- Faire face aux défis de la déforestation
- Fond malgache de formation professionnelle : vers des formations pour les jeunes travailleurs d’Antsiranana
- Des jeunes artistes représentent leurs croyances à travers le dessin
- Mpitondra moto mendrika : vers la formation des conducteurs de deux-roues dans les entreprises
- Se fixer des principes est utile pour faire aboutir les résolutions de l’année
- Sahirana iteo tanora mbola tsy nahita asa amin’ny fandoavana ireo faktioran-jiro tsy voaloha nandritry ny fihibohana
- Misy mizaka fanilihana ataon’ny fiarahamonina ireo ankizy niharan'ny fanolanana ao Toamasina
- Antsiranana : maro ireo hetsika afaka ataon’ny tanora rehefa andro tsy fianarana
- COVID-19 : misy tanora malagasy anisan’ny voafantina amin’ilay fifaninana horonantsary ho an’ny tanora mipetraka any Kunming City (Sina)
- Mirona amin’ny taranja vaovao pancrace ireo tanora mpitia haiady ao Antsirabe
- Réouverture du centre de dépistage d’Andohatapenaka : le reconfinement n’est pas à écarter
- Transports en commun : 600 taxi be dotés de GPS
- Vaste coupure d’eau dans 85 quartiers de la capitale ce jour
- Toerana 85 eto Antananarivo no voakasiky ny fahatapahan’ny rano androany
- Taxi-be miisa 600 no nametahana GPS
- Tsy tokony hamaivanina ny mety ilàna ny fihibohana indray ao aoriana kely ao
Selon certaines croyances malgaches, le “vintana” est un mot malgache utilisé pour désigner la chance qui est liée à la vie quotidienne. Pour beaucoup, le nom d’une personne pourrait même influer sur ses chances. « Pour les Ntaolo malagasy, l’attribution d’un nom à sa progéniture est très importante. Il doit porter une signification particulière car donne une direction, de la chance, et un avenir à celui qui le porte. De ce fait, il est important de bien réfléchir avant de donner un nom à sa progéniture », explique le traditionnaliste, Hemerson Andrianetrazafy.
Selon certaines croyances malgaches, le “vintana” est un mot utilisé pour désigner la chance qui est liée à la vie quotidienne. Pour beaucoup, le nom d’une personne pourrait même influer sur ses chances. « Pour les Ntaolo ou ancêtres des malgaches, l’attribution d’un nom à sa progéniture est très importante car sa signification particulière doit donner une direction, de la chance, et un avenir à celui qui le porte. De ce fait, il est important de bien réfléchir avant de donner un nom à sa progéniture », explique le traditionnaliste, Hemerson Andrianetrazafy.
Ny fanaoko dia fomba fiteny betsimisaraka. Izay entina ilazana zavatra tsara azon’ny olona iray. Mety ho ratsy ihany koa anefa izany saingy azo adika tsotra hoe sahaza na ampy hoy i Mister Frederic, mpikabary.
Cette expression propre aux Betsimisaraka décrit une situation dans laquelle un individu reçoit ce qu’il mérite, le meilleur comme le pire. Il s’agit d’une bonne dose de récompense comme l’explique l’orateur Mister Fréderic.
Nombreuses personnes ayant perdu leur emploi durant le confinement n’ont toujours pas repris. La reconversion s’impose surtout pour les professionnels du tourisme, en particulier pour les guides.
Alors que la reprise du tourisme est toujours aussi incertaine, nombreux sont les acteurs, vivant de ce secteur, qui déchantent. La seconde vague dans les marchés émetteurs ne présage rien de bon, l’espoir de l’efficacité des vaccins étant suspendu pour le moment. Les guides figurent parmi les professionnels durement impactés par la fermeture du ciel.
Mettre à profit les capacités
Andy, chauffeur-guide, a vu 5 voyages annulés à l’annonce du confinement en mars. Depuis cette date, il n’a plus travaillé, lui qui effectuait jusqu’à 10 voyages par an. Janvier, Andy a décidé de chercher un autre travail en attendant la reprise. « Je compte mettre à profit mes capacités en langues étrangères pour trouver du travail », lance-t-il. Le jeune père de famille écume ainsi les offres d’emploi des call centers.
Mihaja, un autre guide, s’est mué en revendeur de rhum arrangé depuis. « J’ai pris l’habitude de rapporter du « toaka gasy » en rentrant de mes voyages pour en faire des rhums arrangés. Mes préparations étaient particulièrement appréciées », indique-t-il. Il en a d’abord vendu à des amis proches. De fil en aiguille et grâce au bouche-à-oreille, sa clientèle s’est agrandie notamment durant les fêtes de fin d’année. Mihaja proposeses préparations à 22.000 ariary le litre.
Miatrika (traduction littérale : faire face)
Pour les guides locaux dans les parcs, le retour à la terre a été la solution la plus évidente. « Nombreux sont mes collègues qui sont rentrés chez eux en brousse pour cultiver », déclare un guide à Andasibe.
Dans le cadre du Plan multisectoriel d’urgence, le gouvernement a mis en place un programme de renforcement de compétence du capital humain du secteur tourisme d’une valeur de 2 millions de dollars. « Il y a une partie reconversion notamment dans l’entrepreneuriat mais le gros des formations concerne surtout le renforcement de compétences », souligne la directeur exécutive de la Confédération du tourisme de Madagascar, Sandra Afick. Les formations sont gratuites et les bénéficiaires recevront 10.000 ariary par jour. Les inscriptions se font sur le site www.miatrika.mg. Le programme vise à former 10.000 personnes dans tout Madagascar dont 5.000 à Antananarivo.
