Assez méconnu à Madagascar, la black music est un genre musical qui veut séduire le public malgache. Le label musical Moon projekt travaille dans ce domaine pour produire des artistes véhiculant la soul et le neo soul. Il vise à offrir de la « black music » de qualité. Poussy Rasolomanana, co-fondateur du Moon Projekt nous donne plus d’explications.
Gadona tsy mbola malaza loatra eto Madagasikara nefa mety hanintona ny sofin’ny maro ny « black music ». Tafiditra anatin’izany ny « soul » sy ny « neo soul ». Label musical miasa manaparitaka an’io gadona io ny Moon Projekt ary mitan-tsoroka ireo mpanakanto misehatra anatin’ny gadona « nu soul » sy ireo tanora mieritreritra ny hiditra amin’io sehatra io. Isan’ireo nanangana ny Moon Projekt i Poussy Rasolomanana
Au dessert, le 25 décembre de chaque année, les bûches de Noël sont les rois. À déguster avec un bon café après le déjeuner pour certains, à apprécier plutôt le soir du réveillon de Noël pour d’autres, les bûches sont devenues incontournables pour la fête de la nativité. Aujourd’hui, le choix en termes de bûches de Noël est très large, allant même jusqu’à des modèles de bûches à la Malagasy.
Le koba
Souvent, le koba (gâteau à base de farine de riz et de pistaches) se retrouve lors des mariages pour ceux qui optent pour un thème plus « gasy gasy » pour leur cérémonie. Mais de par sa forme se rapprochant de celle de la bûche de Noël, pour certains, le koba pourrait la remplacer. Pour une meilleure présentation, il suffit d’enlever l’enveloppe en feuilles de banane et d’y rajouter une touche décorative sur la thématique de Noël.
Le Goujam
Faisant la renommée des îles de l’océan indien, ce gâteau de manioc à la recette revisitée peut également faire office de bûche de Noël. Cette autre variante de la bûche s’adresse plus à ceux et celles qui veulent suivre un régime alimentaire strict et qui évitent tout ce qui est gras comme la crème. Il ne reste plus qu’à y ajouter des décors aux couleurs de Noël et le tour est joué.
Le Koba bûche
Ceux qui veulent se mettre à une tendance alliant le koba d’antan avec les nouvelles tendances en pâtisserie peuvent essayer le koba bûche. Recette revisitée du koba à la Malagasy et imaginée par le jeune pâtissier Mahery Nantenaina de Mah-Pastry, le koba bûche associe le koba original avec de la mousse, le tout enrobé d’une généreuse couche de chocolat noir pour équilibrer le goût.
La bûche de Noël standard
Pour beaucoup, la bûche de Noël standard reste la plus en vogue. Coûtant moins cher que d’autres et ainsi plus accessible, c’est le choix le plus évident pour de nombreuses familles malgaches. Avec les difficultés financières depuis la covid-19, nombreux sont ceux qui limitent leur budget pour les fêtes. La bûche de Noël n’est ainsi que symbolique pour certaines familles.
Efa mandeha tsara ny asa fanodinana ho menaka ny voanjon’i Meza tsy lasan’ny mpanangom-bokatra. Na izany aza, mila hatsaraina ny fitaovana ampiasaina. Manosika azy hindram-bola i Hasy. I Ihangy koa mihetsi-kibo efa ho teraka.
Le petit atelier de transformation d’arachide en huile de Meza est maintenant en marche. Son frère Hasy l’encourage à recourir à un prêt, pour améliorer le matériel utilisé. En parallèle à cela, sa femme Ihangy est aussi sur le point d’accoucher.
Les fêtes devraient être différentes que les années précédentes en raison de la pandémie du coronavirus. Le mieux, si cela est possible et que vous êtes nombreux, serait de disposer plusieurs petites tables à manger, surtout si des personnes vulnérables, comme vos grands parents prennent part aux festivités.
Baisser le volume de la musique vous permettra de mieux vous écouter. N'oubliez pas qu'on projette moins de particules si on ne crie pas et on ressent moins le besoin de se rapprocher de l'autre pour l'écouter.
Si la météo le permet, installez-vous à l'extérieur de la maison, car les probabilités de transmettre le virus ou de l'attraper sont plus faibles en extérieur. N'oubliez pas que si vous discutez sans masque et sans distanciation sociale avec une personne qui serait asymptomatique, vous pourriez contracter la covid-19.
