Les réseaux sociaux sont devenus des outils indispensables aux entreprises. Mais encore faut-il savoir quels réseaux sociaux choisir en fonction de l’identité de l’entreprise, de ses produits et de sa cible. Selon Thierry Ratsizehena, consultant et formateur en médias sociaux, il faut prendre en compte le comportement des cibles, les réseaux qu’ils utilisent et pourquoi ils les utilisent. En général, Facebook et Linkedin sont les must des réseaux sociaux qu’une entreprise devrait avoir.
Titulaire d’un Master 2 en droits des affaires, Steeve Andriamasy travaille actuellement comme conférencier en entrepreneuriat. Un métier qui ne correspond pas totalement à son parcours académique. Pourtant, dans ce travail, il est parfaitement épanoui. Certes, le ministère du travail à Madagascar défini cela comme une inadéquation entre l’emploi et la formation. Mais pour certains jeunes comme Steeve, c’est une opportunité de basculer vers un métier qui lui correspond plus.
Fitaovana iray tsy azo hialana ho an’ireo orinasa ny fampiasana tambazotra sosialy, indrindra fa nanomboka tamin’ny nidiran’ny valanaretina covid 19 teto Madagasikara. Maro ireo tambazotra sosialy azon’izy ireo hampiasaina saingy mila hay ny misafidy izany. Miankina amin’ny antom-pisian’ilay orinasa, ny vokatra amidiny sy ny sokajin’olona kendreny izany. Ilaina ny mamantatra ny toetr’ireo olona tiana ho sarihana, ny tambazotra tena fampiasany sy ny antony hampiasany izany, hoy Ratsizehena Thierry, mpampiofana momba ny fampiasana tambazotran-tserasera.
Nahavita fianarana tao amin’ny lalam-piofanana lalà na i Andriamasy Steeve. Tsy mifanaraka tanteraka amin’izay anefa ny asa nataony taty aoriana. Na izany aza, mivelatra sy mivoatra ny maha izy azy ao anatin’io sehatra asa vaovao io. Manome toro-hevitra ho an’ireo tanora izay mety hanaraka izay safidy izay izy.
Le pic des contaminations ou la phase aigüe de la pandémie pourrait prendre fin vers le mois de mars prochain en Europe, a déclaré le directeur général de l’organisation mondiale de la santé ce 24 janvier 2022.
Au moins 60% de la population européenne aurait été déjà en contact avec le variant Omicron. Une fois que cette vague sera calmée, une immunité globale va s’installer soit grâce aux vaccins, soit grâce à l’immunité conférée par une infection, explique-t-il. Ainsi, le nombre de nouvelles contaminations va baisser et se stabiliser pendant plusieurs mois.  Â
Toutefois, l’organisation onusienne demande à ne pas relâcher les efforts déjà déployés jusqu’à maintenant. Il faut accélérer la distribution des vaccins et se préparer à l’arrivée d’un éventuel nouveau variant.
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COVID-19 : antenaina hihena ny isan’ny tranga vaovao voamarina any Eoropa ato ho ato
Tokony ho tratra amin’ny volana martsa ho avy io ny isa farany ambony amin’ny tranga vaovao na pic des contaminations, ao Eoropa hoy ny tale jeneralin’ny sampandraharahan’ny firenena mikambana misahana ny fahasalamana, ny 24 janoary teo.
Farafahakeliny 60% isanjaton’ireo mponina ao Eoropa mantsy dia efa nifampikasoka tamin’ilay endrika vaovao Omicron avokoa. Heverina noho izany fa ho azo ny hery fiarovana iombonana, na avy amin’ny alalan’ny vaksiny io na avy amin’ny alalan’ny olona iray voan’ny COVID-19 ka sitrana. Hihena ny isan’ny tranga vaovao ary tsy hisy fiovana be intsony izany, ato anatin’ny volana maromaro.
Na izany aza, nangataka ny OMS ny hanohizana ireo ezaka rehetra efa natombokatra hatreto, toy ny fanaovam-baksiny. Ary miomana hatrany sao misy fiovan’endrika vaovao mipoitra.
Solidarité, entraide, … les catastrophes humanitaires sont souvent des révélateurs de l’humanité qui sommeille en tout un chacun.
