La société a toujours mis la femme à l’écart des sciences. Ce fait a débuté dans les pays développés, à l’époque où la femme a été casée à la cuisine. Mais la situation a évolué. De plus en plus de femmes s’intéressent au domaine de la science et les recherches scientifiques effectuées par des femmes sont petit à petit reconnues au sein de la communauté scientifique et de la société en générale. La preuve, 20 jeunes femmes scientifiques de l’Afrique subsaharienne ont été récompensées par l’Unesco et la fondation l’Oréal la semaine dernière. Deux jeunes femmes malgaches figurent dans la liste. Selon Rabearison Zo Louis, anthropologue, il faut encourager les jeunes femmes dès leur plus jeune âge à s’intéresser à ce domaine. Il faut également que la communauté scientifique priorise l’intellect.Â
Tsy nanana anjara toerana teo amin’ny sehatry ny siansa ny vehivavy hatrizay. Niatomboka tany amin’ireo firenena mandroso io fomba fijery io. Tamin’izany, noheverin’ny fiaraha-monina fa ao an-dakozia no toeran’ny vehivavy. Ankehitriny anefa, miha miova tsikelikely ny fomba fijery. Nisy tanora vehivay mpikaroka avy aty Afrika no notoloran’ny Unesco sy ny fondation l’Oréal marim-pankasitrahana amin’ny maha mpikaroka azy ireo ny herinandro lasa teo. Araka ny fanazavana nomen’i Rabearison Zo Louis, antropology, mila amporisihana dieny mbola kely ny ankizivavy eo amin’io sehatra io. Tokony ny fahaizana sy ny fikarohana no atao ambonin-javatra fa tsy ny maha lahy na ny maha vavy hoy ihany izy.Â
- L’association des jeunes universitaires du Vakinankaratra organisent un guide d’orientation pour les jeunes lycéens et bacheliers de la région
- Nosy Be : le WCS crée une plateforme rassemblant 50 jeunes des communautés locales pour protection des ressources halieutiques de la localité
- Covid-19 : le gouvernement japonais fournit au port de Toamasina les équipements essentiels pour renforcer les mesures sanitairesÂ
- Manolotra toro-lalà na ho an’ireo tanora any amin’ny lycée ny fikambanan’ny mpianatrin’ny vakinankaratra ao amin’ny oniversiten’Antananarivo
- Nosy Be : tanora miisa 50 no navondrona anatin’ny vovonana iray hampandraisana anjara azy ireo amin’ny fiarovana ny harena an-dranomasina
- Hohamafisina ny fepetra ara-pahasalamana eo anivon’ny seranan-tsambon’ny Toamasina
Les biscuits ‘’Racute’’ ça vous parle ? Salés ou sucrés, les trois sœurs Rakoto Ramiarantsoa ne cessent de développer les goûts et les couleurs de cette pâtisserie. La recette ? De la passion, de l’inspiration et un zeste de courage pour se lancer dans leur business de biscuits faits maisons, depuis près d’un an.
Sourires aux lèvres et fières de leurs activités, les trois jeunes femmes : Bôbôl, Christianie et Joeny travaillent de chez elle, c’est ici que leur atelier a pris place.  Il y a un an, elles ont décidé d'ouvrir leur propre marque de biscuits nommés : ‘’Racute’’. Cette appellation est issue de deux mots « Ra » venant de leur nom de famille Rakoto et Cute (mignons en anglais), selon Bôbôl, la sœur aînée. Organisées, l’une prépare la commande pour les clients et une autre s’occupe de la gestion et la troisième s’occupe du volet marketing pour faire la promotion des nouveaux produits sur les réseaux sociaux.
Une recette de famille
La passion pour la préparation des biscuits ne date pas d’aujourd’hui et n'est pas un hasard, compte tenu de l'influence de leur mère. En effet, les trois sœurs aiment le faire depuis leur plus jeune âge. Bôbôl raconte. «Lorsque nous étions petites, nous passions beaucoup de temps dans la cuisine. Nous goûtions à tout ce que nôtre mère préparait ». Elle de poursuivre, « en grandissant, nous avons commencé à mettre la main à la pâte et l'idée de créer des biscuits est née de notre propre recette familiale », partage-t-elle, le regard nostalgique.
Des ingrédients gourmands et de l’amour
De la farine, du beurre, de lait, du sucre, des œufs, plus beaucoup d’amour, et le tour et joué ! Avec plus de connaissances et d'expériences en la matière, au fil du temps, elles ont examiné les spécificités des biscuits de plusieurs fabricants de la capitale. Et pour apporter une touche d’originalité, le trio œuvre pour faire évoluer le biscuit « racute ». Bôbol explique : « notre principe est de combiner l'aspect visuel et le goût. Ce qui fait notre différence, c'est le fait de choisir les meilleurs ingrédients pour la qualité que nous offrons à nos clients ! En plus de ces ingrédients, qui font partie de la saveur et de la texture des biscuits, on ajoute du raisin sec, des pépites de chocolat et d’autres ingrédients encore». Autant de tentations, qui nous donne envie de tremper le biscuit dans un grand verre de lait.
