L’attente du diagnostic comme du pronostic médical peut s’avérer stressante et pour les hypocondriaques, l’angoisse peut être amplifiée. Pour compenser les craintes, certains consultent les sites médicaux, et vont même jusqu’à s’auto-diagnostiquer, d’autres vont sur des forums de discussions pour se rassurer... ou pas !
Afin d’apaiser ce type d’angoisse, voici quatre manières qui peuvent aider à gérer le stress, en attendant les résultats d’examens médicaux :
Faire ses propres recherches est probablement l’une des pires choses à faire, lors de l’attente d’un pronostic médical. Les informations publiées sur le net ne sont pas toujours fiables. Dans certains cas, elles peuvent tout dire tout comme vous induire en erreur. Certaines théories peuvent s’avérer fausses ou exagérées. Attendez de voir le médecin afin de lui poser toutes vos questions.  Â
Plus facile à dire qu’à appliquer. En effet, plus on pense au pire scénario, plus on s’inquiète. Des études ont montré que plus on se concentre sur nos symptômes tels que la douleur, plus les sensations s’amplifient. Demandez à une personne de confiance de vous accompagner lors de votre consultation ou lors des récupérations des résultats d’examens, elle pourra vous rassurer pendant l’attente. Essayez également de parler d’autres choses. Si personne ne peut vous accompagner chez le médecin, munissez-vous d’un livre, d’un magazine, d’un mini jeu comme les casse-têtes mécaniques ou écoutez simplement de la musique, pour essayer de vous détendre.
Si vous n’arrivez pas à contrôler vos pensées, vous pouvez choisir de voir toutes les probabilités de ce que pourraient être les résultats de vos examens en toute positivité. Par exemple : un mal de ventre ? ce n’est probablement rien, mais ils ne font qu’une petite vérification.
Prenez le temps de respirer : inspirez et expirez lentement et profondément. Sentez votre corps se détendre. Lorsque vous respirez doucement, vous régularisez le niveau de cortisol ou l’hormone du stress, et la pression diminuera.
Si les résultats tardent à venir, c’est peut-être parce qu’il y a une priorisation des examens. En effet, les cas les plus urgents sont pris en charge rapidement, ceux qui ont le plus de chances d’être moins graves ou d’évoluer lentement sont retardés.
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Pour le moment, il est difficile de savoir si l'efficacité des vaccins peut durer dans le temps. En effet, les tests effectués entre septembre et novembre ne laissent pas assez de recul aux scientifiques pour répondre à cette question.
Une étude, faite en décembre, signale que le vaccin de Moderna avait produit des anticorps persistants 90 jours après vaccination. Il s'agit d'une première donnée. Autrement dit, plus les semaines et les mois passeront, plus le vaccin pourra révéler son efficacité ou pas sur la durée.
Mais vous l'aurez compris, pour le moment il est impossible de dire si la protection vaccinale durera un an, deux ans ou plus, et si l'efficacité sera la même sur la durée.
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Hafiriana ny faharetan’ ny hery fiarovana entin’ireo vaksiny ?
Mbola sarotra ny hahafantra ny faharetan’ny hery entin’ilay vaksiny amin’izao. Mbola tsy ampy hanovana fandalianana tsara ireo andrana natao teo anelanelan’ny volana septambra sy novambra, hoy ireo mpikaroka.
Ny voka-pikarohana iray nivoaka ny volana desambra no nilaza fa mamokatra hery fiarovana mandritra ny 90 andro eo aorian’ny fanaovana ilay vaksiny, ilay vaksiny Moderna. Vokatra voalohany izy ity. Mety afaka herinandro na volana maromaro vao ho hita tsikelikely ny herin’ilay vaksiny sy ny faharetany.
Fa hatreto, efa mety samy mahazo ny rehetra hoe tsy afaka maminavina hoe ho herintaona ve sa ho 2 taona na mihoatra an’izay aza ny faharetan’ny hery fiarovana, sy hoe hitovy foana ve ny hery hoentiny mandritra io fotoana io.Â
L’alcoolisme féminin dans la société malgache est encore un sujet sensible, voire tabou. Pourtant, c’est un phénomène de plus en plus répandu. En effet, selon l’avis du sociologue, Tolotra Matthieu Andriamanantena, ce phénomène n’est que le résultat de l’influence occidentale sur la liberté féminine. A travers cette interview, ce sociologue nous explique le pourquoi du comment.
