictement nécessaires et ayant l’eau courante, la facture mensuelle est en moyenne de 50.000 ariary. Cela inclut cependant des périodes de coupures d’eau et d’électricité qui peuvent parfois durer plusieurs heures en une seule journée. Une solution est pourtant possible pour s’en défaire et est déjà répandue dans les localités en brousse : l’énergie solaire. Le choix des matériels et des éléments à utiliser doit pourtant se faire avec minutie.

Tout se base sur la consommation

La première étape avant de se lancer dans l’installation d’un système énergétique pour avoir une maison autonome est de faire un bilan énergétique de celle-ci. Ce bilan énergétique se base principalement sur le calcul de la consommation mensuelle de la maison. Il faut ainsi identifier chaque appareil qui consomme de l’électricité ainsi que leurs spécificités et besoins. Cela commence par les lampes jusqu’aux gros appareils électroménagers.

Suivant le nombre d’appareils et leur consommation, les besoins en termes d’équipement pour l’installation solaire peuvent largement varier. C’est ce qui fera que le coût puisse être accessible ou au contraire, exorbitant.

Budget moyen à avoir pour une maison autonome

Si auparavant, le solaire était quelque peu réservé à ceux qui avaient les moyens, cette alternative est aujourd’hui plus qu’habituelle, surtout dans les zones reculées et isolées. Ainsi, aujourd’hui un panneau solaire de 20 Watts se vend à 50.000 ariary auprès des colporteurs. Au niveau des magasins par contre le prix va de 100.000 à 200.000 ariary suivant la qualité du panneau et sa marque.

Selon le responsable d’un magasin spécialisé en énergie solaire, il faut au minimum 600.000 ariary pour bénéficier d’un équivalent de 300 Watts d’énergie. En revanche, il s’agit d’un système qui dépend de l’ensoleillement. Pour un stockage de l’énergie, il faut compter le prix de batteries qui coûtent à partir de 800.000 ariary suivant leurs caractéristiques.

En somme, pour le strict minimum, il faut compter aux alentours de 1.000.000 ariary afin d’avoir l’énergie solaire chez soi. Pour un ménage utilisant plusieurs appareils électriques par contre, la facture d’achat peut aller jusqu’à 3.000.000 ariary et même jusqu’à 6.000.000 ariary. Toutefois, celle-ci sera amortie en étant exemptée de la facture de la JIRAMA.

On associe généralement les séquelles de la COVID-19 à la forme de la maladie qui est appelé Covid longue. Il s’agit d’une forme avec laquelle, la personne souffre des symptômes de la maladie mais de manière prolongée. Même après avoir terminé le traitement et être sorti de l’hôpital, les séquelles perdurent. 

Il faut savoir que les séquelles laissées par la COVID-19 peuvent entraîner une rechute, surtout si le patient ne prend pas certaines précautions. Après la période de traitement, une « période de convalescence » est à respecter, pour laisser au patient le temps de récupérer pleinement. Aussi, il est important de reconnaître les séquelles de la maladie pour mieux s’en soigner.

Les séquelles temporaires ou Covid longue

On les reconnaît également sous l’appellation de syndrome post Covid. Celles-ci se présentent principalement parce que l’organisme du patient n’a pas encore récupéré entièrement après le passage du virus.

Parmi les séquelles les plus fréquentes, on dénote notamment la fatigue, des troubles neurologiques (sensoriels ou céphalées suivant les cas), des troubles cardio-thoraciques (douleur à la poitrine, tachycardie, dyspnée, toux…), des troubles de l’odorat et du goût, des troubles digestifs.

Les séquelles à long terme des formes graves

Le passage du virus dans la cavité pulmonaire cause des dégâts assez importants notamment une inflammation. Quand l’inflammation se réduit, le poumon cicatrisera sous forme de fibrose, ce qui risque d’impacter fortement les capacités du patient à respirer dans le futur. Pourtant, la récupération dans le cas d’une atteinte des poumons peut être très longue.

La période de convalescence n’est pas à minimiser

Différents cas ont démontré qu’il était possible qu’une personne qui a déjà terminé le traitement de la COVID-19 peut contracter le virus à nouveau et rechuter. La meilleure manière d’en échapper est de bien respecter les indications du médecin traitant notamment pour la période de convalescence. Une période qui a été fortement atteinte par la COVID-19, nécessite une longue période de repos pour mieux récupérer.

À Madagascar, après le personnel de santé, les forces de l’ordre, huit jours après l’ouverture de la campagne de vaccination contre le coronavirus, à partir de ce 18 mai, c’est au tour des personnes âgées d’avoir leur première dose de vaccin. Quels sont les gestes à adopter avant de vous faire vacciner ? 

Se préparer à la vaccination

Voici quelques conseils à suivre pour se préparer à la vaccination et atténuer les effets secondaires éventuels :

• Il est impératif de s’abstenir de boire de l’alcool et de fumer trois jours avant et après l’injection.
• Il est également conseillé de dormir suffisamment, c’est-à-dire d’avoir au moins 7 heures de sommeil, une semaine avant la vaccination. Cela permet d’avoir de bonnes réponses immunitaires.

Rester hydraté le jour de la vaccination

Tout médicament pris 24 heures avant l’injection doit être signalé au centre de vaccination. Soulignons qu’il ne faut pas se faire vacciner pour la COVID-19 pendant un épisode infectieux et également dans les dix jours suivants.

Après l'injection

Après injection, il est préférable d’éviter de conduire car les effets secondaires apparaissent généralement au bout de 15 à 30 minutes.

Il ne faut également pas faire d’efforts physiques intenses. Il vaut mieux se reposer pour le reste de la journée.