Les goûts et les couleurs
Les biscuits ‘’racute’’ au raisin, chocolaté, au lait ou autres parfums sont proposés sous plusieurs variétés. Il y en a de toutes les formes : imprimés, géométriques et artistiques tels que les animaux et les fleurs. C’est justement ce qui a convaincu Fanomezana, une fidèle cliente, qui est fière d’y avoir goûté avant tout le monde. " Je suis satisfait de leurs produits et elles ont de bonnes recettes de biscuits gasigasy". A première vue, ces douceurs sont attirantes et donnent l’eau à la bouche. C’est ce qui fidélise Faratiana, une autre cliente. Pour elle, « on sent vraiment le goût du lait et du raisin. C’est un plaisir de les déguster et, en plus, c'est croquant ».
En cette période festive, les trois sœurs partagent la magie de Noël, en produisant des biscuits, parfaits à offrir, en forme de sapin ou de père Noël enrobé de crème au lait ou de chocolat. Les prix varient entre 500 et 3.000 ariary.
Manery ny tsy fisiam-bola ao an-trano. Efa mananontanona ny fahasahiranana, ny vava homana hitombo afaka volana maromaro. Resy lahatra i Meza fa dia ny asa famokarana ihany aloha no tokony atao, saingy manaja ireo fepetra ara-pahasalamana : tsy mifandray tanana, manaja ny elanelana, manasa tanana amin’ny rano sy savony ary diovina sy sasana ny fitaovam-pamokarana.
Dans le foyer de Meza, les problèmes d’argent se font ressentir. La pauvreté menace son foyer, alors qu’il y aura, dans quelques mois, une nouvelle bouche à nourrir. Meza est convaincu que seule l’agriculture peut les sauver, mais dans le respect des gestes barrières : pas de poignée de main, respect de la distanciation sociale, lavage des mains, ainsi que des matériels agricoles, avec de l’eau et du savon.
Dans le cadre des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre, une série d’expositions de reconstitution de tenues de victimes est organisée un peu partout dans la capitale pour attirer l’attention des gens sur le problème.
Une grenouillère accompagnée d’une couche. Un tablier d’écolier. Une tenue de religieuse. Une longue robe banche. Qu’est-ce que ces tenues ont en commun ? Elles ont été portées par des victimes de violence sexuelle et sont exposées, dans le cadre des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre aujourd’hui à Isotry, devant le Bureau municipal de l’hygiène (BMH). Plus exactement, il s’agit de reconstitution des tenues selon des informations recueillies auprès de la police ou de la gendarmerie comme l’explique une des organisatrices de l’évènement. « Chaque tenue raconte une histoire. La grenouillère, c’est l’histoire de ce bébé d’un an et demi décédé à l’hôpital suite à un viol », indique-t-elle.
« L’Etat doit mieux protéger les jeunes des abus »
Chaque tenue est accompagnée justement d’un récit et d’un témoignage. Lycéens, mères de famille, badauds s’amassent autour du rond-point devant le BMH pour regarder l’exposition. Sourires gênés pour certains, regards remplis d’empathie pour d’autres, les histoires relatées ne laissent visiblement pas indifférents. Les visiteurs s’accordent à dire que l’exposition est utile pour rappeler aux gens que le danger est partout. « C’est aberrant de voir jusqu’où les gens peuvent aller pour assouvir leurs pulsions sexuelles », réagit une femme, dans la quarantaine, qui salue l’organisation. Un jeune homme de 18 ans estime, pour sa part, que l’Etat doit mieux protéger les jeunes des abus. L’histoire d’une employée agressée par son patron l’a particulièrement marqué.
Un manque de proximité
La réaction des gens à Isotry a quelque peu surpris les organisateurs. « Les gens sont venus pour leur parler de leur histoire à eux. Visiblement, les victimes ne savent pas à qui s’adresser. On leur a indiqué le numéro vert (813). Nous avons remarqué finalement qu’il y a un manque de proximité auprès des victimes dans les quartiers. Les gens reculent devant les bureaux », souligne notre interlocutrice.Â
L’exposition se déplace du côté d’Anosy demain et devrait se terminer le 10 décembre.
