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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Aujourd’hui dans Kozio ahy, nous parlons de l’expression « efa ho lava ohatra ny afon’Antongona ». Selon l’enseignante de langue malgache Laska Haritiana, Antongona, cet endroit en hauteur du royaume merina a été choisi pour guetter de loin les ennemis qui pouvaient attaquer. Les gardes utilisaient le feu comme signal. Toutefois, à force d’allumer le feu fréquemment pour pas grand-chose, ceux qui reçoivent le signal n’y prêtent plus attention. Le rova d’Antongona a été donc pris d’assaut et tomba entre les mains de l’ennemi.

 


Ny fomba fiteny hoe « efa ho lava ohatra ny afon’Antongona » no hitondrantsika fanazavana amin’ity anio ity. Amin’ny maha toerana avo an’Antongona dia izy no nofidiana hitiliana ny fahavalo, hoy ny mpampianatra malagasy, Haritiana Laska. Rehefa misy fahavalo manafika dia mandrehitra afo ny mpiambina ka mandefa miaramila hanampy ireo ny eny amin’ny Rovan’Antananarivo. Rehefa natetika loatra anefa ny fandrehetana afo, indraindray amin’ny tsisy dikany dia tsy nisy nandefa miaramila intsony ka babo ny tao Antongona.

vendredi, 04 décembre 2020 17:46

« Mitatatra ho an’i Rainilaizafy »

Selon l’enseignante de langue malgache, Haritiana Laska, Rainilaizafy était un habitant d’Ambositra, dans la région Amoron’i Mania. Les rizières y sont en terrasse et celle de Rainilaizafy se trouvait tout en bas. Lorsqu’il fallait irriguer l’eau, il ne se joignait jamais aux autres paysans puisque de toute manière l’eau arriverait jusqu’à sa rizière.

 


Raha ny fanazavan’ny mpampianatra malagasy, Haritiana Laska, dia mponin’Ambositra, Amoron’i Mania i Rainilaizafy. Manao antanan-tohatra ny tanimbary any ka ny azy no aty ambany indrindra. Rehefa tonga ny fotoana fanaovana tatatra dia tsy misasatra izy fa miandry ireo tompon’ny tany rehetra any ambonin’ny azy fotsiny dia tonga ao amin’ny taniny ny rano. Araho ato anatin’ny Kozio ahy ny fanazavana misimisy kokoa momba ny fiteny hoe « mitatatra ho an’i Rainilaizafy ».

La lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) ne concerne pas uniquement les femmes. Les hommes ont également le devoir d’agir contre ce fléau. Loic Raveloson, responsable communication et relations publiques de l’ONG Avotr’Aina, nous explique les différentes formes d’implication des hommes dans cette bataille ainsi que les moyens utilisés pour leur faire comprendre l’importance de leur rôle. 


Tsy ny vehivavy ihany no voakasik’izany ady atao amin’ny herisetra mifototra amin’ny maha lahy sy ny maha vavy izany. Manazava ireo endrika mety hisehoan’ny fandraisan’ny lehilahy anjara amin’izany ady atao amin’ny herisetra mifototra amin’ny maha lahy sy maha vavy izany i Raveloson Loic, mpiandraikitra ara-tserasera sy fifandrainsana ivelany, ao amin’ny ONG Avotr’Aina. Manazava ihany koa izy ny maha zava-dehibe ny fandraisan’ny lehilahy anjara.

vendredi, 04 décembre 2020 17:26

Le métier de programmateur culturel

Selon Raveloarimanana Sitraky Ny Aina, programmateur culturel de l’IKM (le Centre culturel malgache), être programmateur culturel, c’est assurer un évènement culturel de A à Z. Il décide du thème de l’évènement, des participants, du public cible, etc. A part cela, être programmateur culturel requiert une grande faculté d’organisation et beaucoup de patience. Et pour Sandyx, promoteur culturel, il faut également savoir gérer les activités connexes. Pour exercer ce métier, Raveloarimanana Sitraky Ny Aina nous partage son parcours.