Voir des familles démunies après la montée des eaux laissent difficilement insensible. Les derniers chiffres officiels parlent de 101 461 sinistrés dans tout Madagascar dont 95 398 pour la seule région d’Analamanga. Pour le cas de la capitale, même si le soleil a fait son retour, la décrue n’est pas encore au rendez-vous. Le président de la République Andry Rajoelina est encore descendu sur le terrain ce jour pour constater les dégâts dans la partie sud de la ville.
Des centaines d’hommes et de femmes sont actuellement à pied d’œuvre pour porter assistance aux sinistrés. Une responsable au sein du ministère de la Population partage son vécu depuis plus d’une semaine. « Je ne dors que deux heures par jour. Je suis toujours sur le terrain à coordonner les actions », indique-t-elle, pour qui cette inondation est la cinquième catastrophe à laquelle elle a fait face. « Ce n’est jamais pareil. C’est certes mon travail mais on ne peut ne pas être triste à la vue de ces familles dans le désarroi. Dieu merci, jusqu’ici, je n’étais pas encore confronté à beaucoup de blessés graves ni de morts », confie-t-elle. Elle déclare toutefois qu’il est important de surmonter les sentiments pour bien assurer son rôle. « Savoir que ce je fais peut vraiment aider des gens dans le besoin me confère une satisfaction personnelle », conclut-elle.
Solidarité
La solidarité s’organise également dans les communautés touchées. Des photos partagées sur les réseaux sociaux ont montré des gens qui collaborent pour colmater par exemple des digues. C’est le cas du fokontany d’Ankeniheny du côté d’Ambodimita. D’après la conseillère municipale à la CUA Hilda Hasinjo Ravelonahina, les habitants ont répondu à l’appel du fokontany pour trouver une solution à la digue qui présentait des fuites. Un même élan de solidarité a été observé du côté d’Ankorondrano où la population a aidé à la mise en place de batardeaux pour contenir l’eau.
Des actions isolées et spontanées ont également été observées durant ces derniers jours toujours sur les réseaux sociaux. Quatre garçons, âgés entre 19 et 20 ans, se sont par exemple cotisés pour donner des provisions à une dizaine de foyers du côté d’Ambohimanambola. Ils avaient ciblé des personnes qui ne pouvaient pas travailler à cause du mauvais temps. D’après les explications, ce sont des amis qui ont l’habitude de faire des actions de ce genre notamment durant les fêtes.
Toujours dans cet esprit de solidarité, les autorités ont lancé un appel à volontaires pour aider dans l’assistance des sinistrés. Selon une source auprès du ministère de la Communication, les jeunes y ont répondu massivement. « On avait recherché 350 volontaires. Plus de 700 ont répondu à l’appel », confie la source.
Tolotra Andrianalizah
Le « deepfake » est une technique permettant de modifier le contenu d’une image, d’une vidéo ou d’un son, grâce à l’intelligence artificielle. Le « deepfake » peut se peut se faire à travers de nombreuses applications, il y a la possibilité d’échanger le visage d’une personne sur une vidéo avec celui d’une autre ou la possibilité de modifier tout simplement un élément de la vidéo. Bien qu’il soit divertissant, il peut également conduire à la création et diffusion de fausses informations. Il est difficile aujourd’hui d’identifier une vidéo « deepfake », mais on peut déjà le faire en observant la manière dont la personne prononce les mots, a suggéré le représentant du Factiviste Ricard Andrianamanana. Il existe aussi des plateformes comme factchecker.org ou la page facebook « Factivistes » pour Madagascar, qui apprennent aux internautes à identifier les fausses informations.Â
Fomba fampiasana ny teknolojia malaza anaty tambajotra sosialy ny « Deepfake », entina hanovana horonantsary na horonampeo. Mety ho kilalao sy fanandramana no tena ampiasain’ny olona azy, fa mety ho tonga any amin’ny fanaparitahana vaovao tsy marina anefa. Misy karazany ireo rafibaiko fampiasa amin’izany, ao ny manova endrika, ao ny fampifamadihana tarehin’olona roa, ao koa ny hahafahana manova singa iray anatin’ilay horonantsary. Sarotra ny fahafantarana ny horonantsary vidéo deepfake fa azo fantarina amin’ny fomba firesaka ihany izany hoy ny solontena avy amin’ny Factiviste, Andrianamanana Ricard.Mila mitandrina amin’izy ity satria fomba hahafahana mamorona vaovao diso izy, entina hanalana baraka ihany koa amin’ny alalan’ny fampilazana teny izay mety tsy naloaky ny vavan’ilay olona voakasika. Efa misy ireo karazana tahalaka toy factchecker.org na ny pejy facebook factiviste raha eto Madagasikara, izay mampianatra ny olona mijery ny vaovao diso.Â
Le changement au niveau du volume et du prix des offres internet ont fait réagir un grand nombre d’utilisateurs sur les réseaux sociaux. Une situation qui laisse voir qu’internet est essentiel dans notre quotidien, dans la vie professionnelle que personnelle. Mais jusqu’où peut-on dire qu’internet est essentiel à Madagascar ?
