COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Andrea Razafi

Andrea Razafi

Fondée en 1985, AKA.MA ou "Akanin'ny Marenina" est une école privée qui prend en charge l'enseignement et l'éducation des enfants malentendants. Cet établissement regroupe, comme les autres écoles, tous les niveaux de classe, allant de la garderie aux terminales. Les méthodes d'enseignement sont bien évidemment adaptées aux besoins des élèves, notamment grâce à l'utilisation de la langue des signes. Ainsi, des exigences particulières sont requises pour les enseignants afin que les élèves puissent acquérir toutes les compétences et connaissances nécessaires, explique le directeur ANDRIAMAMPIANINA Rivo Henitsoa.

Niorina tamin’ny taona 1985, ny AKA.MA na Akanin’ny Marenina dia anisan’ireo sekoly tsy miankina misy eto Madagasikara, izay mandray an-tanàna ny fampianarana sy fanabezana ireo ankizy manana fahasembanana amin’ny fandrenesana. Toy ny any amin’ny sekoly hafa dia ahitana kilasy rehetra manomboka amin’ny garabola ka hatramin’ny taona famaranana ao amin’ity toeram-pianarana ity. Tsy maintsy mifanaraka amin’ny filàn’ilay ankizy ny fomba fampianarana, izany hoe amin’ny alalan’ny tenin'ny tanana. Araka ny fanazavana nentin’ny talen-tsekoly, ANDRIAMAMPIANINA Rivo Henitsoa dia misy fepetra manokana omena sy takiana amin’ireo mpampianatra mba hahafahan’ireo ankizy misitraka ny fahaizana sy fahalalana feno izay ilainy.

La 50e session du conseil des Droits de l’Homme vient d’être clôturée. L’Office des Nations Unies à Genève, en Suisse, accueille cette réunion trois fois par an. Madagascar a été représenté par la mission permanente de notre pays auprès des Nations Unies et organisations internationales à Genève, conduite par Tatiana Eddie Razafindravao. Sortante de l’ENAM à l’âge de 24 ans, elle remplit la fonction de chargée d’affaires par interim auprès de cette entité depuis octobre 2019. Interview.

 

Studio Sifaka : Pouvez-vous décrire par vos propres mots le travail que vous faites, particulièrement dans le cadre du conseil des Droits de l’Homme.  

Nous avons un pôle Droits Humains au sein de la Mission Permanente. Avec notre équipe, on prépare les rapports et les déclarations nationales. On se positionne également par rapport aux déclarations conjointes ou régionales en Afrique, par exemple. On étudie aussi certaines prises de position ou adhésion à d’autres communications conjointes où Madagascar a été sollicité par d’autres pays et qui peuvent être dans l’intérêt de notre pays. Ou parfois c’est l’équipe même qui propose des communications conjointes avec d’autres pays par rapport à un thème particulier, tout ceci en partant des instructions venant de la capitale et des priorités du gouvernement.

Studio Sifaka : En quoi le travail que vous faites, avec votre équipe, est-il important pour Madagascar et quel est son impact pour notre pays ?

Notre travail dans le cadre des Droits de l’Homme a un enjeu particulier par rapport à toutes les autres représentations extérieures de Madagascar. Déjà, on est à Genève, on est au siège de l’Office des Nations Unies à Genève et du Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme. On est donc à la première ligne à chaque fois qu’il y a un conseil des Droits de l’Homme.  Nous sommes là pour être non seulement l’avocat de notre pays, mais aussi pour trouver les opportunités pour améliorer les conditions des Droits de l’Homme à Madagascar et la mise en œuvre des engagements internationaux relatifs aux Droits de l’Homme auxquels Madagascar a adhéré.

Studio Sifaka : Qu’est-ce qui vous plait dans votre travail ?

Beaucoup de choses me plaisent dans mon travail. Surtout je suis très fière d’être malgache et de porter la parole de mes compatriotes. Ici, on porte la parole du gouvernement mais c’est toujours dans l’intérêt de la population malgache. C’est une grande satisfaction quand on arrive à adhérer plusieurs pays à une cause qui est chère à Madagascar. C’est autant une satisfaction personnelle que professionnelle, même si notre travail semble intangible pour la plupart des gens. Je fais ce travail car j’ai encore foi à notre pays.