Et pour terminer, conservez la carte de vaccination reçue car elle vous sera utile pour certaines procédures administratives.

Les éventuels effets secondaires du vaccin

Le vaccin contre la COVID-19 peut provoquer certains effets secondaires comme une douleur au bras, au niveau de la zone où l’injection a été faite, une légère fièvre, de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires ou articulaires, des frissons, la diarrhée sont autant d’effets possibles. On peut également observer des rougeurs, ou des gonflements au niveau de la zone de piqûre. Mais, en général, ces symptômes disparaissent au bout de 48 heures après l’injection. Si ce n’est pas le cas, et/ou si d’autres symptômes surviennent, comme de fortes bouffées de chaleur, un essoufflement, une augmentation du rythme cardiaque et une chute de la tension artérielle, il faut recontacter le centre de vaccination. L’irritation de la gorge et des poches au niveau des yeux sont également des réactions atypiques nécessitant un suivi. Il en est de même pour les douleurs dans les membres, le malaise, les démangeaisons au niveau de la partie où l’aiguille a été implantée et aussi les troubles du sommeil.

Certes la période de pluie est passée, mais il arrive pour certains que le taux d’humidité dans la maison reste élevé, par manque d’isolation ou d’aération. De ce fait, l’odeur de moisissure reste permanente dans la maison et peut créer des dégâts dans la maison ainsi que des problèmes de santé.

L’odeur de moisissure est souvent causée par un fort taux d’humidité dans la maison. Aussi, la meilleure solution pour s’en défaire est de bien aérer la maison ou plus encore, d’avoir une meilleure isolation à l’intérieur. Il peut arriver pourtant qu’aucune de ces solutions ne soit possible. Aussi, certaines solutions alternatives peuvent être mises en œuvre pour se débarrasser de l’odeur de moisissure.

Laver les murs et le sol

Généralement, l’odeur de moisissure est retenue par des parties des murs ou du sol qui retiennent le moisi qu’on reconnaît par son aspect. Nettoyer ces parties peut permettre de se débarrasser de l’odeur, au moins pour un moment. Pour les détacher, il faut préparer un mélange de 1 litre d’eau chaude, d’une cuillère à soupe de bicarbonate de sodium et du jus d’un citron entier. Avec une serpillère, on peut nettoyer le sol avec ce mélange, et pour les murs un vaporisateur fera l’affaire. 

Nettoyer régulièrement les moquettes, tapis et linges de maison

Les linges de maison retiennent facilement l’odeur de moisi. Aussi, autant que possible, il faudra laver ces linges de maison ainsi que les tapis et les moquettes une fois par semaine. Pour détacher l’odeur, le vinaigre blanc est le meilleur allié. Pour être efficace, il faut laver le linge avec un mélange d’eau et de vinaigre blanc pour se défaire de l’odeur de moisi, puis faites un deuxième nettoyage avec du savon ou un détergent.

Aérer les pièces autant que possible

Même si l’orientation de chaque pièce ne permet pas un ensoleillement adéquat pour éviter l’humidité, aérer les pièces peut aussi faire effet. Chaque jour, au moment où le soleil est au zénith, il suffira de laisser les fenêtres et les portes ouvertes, pour que l’air chaud et sec de l’extérieur brasse l’air humide de la maison. Si possible, équiper la maison d’un ventilateur à placer à côté des ouvertures pour mieux brasser l’air ambiant.

Le pot-pourri, pour assécher et parfumer

Il s’agit de mettre dans un récipient un mélange de feuilles séchées odorantes à placer dans un coin de la maison. En plus d’éliminer les mauvaises odeurs, le pot-pourri permet également de donner une touche décorative à l’intérieur de la maison. L’idée est simple : prendre un bocal ou un récipient en verre et y mettre des feuilles séchées, des pommes de pin séchées ou des écorces sèches. Pour terminer, il vous faut aromatiser le mélange avec quelques gouttes d’huiles essentielles permet d’avoir de meilleurs résultats.

A Madagascar, le taux de prévalence contraceptive moderne est de 35,2 % pour les femmes. Chez Advocacy For Youth Madagascar (AFYM), projet d’un consortium d’associations, appuyé par Planning Family 2020, l’objectif est de plaider en faveur d’une amélioration de l’accès des jeunes à la planification familiale. Dans cette optique, l’AFYM tient une consultation nationale des jeunes les 18 et 19 mai.

Une consultation nationale des jeunes

Le projet Advocacy for Youth Madagascar a pour objectif de plaider la cause des jeunes, notamment en matière d’accès au planning familial. Dans cette optique, le projet travaille de concert avec des associations de jeunes dans toute l’île qui remontent chaque année les problèmes, blocages et toutes autres difficultés rencontrées en rapport à l’accès au planning familial.

Ainsi, pour cette année, dans la préparation du plaidoyer national, l’AFYM tiendra ce 18 et 19 mai une consultation nationale des jeunes. Cela vise à rassembler tous les éléments pour mettre en place un document de plaidoyer. « Ce document de plaidoyer, basé sur le retour venant des jeunes de toute l’île, servira à plaider au niveau des instances gouvernementales et des décideurs pour le Plan d’Action National Budgétisé 2021 – 2025 en matière de planning familial », souligne Faniry Ramparaoelina, coordinateur Pays de l’IYAFP Madagascar.

Pour un plaidoyer national

Le but de ce plaidoyer national, et également du projet de l’AFYM, est de permettre aux jeunes d’avoir accès aux systèmes de planning familial, ainsi il est impératif d’intégrer ce point dans les débats pour que la loi soit appliquée. « Notre but est d’appuyer pour une application des textes de lois afin que les jeunes aient un accès au planning familial », précise Faniry Ramparaoelina.