Ahoana ny fomba hanaovana fety nefa ao anaty fanajana ny fepetra ara-pahasalamana ?
Tsy tokony hitovy amin'ireo fety hatrizay ny fety amin'ity taona ity noho ny fisian'ny coronavirus.
Mametraka latabatra fisakafoana kely maromaro mitsitokotoko no tsara sy mety raha betsaka ianareo miara-milanonana, indrindra raha misy olona marefo toa andry dadabe sy bebe ao. Atao ambany ny feon'ny mozika isankarazany mba hifankaheno ianareo. Aza adinoina fa vitsy ireo singa miparitaka raha tsy mivazavaza sy mila manantona olona ianao rehefa miresaka.Eny ivelan'ny trano mipetraka, raha mety arakaraka ny toetr'andro, satria iva dia iva ny taha hifindran'ny otrikaretina eny ivelan'ny trano. Aza adinoina ihany koa fa raha miresaka tsy misy arovava sy tsy misy elanelana ianareo, nefa tsy ahitana soritr'aretina ny iray, mbola mety hifindran'ny covid-19.
Nombreux sont les termes courants malgaches pour désigner une attitude insouciante . Parmi eux, on a le mot « mizebra ». Ravelomanantsoa Jean Christian, artiste orateur, nous explique la vraie signification de ce terme dans Kozio ahy.
Betsaka ireo voambolana filaza ny toetra tsy dia mivaky loha. Ohatra amin’izany ny « mizebra ». Hazavain’i Ravelomanantsoa Jean Christian, izay mpanakanto mpandaha-teny, amintsika ato anatin’ny #kozioahy ny tena dikan’ity fiteny ity.
Qui n’aimerait pas recevoir des cadeaux ou de l’argent ? Donner le minimum pour recevoir 5 à 10 fois plus, ce système ressemblant au système pyramidal est tendant pour beaucoup. Si vous êtes connecté sur les réseaux sociaux, en particulier sur Facebook, vous avez sûrement vu passer des statuts sur les échanges de cadeaux "Secret Sister".
Secret Sister, cela consiste en quoi précisément ?
Ce sont des publications incitatives de personnes en quête d’amis qui seraient éventuellement intéressés par “un système d’échange de cadeaux de Noël”. Il s’agit d’envoyer ou de donner un seul cadeau à une “sœur secrète” pour recevoir 6 à 36 cadeaux en retour. Le concept exige également de convaincre au moins 6 amis de partager le message sur un réseau social. Sur Facebook, de nombreuses malgaches ont été séduites par la proposition.
Ça a vraiment l’air très tentant, mais…
A priori, "l est tout simplement mathématiquement impossible pour toutes celles qui y participent de recevoir le nombre de cadeaux", explique Pascal Razafimandimby, expert en réseaux sociaux. Le principe part d’une proposition aux participantes d’aller sur un site et de cliquer sur un lien qui les redirigera sur une plateforme. Par la suite, il sera nécessaire de donner ses coordonnées personnelles en entrant son identifiant et son mot de passe pour pouvoir recevoir des cadeaux. Cependant, la personne derrière la plateforme aura accès aux coordonnées personnelles des participantes et pourra entrer dans le compte Facebook des concernées, en se servant de leur identifiant ainsi que de leur mot de passe.
Secret Sister à Madagascar
Quoi qu’il en soit, "Secret Sister" n’est pas vraiment risqué dans le cas des internautes malgaches. En effet, "le concept est complètement différent à Madagascar car les sœurs secrètes se donnent les cadeaux directement soit par mobile money soit en main propre", explique toujours Pascal Razafimandimby.
Hameçonnage et pyramide de Ponzi
Comme déjà mentionné un peu plus haut, Secret sister ressemble de très près aux systèmes basés sur la pyramide de Ponzi. Il s’agit d’une conception illégale dans certains pays et notamment aux Etats Unis. Pour éviter de tomber dans ce genre d’arnaque, Pascal Razafimandimby conseille aux internautes de faire tout simplement attention aux liens sur lesquels certaines publications vous proposent de vous rediriger. "Ce n’est pas difficile, il est simplement question d’éviter de cliquer sur ces liens au risque de mettre vos coordonnées personnelles entre de mauvaises mains", souligne l’expert en réseaux sociaux.