Studio Sifaka : Vous parlez des causes qui sont chères à Madagascar que vous défendez auprès du Conseil, vous avez des exemples à citer ?

Une de nos priorités du moment est de mettre en lien les thématiques des Droits de l’Homme aux conséquences du changement climatique. Considérant que Madagascar est le 4e pays le plus vulnérable face au changement climatique. Pouvoir défendre ça et mettre en avant cet argument à chaque fois dans notre déclaration, c’est déjà non seulement une porte qui s’ouvre vers d’autres opportunités et d’autres projets vers Madagascar mais c’est aussi une manière d’apporter de l’aide à la population.

 

 

Studio Sifaka : À part la question du changement climatique, Madagascar fait face aussi à d’autres grands défis en termes de Droits de l’Homme. Le fact sheet pays de cette année mentionne les violences basées sur le genre, les droits des détenus et la liberté d’expression. Nous sommes à mi-parcours de notre prochaine évaluation à l’examen périodique universel. Dans quel domaine nous avons fait des avancées positives, et dans quel domaine le gouvernement doit-il fournir plus d’efforts, de votre point de vue ?

À ce stade, un comité interministériel doit être crée au niveau gouvernemental avec la participation de la société civile. Ils vont monter ensemble le dossier du pays qui sera présenté à notre prochain exam périodique universel (EPU). Je ne suis pas en mesure de donner des détails par rapport à qu’est-ce qui a été fait concrètement pour l’instant. Ce que je peux dire, ce sont les points sur quoi Madagascar doit s’améliorer. C’est surtout en termes d’insécurité et sur les cas de violence envers les personnes atteintes d’albinisme. Ce sont les plus grandes préoccupations pour lequel Madagascar a été interpellé au niveau de Genève et par plusieurs agences des Nations Unies. D’ailleurs, la rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la question de l’albinisme a demandé à venir dans notre pays pour chercher à comprendre ce qui se passe réellement. On a déjà fixé un calendrier mais rien n’est encore officiel à ce jour.

Studio Sifaka : Comment expliquez-vous l’écart entre les chiffres présentés par le gouvernement et ceux recueillis par le système des Nations Unies sur les violences faites aux personnes atteintes de l’albinisme ?

L’Etat ne peut présenter que le nombre de plaintes déposées auprès de la gendarmerie et du système public. Mais dans la réalité, si des cas de violation des Droits de l’Hommes se présentent, la victime préfère approcher une association ou une ONG plutôt que de faire appel à l’autorité, que ce soit la police, la justice etc. Culturellement, pour nous les Malgaches, le Fanjakana a été/est synonyme d’oppression, rajouté à cela l’engrenage à la corruption. Les citoyens ont une certaine méfiance envers le Fanjakana. Entre les chiffres que l’Etat a recueilli et celui donné par la société civile, la différence avoisine une cinquantaine de cas, ce qui est vraiment énorme. Et on est obligé d’expliquer cette différence.

Studio Sifaka : Mais est-ce qu’il y a également un effort à faire pour améliorer la fluidité des informations entre les différents acteurs sur le terrain, le gouvernement et à votre niveau ici à Genève ?

Effectivement. Madagascar a hérité de l’administration publique française, qui est très lourde et pas toujours efficace en termes de procédures. Il y nécessairement une réforme à faire. Quand on voit qu’ailleurs, les diplomates ont juste besoin de s’échanger des whatsapp avec sa Capitale pour avoir des instructions. Et que dans de nombreux pays africains, il faudra écrire une lettre avec un numéro, un cachet, il faut l’imprimer, l’envoyer, elle doit passer par plusieurs personnes jusqu’au ministre avant d’arriver ici. Alors que devant une situation particulière, la décision doit être prise dans l’heure. Cela nous ralentit et nous pénalise car on est dépassé par les évènements.