« J’utilise beaucoup internet. Je suis professeur dans une université privée en ligne, donc les recherches, la préparation des cours et la correspondance avec les collègues et les étudiants passent toutes par internet. Je consomme jusqu’à 150 Go par mois », selon Rakotozandry Ignace, professeur. De constat, la vie virtuelle a eu un élan considérable depuis le début de la pandémie. Presque tout se fait en ligne. « Depuis le contexte imposé par le coronavirus, il faut basculer l’enseignement vers internet. Cela permettra d’éviter l’interruption incessante des cours et d’assurer la réussite de l’année scolaire, surtout dans les zones les plus impactées par la maladie », renchérit Rakotoarivelo Dera, professeur. Néanmoins, des mesures devraient être prises pour bien faire cette transaction, rattrape Majelo Jean, opérateur en multi-services : « Même si internet est un service essentiel pour beaucoup, seules les zones électrifiées jouissent d’internet, ce qui ne dépasse pas 30% des foyers malgaches aujourd’hui. Cela risque de pousser à un développement à deux vitesses et donc de créer un contraste plus grand».
Madagascar possède un taux de pénétration à internet de 14% dont 42% à Antananarivo par rapport au nombre d’habitants, selon des chercheurs au sein de malagasy.tech. La qualité de la connexion reste donc satisfaisante même si cette faible consommation justifie la cherté des offres.
Maro tamin’ireo mampiasa aterineto no naneho hevitra manoloana ny fiovan’ny tolotra aterineto eto amintsika, na eo amin’ny vidiny na ny kalitao. Misy mihitsy ny manankim-piainana aminy, na amin’ny sehatry ny asa na amin’ny fiainana an-davanandro. Azo itarafana ny maha-zava-dehibe ny aterineto noho izany ity tranga ity. Marina tokony ve tsy azo ihodivirana ny aterineto eto Madagasikara ?
« Mpampianatra amin’irony sekoly ratovana an-davitra irony aho ka mampiasa aterineto na amin’ny fikarohana ataoko, na amin’ny fanomanana ny fampianarana, na iseraserana amin’ireo mpiara-miasa sy mpianatra. Mandany hatramin’ny 150 Go isam-bolana aho noho izany » hoy i Rakotozandry Ignace, mpampianatra. Tsikaritra ihany koa fa nanomboka tamin’ny nisian’ny amehana ara-pahasalamana, nahazo vahana ny fampiasana aterineto amin’ny lafin-javatra maro. « Noho ny fihibohana lavareny vokatry ny valan’aretina coronavirus, tsara kokoa raha atao an’aterineto avokoa ny fampianarana mba tsy ahatapaka ny taom-pianarana, indrindra ho an’ireo faritra tena voakasik’izany » hoy kosa i Rakotoarivelo Dera, mpampianatra. Na eo ary izany, misalasala i Majelo Jean, mpisehatra amin’irony multi-services irony. Notsindriany fa : « na ilaina amin’ny andavan’andro ary ny aterineto, tsara ihany ny hampitoviana lenta ny faritra rehetra mba tsy hisian’ny fisaraham-bazana lalina amin’ny faliny fampandrosoana. Hita ho taraiky ireo toerana tsy mampiasa aterineto noho tsy fisian’ny famatsiana jiro, raha oharina amin’ireo manana izany ».
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Eto Madagasikara, 14%- ny mponina no mampiasa aterineto,  ary ny 42%-ny mponina eto Antananarivo no mampiasa izany hoy ireo mpikaroka avy ao amin’ny malagasy.tech. Noho io taha ambany io no mahatonga ny saran’ny aterineto ho mbola lafo, hoy izy ireo hatrany.