Araka  ny fanehoan-kevitr’i Raveloarimanana Sitraky Ny Aina, mpandrindra ny ara-kolontsaina ao amin’ny Ivon-toeran’ny Kolontsaina Malagasy, miandraikitra ny hetsika ara-kolontsaina hatramin’ny voalohany hatramin’ny farany  izany asa  izany. Izy no manapa-kevitra ny amin’izay ho lohahevitry ny hetsika, ireo mpandray anjara, ny iantefan’ny hetsika, sns. Ankoatra izay, mila fahaiza-mandamina sy faharetana ny mitana io anjara asa io. Amin’i Sandyx indray, mpisehatra ara-kolontsaina, ankoatra ireo voalaza ireo, mila hay ihany koa ny mandamina ireo asa mifandray akaiky amin’ny hetsika karakaraina. Ho zarain’i Raveloarimanana Sitraky Ny Aina amintsika ihany koa  ny lalana nodiaviny nahatonga azy teo amin’io toerana io.

vendredi, 04 décembre 2020 17:20

Infos vues par les jeunes

Comme à chaque vendredi, nous avons invité des jeunes à réagir par rapport à nos actualités de la semaine au Studio Sifaka. Aujourd’hui, Rakotonandrasana Nordili Tsiory Hafaliana, étudiant Master 2 en population et développement ainsi que Mandimbiarisoa Niaina Haritiana, jeune technicien de maintenance industrielle vont parler des lois de finances initiales ou LFI 2021, de la coupure d’eau et de l’esclavage moderne.


Fanao mahazatra isaky ny zoma ny manasa tanora haneho hevitra momba ireo vaovao nisongadina teto amin’ ny Studio Sifaka. Rakotonandrasana Nordili Tsiory Hafaliana, mpianatra Master 2 en population et développement sy Mandimbiarisoa Niaina Haritiana tanora teknisiana momba ny indostria no vahiny anio hiresaka ny tetibolam-panjakana 2021, ny fahatapahan-drano ary ny fanandevozana amin’ny endriny vaovao iainana ankehitriny.

vendredi, 04 décembre 2020 16:17

Andian-tantara "Hafatry" - fizarana fahadimy

Mila ampidirina mianatra ny kilonga, sady hianatra any amin’ny CEG any Tanambao i Tetena, zanak’i Meza lahimatoa. I Tema vavimatoa hanala CEPE. Ny fambolena ihany koa mila zezika sy fanafody iarovana amin’ny bibikely. Vola daholo no ilaina amin’izany. Voatery hindram-bola i Meza, kanefa milaza samy sahirana ny olona rehetra, I Mahaly moa lasa nandray an’i Meza ho fahavalony, kanefa izy no hany mba azo antenaina. Asain’Ihangy amidy aloha ireo vokatra kely azo amidy miakatra any an-tsaha.

 


C’est la rentrée des classes. Tetena, le fils aîné de Meza doit être inscrit au CEG de Tanambao. Sa fille Tema passera le CEPE cette année. Par ailleurs, Meza doit acheter de l’engrais et de l’insecticide pour protéger ses cultures. Tout cela nécessite de l’argent. L’unique solution vers laquelle il peut se tourner est de recourir à un emprunt, mais tout le monde se dit aussi en difficulté. Mahaly qui avait l’habitude de l’aider dans de telles situations est devenu son pire ennemi. Sa femme, Ihangy, lui demande de vendre le peu de produits qu’ils ont pu récolter.

vendredi, 04 décembre 2020 15:07

Femme : la passion du rugby au bout du sifflet

Le rugby n’est pas seulement une affaire d’hommes. Razafimamomjy Fara Hary Ny Aina dit Rasoa, officie comme arbitre depuis 17 ans dans le rugby malgache. Elle est la preuve vivante que les femmes peuvent avoir leur place dans le sport de contact collectif. Portrait de cette superwoman du rugby.