Studio Sifaka : A quel âge, généralement, la gent féminine malgache commence à boire ?
Tolotra Matthieu Andriamanantena : En général, la tentation de boire naît à l’adolescence parce que c’est à partir de 14/15 ans que les jeunes commencent à apercevoir le fonctionnement de la société, à goûter et à vouloir découvrir l’interdit. Toutefois, selon certaines statistiques, la gent féminine commence généralement à boire que vers 18 ans car c’est à cet âge qu’elle commence à vraiment s’épanouir. C’est le cas pour une partie de la gent féminine malgache.
D’après vos constatations, les femmes sont-elles plus vulnérables à l’alcool que les hommes ?
Je peux vous dire que tout dépend du métabolisme de chacun, même si les études démontrent que le métabolisme d’une femme les rend vulnérables à l’alcool. Je connais des femmes qui arrivent à bien se contrôler même après avoir bu le même nombre de verres qu’un homme. Il y a également celles qui sont plus sensibles et qui au bout de quelques verres, sont soûles. Il en est de même pour les hommes. Donc, je pense qu’il ne faut pas généraliser.
En constatant les idées préconçues sur les femmes et l'alcool à Madagascar, on a l’impression que les bars ne sont destinés qu’aux hommes, qu’avez-vous à nous dire là -dessus ?
Depuis même l’antiquité, boire de l’alcool n’a été destiné qu’à la gent masculine. Mais depuis la révolte féminine dans le monde entier, vers le XVIIème siècle, les femmes ont commencé à toucher à certains points longtemps réservés qu’aux hommes. En effet, il y a eu une certaine démocratisation du mode de vie, du vivre-ensemble. Parmi cela figure la consommation d’alcool.Â
Selon vous, quelles sont les raisons principales qui poussent les femmes malgaches à sombrer dans l'alcoolisme ?
Le stress, les problèmes conjugaux, le travail, l’envie de se détendre, toutes les raisons qui poussent un homme à boire peuvent être celles qui incitent les femmes à en consommer.Â
Un constat est fait dans notre société : de plus en plus de femmes boivent de l’alcool et sont mal vues par la société, comment cela s’explique-t-il ?
Tout simplement parce qu’on commence à copier les occidentaux. On veut goûter à ce mode de vie libre.
Peut-on parler d’une forme d’émancipation ?
Oui et non. Tout dépend de la société à laquelle on appartient. Pour celles qui sont sous une influence occidentale, une femme qui boit est acceptée car elle ne fait que jouir de sa liberté. Dans la société africaine, qui comprend Madagascar, c’est une transgression aux lois sociales. Le fait qu’une femme consomme de l’alcool, régulièrement ou occasionnellement, constitue un déshonneur pour la famille voire pour la société.
L’alcoolisme d’une femme a-t-il plus d’impact sur la vie de famille que l’alcoolisme d’un homme ?
Actuellement, non ! Que ce soit l’homme, ou la femme, c’est un déshonneur, car on est actuellement dans une société où l’égalité du genre est prônée, la considération devrait être la même.
Pourquoi l’alcoolisme féminin est un sujet tabou ?
On est au 21ème siècle, cela ne devrait plus être le cas. Je pense, qu’au contraire, on devrait en parler comme on devrait aborder l’alcoolisme juvénile actuellement. C’était un sujet tabou parce que c’était rare auparavant, mais puisque ce n’est plus le cas, parlons-en.
Ialy Ra
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Aux yeux des responsables de l’université d’Antananarivo, les cours préparatoires ont toujours été illégaux et manqué de pédagogie. Selon le directeur de Patrimoine auprès de l’université d’Antananarivo, Rado Ramanantsoa, ces activités tendent vers la dérive puisque l’éducation est considérée comme une affaire commerciale. Actuellement, l’université d’Antananarivo travaille de près avec la commune urbaine d’Antananarivo afin d’éradiquer les stands qui se tiennent devant le grand portail de l’université.
