COVID-19 : Tous ensemble face au virus

ArticlesLifestyle

Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Rakotr’ala i Madagasikara fahiny, noho ny filàn’ny olombelona anefa dia nokapaina tsikelikely ny ala ary mihangazana ny tany. Hafatra fampirisihana ny hoe « Tanora mamboly hazo, antitra manan-kialofana » hoy ny mpikabary sady akademisiana, Rasamoelina Maurice. Lava kokoa ny andro iainan’ny hazo iray mihoatra ny olombelona. Noho izany, raha mamboly hazo dieny tanora, iny hazo iny ihany no hanome aloka rehefa antitra.

 


Autrefois, Madagascar était une île verte. Les activités humaines ont, plus tard, réduit les forêts en cendre. Madagascar est alors devenu une île rouge. La durée de vie d’un arbre est, en général, plus longue que celle d’un être humain. L’expression « tanora mamboly hazo, antitra manan-kialofana » signifie que planter un arbre lorsqu’on est jeune nous garantit des feuilles en dessous desquelles nous pourrons nous abriter une fois vieux.

Une approche participative pour de meilleurs résultats. Le ministère de l’environnement et du développement durable ambitionne de déléguer la gestion environnementale à la communauté de base. Quelles difficultés rencontre-t-on pour l’application de cette nouvelle stratégie ? Les parties prenantes dans la lutte contre le changement climatique nous partagent leurs avis sur le sujet dans Ndao Hilaoeky.



Fampandraisan’anjara ny rehetra no ahazoana vokatra tsaratsara kokoa. Mikendry ny fitsinjaram-pahefanan’ny fitantana ny tontolo iainana amin’ny vondron’olona ifotony ny ministeran’ny tontolo iainana sy ny fampandosoana lovain-jafy amin’izao fotoana izao. Inona no olana mitranga amin’ny fampiharana izay paikady izay ? Mizara ny heviny manoloana izany ny mpisehatra eo amin’ny ady amin’ny fiovan’ny toetrandro ao anaty fandaharana Ndao hilaoeky                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          

Fêtes de fin d’année riment avec embouteillages monstres à Antananarivo. La circulation dans la capitale, d’habitude déjà tendue, devient tout simplement infernale quand vient le mois de décembre. Il existe cependant des itinéraires qui peuvent faire gagner de précieuses minutes et réduire un peu le stress causé par le trafic.

1- L’itinéraire Andavamamba jusqu’à Antanimena

Pour éviter le centre-ville depuis Anosy, il y a l’itinéraire Andavamamba jusqu’à Antanimena en passant par le rond-point en face du Bureau municipal de l’Hygiène à Isotry. Les automobilistes n’ont pas l’habitude de prendre ce chemin.  

2- La route pavée entre Andavamamba et Ilanivato

La route pavée entre Andavamamba et Ilanivato offre plusieurs opportunités de gagner du temps. Il est possible de rejoindre Anosibe ou Anosipatrana par cette voie.

3-La petite artère longeant le canal Andriantany

La route des hydrocarbures est totalement bouchée aux heures de pointes. La petite artère longeant le canal Andriantany dans le quartier de Tsaramasay peut permettre de grappiller quelques minutes si on veut se rendre à Ankorondrano depuis Ankazomanga.

4- L’alternative Androhibe

Pour éviter le légendaire bouchon d’Analamahintsy, il y a l’alternative Androhibe que de plus en plus d’automobilistes commencent à emprunter. Elle permet de rejoindre la cité d’Analamahintsy à Ambohitrarahaba mais depuis Antanandrano. Sinon, une piste relie Ambatobe à la RN3 au niveau de Somacou Ilafy.

5-La bifurcation au niveau de la BOA Mahazo

Autre embouteillage iconique de la capitale, celui de Mahazo. Un chemin permet d’éviter la longue file de voiture jusqu’à Ampasapito en empruntant la bifurcation au niveau de la BOA Mahazo qui mène directement à Ampandrianomby.

6- La petite sortie pavée sur la bretelle du By Pass

La petite sortie pavée sur la bretelle du By Pass au niveau de la galerie Alhambra qui mène à la route d’Androndra permet de gagner de précieuses minutes en évitant les bouchons du rond-point d’Ankadimbahoaka.