Pour repérer un lien dangereux qui a exactement la même interface que Facebook mais qui n’est pas Facebook, l’indice est l’absence de la mention " www.facebook " dans le lien. Prenez garde !
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Jean Laborde a appelé son domaine « Femme nue et ouverte ». Selon notre guide, Maminirina Ezekia Rabearindrato, Jean Laborde était « obsédé » par les femmes. C’est pour cette raison qu’il a fait de son domaine, une représentation du corps de la femme. En 1996, l’Association les Amis de Jean Laborde a réhabilité la maison principale, qui représente la tête de la femme formant le domaine. Cette maison principale est désormais devenue une bibliothèque ouverte à tout le monde avec un accès gratuit aux livres. La biographie de Jean Laborde ainsi que ses travaux y sont exposés. Les maisons, abritant autrefois des militaires et représentant les bras de la femme, sont actuellement les demeures des professeurs du Lycée Jean Laborde.
Nantsoin’i Jean Laborde hoe « Femme nue et ouverte » ny tananany. Araka ny nambaran’i Rabearindrato Maminirina Ezekia, mpitaridia, dia tia vehivavy i Jean Laborde ary izany indrindra no nahatonga azy nanome endrika vatam-behivavy ny tananany. Tamin’ny taona 1996, nokarakarain’ny Fikambanana « Amis de Jean Laborde » ny trano lehibe, izay lohan’ilay vehivavy endriky ny tanana. Mirakitra ny tantaram-piainan’i Jean Laborde sy ireo asany ihany koa ny trano. Ireo trano ety amin’ny sisiny, izay natao ho tananan’ilay vehivavy, dia nipetrahan’ny miaramila izy ireo taloha ka lasa hipetrahan’ny mpampianatra ao amin’ny lisea Jean Laborde izy ireo amin’izao fotoana izao.
Travailler, diriger une association, être parent, avoir un autre boulot… A partir du moment où une personne effectue plusieurs activités en même temps, elle peut être considérée comme multitâches. Cependant, certains observateurs disent que l’intelligence des personnes multitâches pourrait se détériorer au fil du temps. Est-ce vrai ? La psychologue clinicienne, Holitiana Rajaonarivony, précise que les impacts peuvent se situer surtout au niveau de la mémoire. Mais, si la personne maîtrise bien la gestion du temps, elle peut s’épanouir et toujours rester créative. Effectivement, les multitâches ont une forte capacité d’adaptation. Selon Ando Razafiaritsara, mère de famille et présidente de l’association Alfa, on peut toujours exercer plusieurs fonctions si on aime ce qu’on fait et si on y met de la passion.
Sady miasa, no mitantana fikambanana no mitaiza sy mikarakara tokantrano, mety mbola manana vadin’asa ihany koa. Efa azo sokajiana hoe misahana asa maro ny olona toy izany. Misy ireo mpandinika izay milaza fa mampihena ny faharanitan-tsaina ny fanaovana asa maro anatin’ny fotoana iray. Marina ary ve izany? Milaza ny mpahay toetr’olona, Rajaonarivony Holitiana, fa eo amin’ny fitadidiana kokoa no mety hisy fiantraikany ity fomba fiasa ity. Na izany aza, rehefa mahay mandamina fotoana tsara ny olona iray dia afaka mivelatra tsara, afaka mbola mitaiza ny sainy hamorona. Mifankazatra amina tontolo isankarazany tokoa manko izy ireo. Nilaza kosa I Razafiaritsara Ando, filohan’ny fikambanana Alfa sady renim-pianakaviana, fa milamina sy vita foana ny asa rehefa zavatra tiana no atao.
Analakely, Ankorondrano, Andravoahangy, Anosy… ; presque dans toutes les rues d’Antananarivo, les embouteillages font rage. L’arrivée de la période des fêtes ne fait qu’en rajouter une couche. Pour ceux qui doivent encore travailler, c’est le moment de se mettre à la marche.
Nombreux sont ceux qui, en raison des permanences jusqu’à la fin d’année, doivent assurer les huit heures de travail chaque jour. Pourtant, avec les marchés de Noël et les animations à chaque coin de rue à l’occasion des fêtes, se déplacer en ville devient de plus en plus difficile. Parfois, il faut compter au moins deux heures pour faire Analakely – Ankorondrano, ou Ankadimbahoaka – Behoririka. Face à cela, les Antananariviens ont besoin d’alternatives pour simplifier les déplacements.