L’autre raison aussi, est qu’on n’a pas d’ambassadeur ici en Suisse. Et techniquement, l’ambassadeur est le représentant du président de la République. En tant que représentant, il a le mot et la position pour s’exprimer à sa place et à le remplacer dans un temps bien défini, si besoin.

Studio Sifaka : Quels conseils avez-vous à transmettre aux jeunes qui aspirent à une carrière dans la diplomatie ou dans la fonction internationale ?

Alors, en tant que sortante de l’  ENAM, la seule voie pour devenir diplomate malgache est de suivre la voie royale. Faire le concours national à l’ENAM, terminer les deux années de formation, devenir agent diplomatique et consulaire et intégrer le département central au niveau du ministère des Affaires étrangères. Mais le plus difficile dans ce parcours, c’est de savoir si on est réellement prêt à s’engager. Travailler en tant que diplomate n’est pas seulement aller en mission à l’extérieur et rencontrer des hautes personnalités. Il y a beaucoup de sacrifices derrière, pour ne citer que la vie de couple et la vie familiale. À la suite de la réforme réalisée en 2019, nous avons un plan de carrière bien défini désormais : il faut passer tel nombre d’année dans un département central, tel nombre d’année dans une représentation permanente. Il y a cette rotation en permanence. Déménager d’un pays vers son pays puis vers un autre. Également, par rapport à la mission elle-même, notre travail ne connait pas d’heures supplémentaires. Être un diplomate c’est être joignable 24h/24. C’est un métier assez exigeant. Il faut être au courant de tout, à n’importe quel moment. On doit maitriser des sujets très techniques pendant les différentes réunions et représentations, allant des maladies transmissibles à la question de migration. Être une personne ouverte à la culture mais aussi toujours prête à se remettre en question. Et enfin, maitriser parfaitement la langue française et anglaise, une autre langue en plus est toujours appréciée.

 

Propos recueillis par Tsanta Haingombaliha

La technique de l’élevage de poulet est presque similaire à la téchnique traditionnelle. On procède l’ amélioration au niveau du poulailler, de leurs aliments, et de leurs suivis.

Selon le technicien en élevage, Edson Randriamahasahana, la période de reproduction est de six mois si on utilise des produits chimiques. Mais cela se prolonge en huit mois, voire même un an si on n’utilise que des aliments naturels comme les sojas, maïs, verre de terre etc.

Ny akoho gasy manara-penitra dia teknika iray tsy miala lavitra amin’ilay teknika nentim-paharazana saingy nasiana fanatsarana. Ohatra eo amin’ny trano fonenana, eo amin’ny sakafony ary eo amin’ny fanarahamaso ny fahasalamany.  Ny karazana akoho kosa dia hafa fa tsy ilay akoho gasy mahazatra ireny, izany hoe somary vaventy kokoa. Enim-bolana eo eo no fe-potoana hiompiana azy raha ireny sakafo misy akora simika no ampiasaina. Valo volana hatramin’ny heritaona eo kosa raha toa ka akora natoraly avokoa no mandrafitra ny sakafony sy ny fanafodiny, raha ny fanazavan’ny teknisianina momban’ny fiompiana,   Randriamahasahana Edson.

Quand on parle de médecine traditionnelle, on considère toujours qu’il s’agit d’un secteur illégal. Pourtant, il faut savoir que la médecine traditionnelle est protégée par la loi malgache sur la santé publique. Le Docteur Andriamihaja Ravelojaona a indiqué que de nombreuses enquêtes ainsi que des tests ont été effectués avant de leur donner des certifications.

Le traitement par l’argent colloïdale existe également à Madagascar. Il est plus connu comme antibactériens et antivirus. Le naturopathe, Andry Mampifaly nous fournit plus d’informations sur ce sujet.

Matetika vao miresaka fitsaboana nentim-paharazana dia tonga ao an-tsaina foana ny hoe fitsaboana tsy manara-dalàna.  Tsara ho fantatra anefa fa arovan’ny lalàna eto Madagasikara mombany fahasalamana ny asa fitsaboana nentim-paharazana.  Misy fanadihadiana sy fitsirahana maro atao amin’ireo mpitsabo nentim-paharazana ireo hoy Dokotera Ravelojaona Andriamihaja, mialohan’ny hanomezana azy ireo fankatoavana.