Isan’ireo asa mifandraika amin’ny toetrandro ny climatologiste sy ny météorologiste. Misy maha samihafa azy anefa ireo asa roa ireo. Manara-maso ny fivoaran’ny toetrandro ao anatin’ny fotoana fohy izany hoe 12 ora ka hatramin’ny 7 andro, sy mamoaka ny vinan’ny toetrandro ny météorologiste raha ao anatin’ny 10 andro na mandritra ny fotoana lava kosa izany ho an’ny climatologiste araka ny fanazavan’ny tompon’andrakitra ao amin’ny météo Madagasikara, Randrianarison Rivo. Mbola ao anatin’ny asa mifandraika amin’ny toetrandro ihany koa ny asan’ny mpahay lalàna mikasika ny tontolo iainana. Miresaka mikasika izay ny Me Aholy Line Sara, juriste environnementaliste ato anatin’ny fandaharana KSK. 


Les métiers de météorologiste et de climatologiste sont liés à la climatologie. Le météorologiste s’intéresse à l’évolution du climat et de la prévision du temps à court terme, c’est-à-dire entre 12 heures à 7 jours. Quant au climatologiste, il s’intéresse à l’évolution du temps sur le long terme, les tendances de plus de 10 jours ou pendant une période plus longue, selon les explications du chef de la météorologie opérationnelle à la météo Madagasikara, Rivo Randrianarison. Le métier de juriste en environnement est également rattaché à ces activités professionnelles. Le Me Aholy Line Sara, juriste environnementaliste en parle dans l’émission #KSK.

Tantôt l’émerveillement face aux décorations et évènements pour les festivités de Noël, tantôt l’énervement à cause des bouchons. C’est, chaque année, le lot des Tananariviens durant les périodes de fêtes de fin d’année.

« A Antananarivo, l’ambiance des fêtes de décembre se ressent à travers les embouteillages », souligne Haja, un chauffeur de taxi travaillant dans la capitale. Chaque année, dès la première semaine de décembre, le trafic commence à se faire lourd dans le centre-ville d’Antananarivo. Pour cette année, aux habituels marchés de Noël s’ajouteront les installations prévues par la commune urbaine d’Antananarivo.  

Village de Noël et forêt de Sapin devant la mairie

« Pour cette année, la célébration des festivités de Noël sera plus particulière », souligne le directeur de la culture auprès de la commune urbaine d’Antananarivo, Elia Ravelomanantsoa. Au programme de 2020, outre les habituels marchés de Noël, la commune prévoit également une « forêt de sapins » sur le parvis de la Mairie et un « village de Noël », sur deux pâtés de maisons autour de la Mairie.

Pour ce qui est des marchés ou bazars de Noël, le directeur des marchés au niveau de la CUA, Rija Randrianarisoa, indique que « cette année, l’organisation s’est fait de sorte à éviter au maximum que les bazars de Noël ne créent un bouchon au centre-ville. » Pour cela, les animations et jeux pour les enfants ne seront plus, pour cette édition, organisés le long de l’avenue de l’Indépendance. « Nous sommes actuellement en train de finaliser l’organisation pour tout ce qui est aires de jeux et animations pour les enfants », explique le directeur de la culture.

Qu’en est-il des embouteillages ?

Pour Haja, taximen, la solution est de basculer et faire taxi de nuit pendant le mois de décembre. « J’ai l’habitude de travailler de jour, mais chaque mois de décembre je préfère basculer et travailler de nuit. Cela m'évitera de trop forcer sur la voiture dans les embouteillages, et aussi d’être déçu par la rentabilité », souligne-t-il, en riant. Selon lui, l’idée de faire la fête n’est pas mauvaise, mais il faudrait quand même adopter un dispositif ou une meilleure stratégie pour éviter autant que possible les bouchons.

Dans tous les cas, au niveau de la commune, des dispositifs ont été étudiés en vue d’éviter les embouteillages ou de désengorger, dans la mesure du possible, la circulation dans le centre-ville durant les fêtes. La réparation des chaussées, bien que tardive, en est une. Cela permettra quelque part de fluidifier la circulation, mais ne sera pas pour autant suffisant.

mardi, 08 décembre 2020 11:02

Revue de presse du 8 décembre

 

  • Journée mondiale du climat : le remède au changement climatique n’est autre que la protection de l’environnement
  • Des biens de Ranavalona III vendus aux enchères à Londres ce 11 décembre
  • Madagascar accueille les 11e jeux des îles : un nouveau défi en termes d’infrastructures 