Sa passion pour le rugby

Jeune et souriante, pour cette femme, tout a commencé au collège, en classe de cinquième. Son professeur d'EPS enseignait le rugby mais seulement aux garçons « pour une simple question de sécurité », dit-elle. Mais tous les mercredi après-midi, elle s'introduisait au stade d'Alarobia pour regarder les entraînements des équipes professionnelles et assister aux cours de rugby. C’est dans ce stade qu'elle commence à se passionner pour ce sport sans le pratiquer encore. « Mes parents n'acceptaient pas que je pratique ce sport, ni que j’aie des relations avec ceux qui le pratiquent, mes parents les considérent comme des voyous », poursuit-elle.  Mais cela ne l’a pas empêchée de voir des matchs de rugby au Stade Malacam.  « Je partais en cachette pour voir les matchs de rugby », souligne-t-elle. Après avoir eu le bac, elle poursuit ses études en Droit. Arrivée en 2ème année, elle s'aperçoit que ses longues études seront un poids pour ses parents. Donc, « j’ai souhaité devenir enseignante d’éducation physique et de sport, alors j’ai décidé d’intégrer l’Ecole Nationale du Sport à Ampefiloha. » explique-t-elle. Son professeur à l’ENS, le Dr Rakotoniaina Jean Baptiste qui était lui-même Directeur Technique National de la fédération Malgache du Rugby à l'époque, l'a incitée à poursuivre des formations avec la fédération.

Sa première expérience en tant qu'arbitre

Rasoa débute sa carrière d’arbitre en 2004, au stade Malacam, pendant la finale de championnat régional cadet entre ATI et CEA Andranomanalina. C’était la première fois qu’un sifflet était tenu par une femme à Madagascar. « J’avais le trac et mes deux pieds tremblaient pendant 80 minutes et après, j’ai pris goût même si je devais encaisser les insultes et la pression des supporteurs, qui me disaient que je me trompais de métier. Mais c'était à travers ces insultes que j’ai pris du courage et de la force pour continuer ». D’ailleurs, « elle est une femme battante et elle joue un rôle pédagogique très important lorsqu’elle prend le relais du sifflet. » poursuit Dina Andriantanjona, conseiller technique de la ligue d’Atsinanana Rugby.

Un métier rare pour les femmes

En intégrant le corps arbitral, les femmes et les hommes sont égaux. D’ailleurs, elle a opté pour devenir arbitre de rugby pour prouver à sa famille qu'il y a de la culture et de l'enseignement dans cette discipline. Puisque les femmes arbitres sont très rares, Rasoa, fière d’elle, réagit à cela en disant : « on sait que les femmes ont du mal à intégrer ce domaine mais c'était un défi. Moi, je l’ai fait ! J’ai eu la reconnaissance de mes parents. ouhh c’est une belle histoire à raconter à ma descendance ».

Une arbitre respectée

Quoi qu’il en soit, Rasoa se sent plus que jamais à sa place et les joueurs le lui rendent plutôt bien. En effet, lors de l’arbitrage de la finale de la Coupe du Président en 2015, au Stade de Mahamasina, entre le FTM Manjakaray et TFA Anatihazo, un match joué à  guichet fermé, les joueurs des deux camps l'ont fait sortir sous une haie d’ honneurs et ont salué sa bonne gestion du match pendant les 80 minutes + 20 minutes de prolongation.

Son projet pour les femmes et les jeunes

Puisqu’elle a suivi une formation en arbitrage de haut niveau en 2017 en Tunisie et en 2018 avant la coupe d'Afrique Féminine au Botswana, elle souhaite accompagner les projets de développement du rugby malgache. «Un de mes plus grands projets est de pouvoir aider les jeunes et les femmes à accéder au métier d’arbitre et de contribuer au développement du rugby malgache», note Fara Hary Ny Aina Razafimamonjy. Elle est l’une des 25 femmes arbitres à avoir franchi la frontière du rugby national et international.

Démarrer un projet entrepreneurial en groupe est plus efficace qu’investir en solitaire. Iasy Berlando et Ronaldo Mino Razafy, fondateurs de la plateforme Bazar's, en font une parfaite illustration et nous partagent leurs parcours dans l’émission. Toujours dans l’optique d’efficacité, une formation en entrepreneuriat est nécessaire pour bien commencer dans ce domaine. A Antsiranana, l’école des patrons a été spécialement conçue pour renforcer les jeunes entrepreneurs, professionnels ou étudiants souhaitant se concentrer dans l’entrepreneuriat. Évelyne Norozara, responsable de ce centre de formation va nous en dire plus sur ce sujet. 