Interrogé sur le programme, Andy indique ne pas s’intéresser au programme. « J’ai deux enfants. Ce dont j’ai besoin, c’est d’argent et d’un travail », résume-t-il.
« Aiza ny bonne année », c'est une expression qu'on entend souvent en début d'année. Il s’agit d’une façon de demander indirectement un cadeau du nouvel an à ses connaissances, et même aux inconnus. Jean Maurice Rasamoelina, orateur, affirme que selon la tradition malgache, le nouvel an est une occasion d’offrir des cadeaux aux aînés et aux parents. Mais, il souligne qu’il n’est pas très commode d’en faire une demande à n’importe qui.
Aiza ny bonne année, fomba fiteny rehefa taona vaovao, entina hangatahana zavatra any amin’ilay olona arahabaina. Anjaran’ny zandry no manome « bonne année » ho an’ny zokiolona sy ny raiamandreny hoy Rasamoelina Jean Maurice. Tsy tsara anefa raha ny olona rehetra no anaovana izay fangatahana izay. Ary matetika lasa maka endrika fangatahana ankolaka ity fiteny ity.
La plupart des bailleurs de projets et d’initiatives financent souvent des associations au lieu de personnes physiques individuelles, surtout lorsqu’il s’agit de projets à portée sociale. Mais pourquoi cette préférence ? Fety Berthela, incubateur et entrepreneur d’Antsiranana nous éclaire sur ce sujet.
Maro ireo fiantsoana ahazoana famatsiam-bola mivoaka rehefa telo volana voalohan’ny taona toa izao. Matetika anefa dia ny fikambanana na vondron’olona no tena omen’ny mpamatsy vola vahana amin’izany. Hanome fanazavana mikasika iny anton’izany safidy izany i Fety Berthela, mpandraharaha sy mpirati-dalana ary mpanoro hevitra ny fikambanana sy ny mpandraharaha eto Antsiranana.
Betsaka ny trangan-javatra miseho amin’ny vatan’ny vehivavy rehefa avy miteraka izy, anisan’izany ny sovoka sy ny fandehanan’ny rà aorian’ny fahaterahana. Misy ny milaza fa tokony mifàna ny vehivavy rehefa avy miteraka sy tsy mandray rano sao voan’ny sovoka. Ny Dr Christian Razafindrandria no hanazava ny marina mikasika izay. I Elodie Razafivao, mpitsabo mpanampy kosa dia hanisy resaka momba ny rà mandeha aorian’ny fiterahana.
Des changements opèrent dans le corps d’une femme après l’accouchement. Parmi eux figurent les locchies et les trachées. Certaines personnes disent que les trachées sont dues à l’air qui entre dans l’utérus de la femme. Il faut alors se reposer pendant un mois et ne pas toucher de l’eau. Le Dr Christian Razafindrandria nous explique ce phénomène. L’infirmière généraliste, Elodie Razafivao nous parlera des locchies.
-Les trois suspects dans l’affaire des 73,5kg d’or détenus en Afrique du Sud comparaissent à la barre ce jour
-La douane saisit l’aéronef 05-ASB de la compagnie STA
-Labellisation de l’EPP Ambohibao Antehiroka-Ecole « Amie de Wash »
-Suite aux élections, une restructuration se fera au niveau du Sénat
-Niatrika fitsarana anio tao Johannesburg ireo telo lahy voatazona tao Afrika Atsimo noho ny raharaha volamena 73,5 kilao
-Nogiazan’ny fadin-tseranana Malagasy ilay fiaramanidin’ny STA nitondra ireo volamena 73,5 kilao
-Voahosotra ho « sekoly naman’ny rano » ny EPP Ambohibao Antehiroka
-Hasiam-panavaozana ny firafitry ny birao maharitry ny antenimieran-doholona
Le jeu de stratégie Plague Inc donne une idée de ce qui se passe actuellement avec la COVID-19. La nouvelle extension, The Cure, met le joueur à la place des pays qui luttent contre la pandémie.
Déclencher une pandémie pour anéantir l’humanité. Tel est l’objectif, pour le moins original, du jeu de stratégie Plague Inc. Le joueur fait évoluer un agent pathogène qui peut être une bactérie, un virus ou encore un champignon pour contaminer tout le monde et éradiquer l’espèce humaine grâce à des points ADN récoltés à chaque avancée, et ce, avant qu’un remède ne soit découvert.
Réalisme du jeu
Le parallèle avec ce qui se passe actuellement avec la COVID-19 est vite fait. La découverte de nouvelle variante du virus, le développement de vaccins, … le jeu affiche un réalisme poignant. Quoi qu’il en soit, ses créateurs du studio Ndemic Creations ont tenu à rappeler qu’il ne s’agit que d’un jeu et non d’un modèle scientifique. Cela n’a pas empêché à cette application lancée en 2012 d’exploser les ventes en 2020 et de se voir interdire en Chine, depuis le mois de février.
Extension du jeu
En novembre, le studio a lancé une extension baptisée The Cure, qui vise cette fois à stopper une pandémie. Ce nouveau mode simule les différentes étapes à l’éradication d’une épidémie à l’échelle mondiale. Toujours aussi réaliste avec entre autres le traçage des cas contact et l’importance de la coopération internationale, The Cure donne une idée du combat que mènent les pays actuellement en pleine pandémie COVID-19. Ndemic Creations a fait savoir que ce nouveau mode sera gratuit jusqu’à la fin de la pandémie de coronavirus.
Plague Inc est téléchargeable sur iOS et Android.
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