  • Andro maneran-tany ho an’ny toetrandro : ny fiarovana ny tontolo iainana ihany no vaha olana hoan’ny fiovaovan’ny toetrandro
  • Akanjon’dRanavalona faha-III sy vakoka maro hafa hatao lavanty any Londres ny zoma 11 desambra ho avy izao
  • Hampiantrano ny lalaon’ny Nosy faha-11 i Madagasikara : misy foto-drafitra asa maro tokony havaozina handraisana izany
mardi, 08 décembre 2020 10:59

Journal des régions du 8 décembre

  • Les cours continuent à l’université d’Antsiranana malgré les nombreux cas de covid-19
  • Les étudiants de l’université de Toamasina sont en grève à cause des droits d’inscription trop élevés
  • Le budget alloué au CCOK et au CRNM s’élève à près de 7 milliards d’ariary pour lutter contre le kere à Ambovombe et Amboasary Sud
  • De fortes vagues pourraient perturber les activités maritimes tout au long des côtes Sud-Ouest, Sud et Sud-Est : sortie en mer déconseillée jusqu’au 10 décembre

  • Mitohy ny fampianarana ao amin’ny oniversiten’Antsiranana na dia eo aza ny trangana covid-19 maro
  • Mitokona ny mpianatry ny oniversiten’i Toamasina fa lafo loatra ny saram-pisoratana anarana
  • Fito lavitrisa ariary eo ho eo ny tetibola natokana hoan’ny CCOK sy ny CRNM hiadiana amin’ny kere any Ambovombe sy Amboasary atsimo
  • Hisy onja mahery mety hanakoratana ranomasina any amin’ny morontsiraky ny faritra atsimo andrefana, atsimo sy atsimo atsinanana hatramin’ny alakamisy 11 desambra

Tafara-dalana hiditra ao amin’ny tsena kaominaly Meza sy Santa vadin’i Mahaly. Gaga i Santa mahita an’i Meza mivesatra ny entana hamidiny tsemboka sy sempotra. Mila vola i Meza fa efa anatin’ny fotoam-pambolena izao. Miaka-bidy ny masomboly sy ny zezika vokatry ny fihibohana satria samy te hahazo tombony hoenti-manentsina ny fatiantoka nahazo azy ny olona rehetra. Sakanan’i Dadah eo am-pidirana izy mianadahy satria tsy nanao aro-vava Santa. Manazava amin’i Dadah i Santa fa sempotra izy raha manao arovava orona dia tsy nitondra mihitsy fa manelingelina azy. Tsy manaiky ny hampiditra azy ao an-tsena i Dadah raha tsy manao arovava izy, no sady manazava aminy ny anton’ny hanaovana ny arovava orona. Mitsetra an’ i Santa i Meza, ka na dia eo aza ny disadisa, dia nomeny arovava fiandry tany aminy i Santa. Sadaikatra i Santa hanao ilay arovava, saingy voatery ka nanao ihany. Mampatsiahy azy ireo i Dadah, fa tsy mbola misy sazy aloha izao, fa fampitandremana no ataony, ary asainy manaraka ny fepetra ao anaty tsena koa izy mianadahy.



Avec la crise induite par la pandémie, la hausse des prix est généralisée. Chacun essaie de gagner plus pour combler les pertes durant le confinement. Le cas de Meza étant critique, il doit acheter les intrants nécessaires car la prochaine saison est proche. Pour ce faire, il n’a d’autre solution que de vendre ses récoltes. Faisant route vers le marché communal de Marofody pour y vendre sa récolte, il se retrouve devant l’entrée avec Santa, la femme de Mahaly. Santa, ne portant pas de masque est retenue par Dadah, le responsable du marché, devant les portes. Malgré sa mésentente avec le mari de Santa, Meza lui donne le masque qu’il avait en réserve. Dadah leur rappelle l’importance du respect des mesures sanitaires.

L’Association Internationale du Transport Aérien préconise plusieurs solutions pour la distribution de vaccins covid-19. Parmi elles, figurent :

- La mise en place de procédures accélérées pour les survols des territoires et les permis d’atterrissage.

- L’exemption des membres d’équipage des exigences de quarantaine pour assurer le maintien des chaînes d’approvisionnement du fret.

- L’élimination des heures de couvre-feu pour les vols transportant les vaccins, afin de rendre, aussi flexible que possible, les activités des réseaux mondiaux.

Tout cela rentre dans la stratégie d’anticipation des futures livraisons de vaccins… des livraisons qui dépendront bien évidement des lieux de production.