Tsara kokoa ny mivondrona rehefa hanomboka handraharaha ny tanora. Izany antony izany indrindra no anisan'ny nanosika ireo tanora 4 avy ao Antsiranana hanangana ny Bazar's. Hanazava ny momba io i Iasy Berlando sy i Ronaldo Mino Razafy. Fa etsy ankilany, hanome fanazavana mikasika ny école des patrons i Évelyne Norozara. Tompon'andraikitra voalohany ao amin'ity ivon-toeram-pianarana ity

vendredi, 04 décembre 2020 14:20

Journal du 4 décembre

  • Anosy: fampiratiana ireo fitafin’ireo olona niharan’ny fanolanana
  • Manana anjara biriky amin’ny ady atao amin’ny herisetra mifototra amin’ny maha laha sy maha vavy ny lehilahy
  • Tetikasa MAFI : ho fanampiana ny olona amin’ireo raharaha eny amin’ny fitsarana
  • Nahazo toby fitehirizan-drà ny Distrikan’Ihosy
  • Miazakazaka amin'ny famokarana robotika indray ireo tanora ao Toamasina amin'ny fankalazana ilay hetsika Open day andihany faha 7

  • Bodyshaming : l’accompagnement psychologique est nécessaire
  • L’organisation des Nations Unies reconnaît les effets thérapeutiques du cannabis
  • Vakinankaratra : le projet présidentiel Titre Vert attire plus de 500 jeunes dans la région
  • Loko Studio : le concept d’art café se développe à Antsiranana

Dans sa fameuse chanson, Henri Ratsimbazafy dépeint la case en « falafa » (palmier) comme un nid d’amour. Sans doute du fait qu’on y est au chaud pendant la saison hivernale ; et qu’en été, à l’ombre des palmiers et des ravinala, les « trano falafa » offrent toujours une fraîcheur.  

Érigées en flanc de colline, à l’abri du vent et de la chaleur grâce aux arbres, les cases en falafa font la particularité de l’Est de Madagascar. Sans être dotées du confort de vie moderne des constructions modernes, ces maisons — qu’on peut classer d’« écologiques » — offrent pour ceux qui les occupent la chaleur nécessaire en hiver et la fraîcheur en été.

Une construction « écologique » 

Généralement dressées au cœur d’une clairière, sur le « faux plat » d’un versant, ces maisons répondent parfaitement aux critères d’une maison écologique. Construites à base de matériaux naturels qu’on peut trouver dans la forêt, ces cases épousent parfaitement leur environnement. A 80 %, la construction de ces habitations se fait à partir du Ravinala ou « l’arbre du voyageur ».

Elles se suspendent à quelques centimètres du sol par des pilotis en tronc de ravinala, laissant ainsi ruisseler l’eau de pluie facilement. Une fois séchées, rattachées et collées ensemble de sorte à ne pas laisser de vide, les tiges de ravinala ou « fontsy » forment les murs. Les feuillages, ou « ravim-pontsy » sont rattachés à des liteaux en tige de « kininina » ou eucalyptus pour former la toiture. Ceux-ci sont maintenus en place par des « tezamaty » en guise de piliers. Les « tezamaty »,  sont des troncs d’arbres qui ont été ensevelis dans l’eau pendant des années, sont réputés pour leur durabilité.

Un côté culturel et économique

Pour les Betsimisaraka, le Falafa est quelque part inscrit dans la culture. Le savoir-faire pour la construction de ces cases se transmet de père en fils depuis des siècles. « Une fois adultes, les fils construisent leurs cases à quelques pas de la maison familiale. C’est ainsi que se forment au fil du temps les petits villages au cœur des forêts de l’Est », explique Michel, Tangalamena du village de Vohitamboro, sur la RN5.