Tsy ankasitrahan’ny oniversiten’Antananarivo ny fisian’ireo « cours préparatoires ». Ireto farany izay tsy mitsahatra mitombo isaky ny manakaiky ny fifaninana hidirana ao amin’ny oniversite. Manao ny fampianarana ho tahaka ny varotra ireo hoy ny directeur de Patrimoine eo anivon’ny oniversiten’Antananarivo, Rado Ramanantsoa. Efa miara miasa akaiky amin’ny kaominina Antananarivo renivohitra ny oniversite amin’izao fotoana mba hanalà na ireo tranohevan’ny « cours préparatoire » eo anoloan’ny vavahady.
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Nandalo hanara-maso ny asan’i Meza i Mindaisoa, ilay mpampiofana ny mpamboly ao Marofody momba ny fandrafetana tetikasa. Mbola sahirana amin’ny fandraisana ny vahiny kely ry Meza. Nanamafy i Mindaisoa fa tokony hohatsaraina ny fitaovana ary efa nampianarina ireo mpiofana fa tsy maintsy atao anatin’ny tetibolan’ny tetikasa izany.
Mindaisoa, le formateur en gestion de projet, est passé voir l’avancement de la production d’huile de Meza. Ce dernier est encore submergé par leur nouveau-né et ses problèmes d’argent. Mindaisoa insiste pour que Meza améliore ses outils de travail et qu’il a déjà été dit durant la formation que cela doit être inclus dans le budget prévisionnel.
Confinement, distanciation sociale, gestes barrières… il y a de cela quelque mois, ces mots avaient encore leur sens. Depuis quelques semaines, faire un tour en centre-ville, c’est passer par un bain de foule dont certains ne mettent pas de masques et ont oublié le minimum de un mètre de distanciation sociale. La pandémie est-elle révolue ?
Une foule immense qui se rue vers les animations lumineuses du côté d’Antaninarenina ou du côté du parvis à Analakely. De jour comme de nuit, des familles entières y cherchent l’amusement et oublient totalement tout ce qui est gestes barrières ou distanciation sociale. Le temps de la covid-19 est-il de l’histoire ancienne ? La Grande Ile est-elle loin des risques d’une deuxième vague ? N’est-il plus nécessaire de se protéger du coronavirus ? Où en sommes-nous dans les mesures sanitaires par rapport à la pandémie ?
Un cauchemar déjà passé ?
Pour certains, la covid-19 n’est plus d’actualité. Cela s'est davantage accentué depuis les préparations des fêtes. « C’est tout à fait compréhensible, car déjà il y a un manque de communication et de sensibilisation palpable au niveau des responsables », souligne le sociologue Ghyslain. Aujourd’hui, précise-t-il, est-ce qu’on sait combien de cas sévissent encore à Madagascar ? Ce manque d’information et de sensibilisation font que les Malgaches n’y pensent plus.
« Nous voulons juste profiter pleinement de ces fêtes et oublier la période de confinement, les soucis financiers et tout », indique Hajaniaina, un père de famille qui a profité de ses jours de congé pour emmener sa famille du côté d’Antaninarenina. Pour lui, il est impossible de respecter la distanciation ou les gestes barrières, vu la foule immense tous les jours qui se rue vers ces animations.
Un allègement des mesures pour les fêtes ?
Du côté des forces de l’ordre, les sanctions ont-elles été allégées pour que nombreux sortent dans les rues sans pourtant mettre des masques ?
« Nous appliquons toujours les sanctions. Même que chaque jour, des personnes qui ont été prises sans masques font des travaux d’intérêt général. Ce n’est pas pour autant qu’on en fait une communication sur Facebook ou dans les médias », indique l’officier Fetra du SICRI, au niveau de la police nationale.
Quoi qu’il en soit, les risques d’une deuxième vague restent élevés. Par ailleurs, les Malgaches pourraient-ils supporter un reconfinement si cela s’avère être nécessaire, dans le cas d’une deuxième vague de pandémie ? Â
Dans tous les cas, il reste de mise de respecter les gestes barrières : l’utilisation du gel hydroalcoolique, le lavage des mains, la distanciation sociale et le port de masque.
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