Efa misy eto Madagasikara ihany koa amin’izao ny fitsaboana amin’ny alalan’ny ranom-bolafotsy. Mamono ny otrik’aretina any anaty no tena ahafantarana azy. Ny mpitsabo amin’ny alalan’ny zavaboahary,  Andry Mampifaly no hitondra fanazavana mismisy kokoa mahakasika izay.

mercredi, 20 juillet 2022 13:18

Vrai ou Faux sur les oreillons.

Les oreillons se manifestent souvent par la douleur sur les oreilles, suivie parfois d’une fièvre. Cette maladie touche en général les enfants moins de 5ans mais peut aussi toucher les adultes. Souvent, les gens ne consultent pas le médecin quand ils ont l’oreillon. Le Docteur Antoine Ravelojaona affirme que les oreillons peuvent être guéris sans traitement mais des complications surviennent  dès fois si le sujet est vulnérable. Le vaccin contre les oreillons est déjà inclu dans le vaccin ROR, administré aux enfants avant son premier âge.

Fanaintainana eo amin’ny foto-tsofina, miaraka amin’ny fanaviana. Izay amin’ny ankapobeny no fiandohan’ny aretina donika. Ny zaza latsaky ny dimy taona amin’ny ankapobeny no tena voany saingy mety ho efa lehibe koa anefa vao hisehoany. Matetika dia tsy mandeha any amin’ny mpitsabo ny olona rehefa voany. Tsy tokony atahorana izay raha ambony ny hery fiarovana hoy ny Dokotera Ravelojaona Antoine, saingy kosa mety ho tonga any amin’ny trangana fahasarotana izany raha toa ka marefo ilay olona. Efa tafiditra anatin’ny vaksiny ROR atao amin’ny zaza alohan’ny faha heritaonany ny vaksiny miaro amin’ny donika.

mercredi, 20 juillet 2022 13:01

Le Journal des régions du 20 Juillet 2022

- Vakinankaratra : déroulement du Baccalauréat  pour les  candidats non-voyants du FOFAJA.

- Mananjary : les enseignants FRAM réclament le  paiement des vacations CEPE et BEPC de l’année 2020–2022.

- Boeny : préparatifs du festival Sobahya.

- Vakinankaratra : fizotry ny fanadinana bakalorea hoan’ireo jamba ao amin’ny FOFAJA.

- Mananjary : mitaky ny hanefana ny Vacation CEPE sy ny BEPC nanomboka ny taona 2020 hatramin’ny 2022 ireo mpampianatra FRAM.

- Boeny : fanomanana ny festival SOBAHYA.

mercredi, 20 juillet 2022 12:06

Le Journal du 20 Juillet 2022

- Baccalauréat : misy dingana arahana rehefa misy fahatratrarana fanaovana hosoka.

- Astéroid Day : Nampahatsiahy ny niandohan’ny hetsika ny Haikitana Astronomy.

- Zon’ny mpamorona : ny fomba fitsinjarana ireo tamberina ho an’ny mpanakanto.

- Ny maha-zava-dehibe ny fandehanana miala sasatra.

 

mercredi, 20 juillet 2022 07:17

Infos vues par les jeunes du 03 juin 2022

Comme tous les vendredis, le Studio Sifaka donne la parole aux jeunes pour échanger sur les actualités de la semaine. Aujourd’hui, Ravalison Antsa Angela, Rakotoarisoa Manitra Billy et Andriamanamisata Riantsoanavalona, étudiants, vont s’exprimer sur le mois de la langue malgache. Ils vont aussi parler des  tickets de bus numériques prochainement testés à Antananarivo et finalement ils vont parler de la journée mondiale des parents, célébrée tous les 1ers juin.