Économique, la construction d’une case en falafa ne nécessite pas des milliers d’Ariary. Les matériaux sont cueillis dans la forêt juste à côté, même les cordages pour assembler la maison sont issus des écorces d’eucalyptus et des fibres de Ravinala. Une fois tous les matériaux réunis, la construction d’une case en falafa ne prend pas plus de deux semaines. Après la saison cyclonique, les villageois n’ont ainsi que peu de mal pour reconstruire leurs cases.

Aujourd’hui, les maisons en dur et chalets en bois ont pris le devant dans l’est de l’île, surtout dans les localités bordant les routes nationales. Les habitations en falafa restent cependant maître des lieux au cœur des forêts.

vendredi, 04 décembre 2020 11:44

Revue de presse du 4 décembre

- Jirama : la centrale d’Andekaleka ne produit plus que 22 MW contre 93 MW en temps normal

- Le Sénat met la pression pour le déblocage de son budget

- TVM et RNM : les travaux de réhabilitation et de modernisation sont achevés 


- Jirama : tsy ampy ny rotsak’orana, mihena hatramin’ny 77% ny tahan’ny famatsiana herinaratra eto Antananarivo renivohitra

- Mitaky ny hanomezana azy ireo ny teti-bolany ireo loholon’i Madagasikara

- TVM sy RNM : vita ny asa fanavaozana ny foiben’ny haino aman-jerim-panjakana etsy Anosy

vendredi, 04 décembre 2020 10:50

Le mariage vu par les jeunes malgaches

Se marier par intérêt, par amour ou parce que la société l’impose, le concept du mariage évolue au fil du temps. Des jeunes donnent leurs avis sur la question.

 

Nantenaina, 20 ans

« Le mariage est une sorte d’excuse pour avoir une « vie normale » aux yeux de la société. Il est également une finalité ou un objectif pour certaines personnes. Cela les aide à achever une partie de leur vie. Mais en général, c’est un moyen par lequel on célèbre une union tout simplement. Le mariage est une question d’épanouissement de couple, de découverte de l’un et de l’autre. C’est aussi une question d’adaptation et de résilience sur la façon dont le couple va faire pour continuer de vivre ensemble.

D’un autre côté, c’est une institution qui impose des devoirs et des obligations au sein de la société. Si on n’est pas prêt, il ne faut pas s’engager. Cela ne servirait à rien de se réveiller à côté d’une personne que vous n’aimez pas. Tout le monde peut se marier, mais combien sont vraiment heureux en mariage ? »

 

Aline, 24 ans

« Pour moi, le mariage est tout d’abord un choix. On est libre de se marier avec qui on veut. Mais ce n’est pas non plus une obligation, selon moi. Une fois qu’on a fait le choix du mariage, il faut respecter les engagements que l’homme et la femme se sont promis d’honorer.

Le mariage est sacré, une chose qu’on doit énormément respecter. Chacun doit être conscient de sa décision et ce dans quoi il s’embarque. C’est la raison pour laquelle il faut bien réfléchir avant de s’engager dans cette aventure. Dire « oui », c’est pour toujours (en principe).

 

Andie, 23 ans

« Avant de parler de mariage d'amour, le mariage est, pour moi, un contrat entre deux personnes pour vivre plus facilement sur le plan économique. Un couple marié aura l'avantage de posséder des biens communs dont les enfants hériteront plus tard. En ce qui concerne le mariage comme acte d'amour, c'est avant tout un choix personnel qui est tout sauf une obligation. De plus en plus de gens mettent le mariage au second plan. Pour ma part, faire du mariage une étape obligatoire dans la vie et discriminer ceux qui ne veulent pas sauter le pas, pourrait être une grande source de pression psychologique. La pression exercée sur les célibataires peut créer des ménages conflictuels et malheureux plus tard. Se marier, pour se conformer à la société, enlève toute la joie que devrait procurer un mariage d’amour. Un couple qui refuse de se marier pourrait aussi trouver un équilibre pour partager une vie heureuse et être épanoui. »

Et vous, quelle est votre opinion sur le mariage ? plutôt pour ou contre ?

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