La crampe est une forte contraction involontaire, douloureuse et paralysante de certains muscles à cause d’un trouble fonctionnel, comme la fatigue. Elle est très connue et fréquente chez les sportifs, comme Maherison et Fortunat en témoigne. Toutefois, la crampe peut arriver à n’importe quel moment de la journée, même au lit, comme le cas de Linda. Le coach sportif, Angelo Randrianandrasana explique qu’il faut immédiatement étirer le muscle atteint de crampe et prendre un petit temps de pause. Certaines crampes peuvent être évitées en buvant suffisamment d’eau dans la journée.
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Ny crampe dia fikainkonana na fivokonan-kozatra. Maharary tsy ahavitana mihetsika mihitsy aza indraindray rehefa mitranga izany. Ny mpanao fanatanjahantena no tena miaina azy io matetika, vokatry ny havizanana na ny ezaka be loatra ataony. Saingy mety ho tratran’izany avokoa ny rehetra, na dia eo am-pandriana aza toa an’i Linda. Manazava ny mpanazatra ara-fanatanjahantena, Randrianandrasana Angelo, fa tsy maintsy henjanina avy hatrany ilay hozatra mivokona ary rehefa afaka izany dia tokony avela haka aina aloha satria mety hiverimberina izay kirampy izay ary mety tsy hamaly intsony izay hozatra izay ny farany. Azo sorohana ny krampy raha misotro rano tsara anatin’ny andro iray. Fa indrindra, ny olona tsirairay koa dia tokony hahalala ny fetrany rehefa mampiasa vatana.
Ramanantoanina Andrianiaina (Rany), étudiant en droit et Tolotra Andrianirina, étudiant en communication s’expriment sur les sujets suivants :
- L’usage d’électricité et l’usage des énergies propres comme alternative.
- La vaccination contre la covid-19 comme critère d’embauche au sein des entreprises.
- La rentrée scolaire 2022 : Revenir en classe ou rester en confinement ?
Ramanantoanina Andrianiaina (Rany), mpianatra lalà na sy Tolotra Andrianirina, mpianatra mahakasika ny fifandraisana (Communication) dia maneho hevitra mikasika ny :
- Famatsiana jiro sy ny fampiasana ireo angovo madio hanoloana ireo mahazatra.
- Fanaovam-baksiny miady amin’ny covid-19 eny anivon’ny toeram-piasana.
- Fidiran’ny mpianatra taona 2022: Hiditra sa mbola hihiboka ?
Les élections sont toujours une affaire de gros sous. Qu’en est-il du financement des partis politiques à deux ans de l’échéance présidentielle ?
A un peu moins de deux ans de la Présidentielle de 2023, Madagascar entre dans une période délicate en matière de lutte contre la corruption selon la directrice exécutive de Transparency International-Initiative Madagascar, Ketakandriana Rafitoson. « La vigilance est plus de jamais de mise », indique-t-elle alors que l’association travaille justement sur les fonds de campagne. « Nous avons lancé une consultation en septembre auprès des partis politiques sur les mécanismes à mettre en place pour parvenir à la traçabilité et au plafonnement des fonds de campagne », indique Mialisoa Randriamampianina, responsable de projet intégrité politique de TI-IM. Cette dernière indique que des mécanismes spécifiques sont nécessaires car jusqu’ici on a toujours fait fi de la loi. En effet, les textes encadrent le financement des partis politiques et des campagnes mais ils n’ont eu que peu d’effet.
Egalité des chances
En 2018, TI-IM a déjà lancé un appel aux candidats à la Présidentielle sur l’origine des fonds lors de la campagne mais sur les 36 inscrits, seuls 6 ont répondu. « Sur le plan théorique, les partis sont ouverts à ce débat mais dans le fond, il y a une certaine réticence dans la mesure où un plafonnement limite la portée des campagnes », lance Mialisoa Randriamampianina qui réitère que les questions d’argent rendent les partis réticents. Consciente de la difficulté de la tâche, elle indique que c’est une étape importante à franchir dans ce combat. « Si jamais ce ne sera pas encore pour 2023, ce sera pour les élections à venir », indique-t-elle.
L’enjeu est de taille car il y a un risque de « capture de l’Etat par des intérêts privés » si l’on se réfère à un rapport publié par TI-IM il y a quelques mois. Au-delà de cela, il y a également le souci d’égalité des chances pour les partis politiques comme c’est inscrit dans l’article premier de la loi relative aux partis politiques. L’objectif étant de « renforcer la démocratie et l’alternance démocratique et promouvoir la participation permanente à la formation de la volonté politique du peuple ».
Tolotra Andrianalizah