 

Isaky ny zoma, ny tanora no omena sehatra eto amin’ny Studio Sifaka, mba hahafahan’izy ireo maneho ny heviny mahakasika ireo vaovao nisongadina nandritra ny herinandro. Ho an’ny anio, i Ravalison Antsa Angela, Rakotoarisoa Manitra Billy ary Andriamanamisata Riantsoanavalona no haneho hevitra mahakasika ny iray volan’ny teny malagasy. Hiresaka mahakasika ny tapakila nomerika amin’ny fiara fitateram-bahoaka ary haneho hevitra momba ny andro maneran-tany ho an’ny ray aman-dreny ihany koa izy ireo.

mercredi, 20 juillet 2022 07:13

Infos vues par les jeunes du 24 Juin 2022

La suppression du système enseignants FRAM annoncée par le Ministère de l’Education Nationale, Monitoring sur l’entrepreneuriat et la célébration du 26 juin sont parmi les actus de la semaine sur Studio Sifaka. Trois jeunes dont, Randrianarivelo Tiavina, Linda Rinah et Ezra Be Fitiavana débattent sur ces sujets.  

Isan’ny vaovao nisongadina nandeha teto amin’ny Studio Sifaka tamin’ity herinandro ity ny fanafoanana ny mpampianatra FRAM izay nolazain’ny ministeran’ny fanabeazam-pirenena. Ny tantsoroka omen’ireo zoky an’ireo mpandraharaha zandriny. Ary ny endrim-pankalazana ny fetim-pirenena. Tanora telo no hiady hevitra momba izany dia i Randrianarivelo Tiavina, Linda Rinah, Ezra Be Fitiavana.

Durant la crise sanitaire due à la Covid-19, nombreux sont les entreprises qui ont dû changer leur façon de travailler pour que l’entreprise continue à fonctionner. Autrement dit, un pas vers une innovation dans l’administration et l’organisation.  Pourtant, ce pas vers l’innovation ne devrait pas s’appliquer seulement en période de crise, elle devrait être un mode de vie pour les personnels d’une entreprise et pour les entrepreneurs. L’innovation permet non seulement d’améliorer la productivité des employés mais également d’assurer la pérennisation d’une société ou d’un projet.  Les administrations de l’Etat tendent déjà vers cette idéologie à travers la digitalisation de certaines procédures. Dans le domaine de l’entreprenariat, il s’agit entre autres de développer de nouveaux produits et d’améliorer la stratégie de vente et de fonctionnement interne. La limite de l’innovation est la personne en elle-même, cela dépend entièrement de sa capacité à créer des choses à caractère innovant.

Nos intervenants :

  • Riveltd Rakotomanana – Le Ceentre - Le Centre d'Excellence en Entrepreneuriat
  • Niavo Ramamonjisoa - Chargée de programme entreprenariat Ambassade de France
  • José Randrianasolo – Secrétaire générale du FISEMA - Firaisan'ny Sendikan'ny Mpiasa eto Madagasikara

Voakasika mafy tamin’ny krizy nateraky ny Covid 19 ireo orinasa teto Madagasikara nanomboka ny taona 2020.  Tao anatin’izay dia maro tamin’izy ireo no tsy maintsy nanova fomba fiasa hahafahana manohy ny fampiodinana ny orinasa.  Izany fanavaozana izany anefa tsy amin’ny fotoanan’ny krizy ihany no ilàna azy satria singa iray mety hamaritra ny fotoana haharetan’ny orinasa iray. Amin’ny ankapobeny, efa miroso tsikelikely mankany amin’izany fanavaozana izany ny sampandraharaham-panjakana samihafa amin’ny alalan’ny fampiasana teknolojia. Hoan’ny sehatry ny fandraharahana kosa dia any amin’ny famoronana ny tetik’asa no efa mipetraka sahady izay fomba fisainana izay na any amin’ny vokatra ho hatolotra ny mpanjifa na any amin’ny fomba fiasa anatiny. Ny tena ihany no mety ho fetran’ny fanavaozana, ny fahatakarana zava-baovao mitaha ny efa misy.