Tolotra Andrianalizah
-Coupure d’eau : la situation est partiellement résolue à Ambanja
-Culture Sakalava : le Ministère de la Communication et de la Culture prend en charge la réhabilitation du Doany de Marambitsy
-Reboisement : 4 tonnes de graines seront semées dans la pépinière d’Ampandroantsiriry pour sauver les zones forestières de la région Atsinanana
-Région Vakinankaratra : la direction régionale de la Justice procède à la sensibilisation des élèves quant aux violences sexuelles et violences basées sur le genre
-Fahatapahan’ny rano : efa miverina amin’ny ampahany ny famatsiana rano avy amin’ny orinasa JIRAMA ao Ambanja
-Nanarina ny Doanin’ny Marambitsy ao amin’ny distrikan’ny Mitsinjo ny Ministeran’ny serasera sy ny kolontsaina
-Zanakazo 4 taonina no hambolena ao Ampandroantsiriry hanavotana ny ala any Atsinanana
- Mpianatra miisa 3.000 no voakasiky ny fanentanana ataon’ny fiadidiam-paritry ny fitsarana ao amin’ny faritra Vakinankaratra hiadiana amin’ny herisetra ara-nofo
Les litchis et les mangues figurent parmi les fruits appréciés en été à Madagascar. La saison de récolte ne s’étale pas sur toute l’année. Pour les litchis, c’est entre novembre et janvier. Et pour les mangues, entre octobre et février. Comme tous les autres fruits, les vitamines, les glucides, etc… sont des apports nutritionnels essentiels qui y sont contenus. Notons que même avec ces apports, ils présentent tout de même des inconvénients. Les litchis peuvent, par exemple, entraîner des troubles digestifs, explique le docteur Jacob Randrianomenjahary. Et la mangue n’est pas  très récommandées diabétiques, selon le docteur Rachel Razanajohary, dû à leur taux élevé de glucide.Â
Isan’ireo voankoazo be mpankafy ny litchis sy ny manga. Tsy mandava taona izy ireo no misy eto Madagasikara. Na izany aza dia maro ny zava-tsoa entiny. Misy vitamine, calcium, glucide sns… Fa misy vokadratsy aterany ihany koa. Ho an’ny litchis, hoy ny mpitsabo Randrianomenjahary Jacob dia mankarary vavony ny fihinana azy mialohan’ny sakafo. Ny manga indray dia tsy azon’ny olona diabetika hanina betsaka noho izy manankarena glucide hoy ny mpitsabo Razanajohary Rachel.
Les jeux vidéo sont actuellement accessibles au grand public via un ordinateur, une console de jeu ou simplement un smartphone. Les jeunes de tout âge s’y intéressent. Jeux de rôle, de stratégie, ou d’aventure, chacun a ses spécificités. Mais peuvent-ils vraiment stimuler l’intelligence ? Holitiana Rajaonarivony, psychologue, et Alex Manankasina, joueur professionnel du jeu vidéo Player Unknown’s Battlegrounds en parlent dans l’émission Ndao Hilaoeky.
Efa azo lalaovin’ny rehetra ankehitriny ireny jeux vidéo na kilalaon-tsary ireny na amin’ny solosaina, na amin’ny « consoles de jeu » eny na amin’ny finday aza. Milalao azy avokoa na ny kely na ny lehibe. Misy karazany maro izy ireny ary samy manana ny mampiavaka azy avokoa. Mety manampy amin’ny faharanitan-tsaina tokoa ary ve ireny kilalaon-tsary ireny ? Miresaka mikasika an’izay i Holitiana Rajaonarivony, psikology sy Alex Manankasina, mpilalao matihanina ny jeu vidéo Player Unknown’s Battlegrounds ao anaty fandaharana Ndao Hilaoeky.
-Convention internationale pour l’instauration de la paix : 140 armes saisies par l’Armée ont été détruites
-Eboulement de terrain Ampasamadinika : la CUA porte plainte
-Coupures d’eau et d’électricité : devenus le lot quotidien de plusieurs régions dans le pays
-Basy mahery vaika tsy ara-dalà na : nopotehin’ny teo anivon’ny zandarimariam-pirenena ny ampahany ary teo anivon’ny tafika ny ampahany
-Fihotsahan’ny tany Ampasamadinika : nametraka fitoriana ny CUA
-Fahatapahan-jiro sy rano : efa mahazatra hoy ny mponina eto an-drenivohitra, vao manomboka mizatra izany kosa ny faritra sasany eto Madagasikara
Mino Ralantomanana a gravi tous les échelons avant d’être coordonnatrice générale d’un festival de cinéma. Pour elle, c’est un métier exigeant, d’autant plus qu’il survole toutes les activités. Tenir ce rôle nécessite de se mettre au niveau de tout le monde pour une communication optimale. Mino nous partage son parcours.
Mitaky fahaiza-mifehy ny tenany sy ny manodidina azy ny mpandrindra ankapobeny ny festival ana sarimihetsika. Izy no manara-maso ny fandehan’ny asa rehetra manodidina ny hetsika. Mandrindra ankapobeny ny festival ana sarimihetsika no asan’i Mino Ralantomanana. Ho azy, mila mahay miresaka amin’ny olon-drehetra ny mpandrindra ankapobeny mba hampandeha tsara ny asa, mila fanetren-tena izany. Alohan’ny nahatongavany tamin’io toerana io, niatomboka tamin’ny ambany indrindra izy. Mizara amintsika ny lalana nodiaviny ihany koa i Mino.