En deux roues, pour se faufiler entre les voitures
« Ce qui est assez énervant, c’est que la commune urbaine interdit les taxis-motos à Antananarivo, et pourtant avec les embouteillages monstres, c’est la meilleure option pour se déplacer rapidement en ville », souligne Randy, qui tient une boutique à Behoririka. Pourtant, chaque jour sauf les 25 et 31 décembre, elle doit faire le trajet Ankadimbahoaka-Behoririka.
Quoi qu’il en soit, certains habitués des taxis-motos ont gardé le contact de leurs conducteurs et les appellent toujours en cas de besoin. C’est le cas de Hoby, responsable de vente auprès d’une boutique d’articles cadeaux. « Je me doutais déjà des problèmes d’embouteillage pendant la période des fêtes, aussi j’ai gardé le contact d’un motard qui me ramenait souvent auparavant », indique-t-elle.
Mais parfois, même en se déplaçant sur un deux roues, il est impossible de se faufiler entre les voitures, surtout lorsque les chaussées sont étroites. « Je me déplace toujours à moto, et j’avoue qu’en cette période, ça dépanne réellement. Mais il arrive quand même parfois qu’on ne puisse pas se faufiler entre les voitures », souligne Liantsoa.
Place à la marche et aux raccourcis
D’autre part, ceux qui ne peuvent pas se permettre de payer des taxis motos – dont le trajet fait en moyenne 10.000 ariary la course – optent pour la marche. Pour simplifier leurs trajets, ils empruntent les petites artères de ruelles qui parcourent la ville. « De chez moi à Besarety vers Mahamasina où je travaille, je préfère nettement marcher, ce qui ne me prend que 30 à 45 minutes », fustige Haja. Pour lui, les ruelles permettent de gagner du temps, malgré la montée du côté de Faravohitra.
Pour ceux qui habitent en périphérie et qui doivent pourtant venir travailler en ville, il faut même compter une heure de marche. Cela ne les décourage pas pour autant, même que certains y voient un moyen de faire du sport au quotidien pour rester en forme. « On n’y peut rien, le problème avec la circulation ne sera sans doute jamais résolu ici. De fait, personnellement, je préfère marcher chaque matin pour éviter d’arriver en retard au bureau », indique Maminiaina, un habitant d’Ampitatafika. Selon lui, faire le trajet en bus d’Ampitatafika vers Analakely qui se faisait auparavant en une heure, prend aujourd’hui plus de deux heures à cause des embouteillages.
Le mutisme et la dyslexie sont des troubles de la parole généralement identifiés chez l’enfant. Ils ne présentent cependant aucun risque pour la santé de l’enfant, mais nécessitent un suivi psychologique afin de veiller au bon développement de l’enfant. La psychologue Saraha Randriamorasoa en parle dans Santénakà.
Ny « mutisme » sy ny « dyslexie » dia fahasarotana eo amin’ny fiteny sy ny famakiana teny ary ny ankizy matetika no tena tratran’izy ireo. Tsy misy risika amin’ny fahasalaman’ny ankizy nefa ireo saingy ilaina fanaraha-mason’ny psikology mba hanatsara ny fivoaran’ilay zaza. Miresaka an’izay i Randriamorasoa Saraha, psikology, ao anatin’ny fandaharana Santénakà.
Noël approche à grands pas. Comme à chaque année, de nombreuses activités se créent autour de cette fête. Si certains changent d’activités, d’autres en créent durant ces festivités, à l’instar des marchands de balais qui fabriquent des sapins ou des animateurs qui revêtent, par exemple, des costumes de lutins du père noël, ... Noël se conjugue avec arbre de noël, Jean Claude Harimanana, artisan-créateur d’arbres de noël particuliers, sera notre invité de ce jour dans KSK.
Maro ny olona misafidy ny hampifandraika ny asany amin’ny noely rehefa anatin’ny fankalazana ny krismasy tahaka izao, ao ihany koa ireo misafidy ny hamorona asa vaovao mihitsy. Ho resahantsika ato anatin’ny ketrika sy kandra ny mahakasika izay. Jean Claude Harimanana, mpanao asa tanana mandrafitra hazo noely amin’ireny endriny hafa kely ireny no ho vahintsika amin’ity anio ity.