Ireo mpandray anjara :

  • Riveltd Rakotomanana – Le Ceentre - Le Centre d'Excellence en Entrepreneuriat
  • Niavo Ramamonjisoa - Tompon’andraikitry ny fandaharan’asa fandraharahana ao amin’ny masoivohin’ny Frantsa eto Madagasikara.  
  • José Randrianasolo – Sekretera jeneraly ny FISEMA - Firaisan'ny Sendikan'ny Mpiasa eto Madagasikara

Egypte, Kenya, Sénégal, Afrique du Sud, Rwanda, Tunisie et Nigéria. Ce sont les pays qui ont des projets de productions de vaccins en Afrique. Ces pays ont été dotés de technologie ARN messager ou ARNm pour la production de vaccins Pfizer-BioNTech et de Moderna.

En janvier 2022,  le groupe sud-africain BIOVAC a inauguré l’usine de production de vaccin au Cap. En juin 2022, une seconde usine a également vu le jour à Kigali, Rwanda. Les essais commenceront en  fin 2022 et la production sera prévue pour 2024. Cette dernière est liée au laboratoire pharmaceutique allemand BioNTech.

Ces laboratoires sont en pleine travaux de préparation et de formation. Elles pourront également produire d’autres vaccins  contre le paludisme, la VIH ou la tuberculose, ou aussi des médicaments contre le  diabète et le cancer.

Jusqu’ici, moins de 20% de la population africaine est vaccinée contre la COVID19.

COVID19: aiza ho aiza isika izao amin'ny famokarana vaksiny aty Afrika?

Ejipta, Kenya, Sénégal, Afrika Atsimo, Rwanda, Tonizia ary Nizeria. Ireo aloha no firenena manana tetikasa famokarana vaksiny aty Afrika iadiana amin’ny COVID19. Ny teknolojia ARN messager na ARNm ho an'ny famokarana vaksiny Pfizer-BioNTech sy Moderna no voakasika amin’izany.

Tamin'ny Janoary 2022 no notokanan’ny ny vondrona Afrikana Tatsimo BIOVAC ny orinasa mpamokatra vaksiny ao Cap. Tamin’ny Jona 2022 koa, notokanana ny orinasa hamokarana vaksiny any Kigali, Rwanda. Amin’ny faran’ny taona 2022, no atao ny andrana  voalohany ary ny taona 2024 no mety hanomboka ny famokarana. Mifandray amin’ny laboratoara  alemana BioNTech ity farany ity.

Ao anatin’ny fanomanana sy fiofanana ireo laboratoara ireo amin’izao. Afaka mamokatra vaksiny hafa miady amin'ny tazomoka, ny VIH, ny raboka, na koa fanafody miady amin'ny diabeta sy homamiadana izy ireo.

Hatreto, latsaky ny 20% amin'ny mponina afrikanina no vita vaksiny amin'ny COVID19.

mardi, 19 juillet 2022 12:23

Le Journal du 19 Juillet 2022

- Bakalorea : Manohana ara-tsakafo ireo mpiadina mipetraka alavitra ireo fikambanana sasany sy ireo tsara sitrapo.

- Natokana ho an’ny tanora Afrikana ny vatsim-pianarana Mandela Washington.

- Miakatra ny sandan’ny dolara satria mihena ny fanondranantsika entana.

- Miandrivazo : ratsy ny vokatra tsaramaso noho ny fiovaovan’ny toetr’andro.

 

Diana : les agriculteurs de vanille issus d’une association reçoivent plus de bénéfices dans la vente de leur récolte.

Vakinankaratra : le CHRR Antsirabe offre des consultations gratuites pendant 3 jours.

Menabe : une hausse de 1.000 ar à 5.000 ar sur les frais de transports régionaux.

 

Diana : mahazo tombony kokoa ireo tsantsaha mpamboly lavanila anaty fikambanana nandritra ity taom-piotazana ity.

Vakinankaratra : fizaham-pahasalamana maimaim-poana mandritra ny 3 andro ataon’ny CHRR Antsirabe.

Menabe : niakatra 1.000 ar hatramin’ny 5.000 ar ny saran-dalana hoan’ireo zotra rezionaly.

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