 



Inona ny tolon-kevitry ny Fikambanana iraisam-pirenena amin’ny zotra an’habakabaka mba hanafainganana kokoa ny fizarana ireo vaksiny fanefitry covid-19 rehefa azo antoka izany?

Maro ireo vahaolana izay atolotry ny Fikambanana iraisam-pirenena amin’ny zotra an’habakabaka, anisany :

- Ny fanafainganana ny fomba fiasa amin’ny fanomezana alalana ny fiaramanidina hisidina isaky ny firenena ary higadona amina toerana iray.

- Ny fanesorana ireo fepetra fitokana-monina ho an’ireo ekipa miasa mba hilamina tsara ny famatsiana sy ny fitondrana entana amin’ny fiaramanidina.

- Ny fanafoanana ny famerana ny ora fivoahana na ny « couvre -feu » ho an’ireo sidina mitatitra vaksiny mba hanamorana ny asa ao anatin’ny tambanjotra.

Miditra ao anatin’ireo paikady handaminana mialoha ny fitaterana ireo vaksiny izay rehetra izay...Fitaterana izay miankina mazava ho azy amin’ireo toerana misy ireo ozinina famokarana vaksiny.

mardi, 08 décembre 2020 09:37

Journal du 8 décembre

    • Tsy dia miraika amin’ny fividianana raokandro hiadiana amin’ny coronavirus ny olona ao Antsiranana.
    • Niena ny fanjifan’ny olona vary noho ny fiakaran’ny vidiny.
    • Mbola malaina mitsidika fampirantiana ny tanora ao Toamasina.
    • Niverina amin’ny laoniny ny famatsian-drano ao Ambalavao.
    • Ny «agroécologie », isan’ny teknikana fambolena mahomby sady miaro amin’ny tontolo iainana.

  • Madagascar accueillera les Jeux des îles de l’Océan Indien en 2023
  • Les artistes s’engagent dans la lutte contre le changement climatique
  • Madadoc Lab : Nantenaina Fifaliana remporte le premier prix
  • Antsiranana : les jeunes se tournent vers le bénévolat environnemental
  • Café couture, un endroit de partage pour les adeptes de mode

Dans chaque système managérial et dans chaque entreprise, cela se chuchote dans les couloirs. Par peur de représailles ou par peur de se faire virer, on n’émet aucun commentaire. Le harcèlement moral mène pourtant à la contre-production.

Repliées dans leur coin, n’osant pas mettre de mots dessus, les victimes ont tendance à se priver de dire ce qui leur arrive. Pourtant, avec le temps, ces « légères piques » peuvent peser, au point de devenir un boulet. S’en suivent la démotivation et la fatigue émotionnelle, menant à la contre-productivité d’une personne, de l’équipe et enfin de l’entreprise. Ne serait-ce pas une « nouvelle forme plus améliorée de l’esclavage moderne » ?

Motus et bouche cousue

Deraina, assistant en ressources humaines, affirme combien il est difficile pour une victime de décrire ce qu’elle vit. « On se tait, par peur de représailles et des oppressions qui peuvent s’en suivre ou tout simplement, par peur de perdre son emploi », souligne-t-il. De fait, selon lui, c’est aux responsables en ressources humaines de déceler les faits et gestes pouvant confirmer l’importance de l’ouverture d’une enquête. Toutefois, dans la plupart des entreprises, certains dirigeants font bloc quand il s’agit de préserver leur image, si fuite d’informations il y a.

Arielle, chef de service dans une zone franche depuis 7 ans, estime être « entre le marteau et l’enclume ». A ses yeux, les ordres qu’elle reçoit de son supérieur ne se conformeraient pas aux attributions et termes de références mentionnées dans son contrat. « Heures supplémentaires, surcharge de travail en parallèle à ses tâches, et même quelques allusions sexuelles couronnent parfois le tout », soupire-t-elle. Arielle reste cependant dubitative quant au fait de pouvoir un jour en parler. Pensant à ses 3 enfants, elle se résout à subir la pression. Pourtant, il s’agit d’une pression et suivant la personne, le seuil de tolérance peut varier. « Parfoi ? la communication non-verbale permet de mieux analyser les non-dits, en plus des preuves explicites », indique Fandresena, un jeune mentaliste.

Sous l’épée de Damoclès

S’ajoutent à cela, les menaces qui concernent le plus les femmes. Cependant il n’est pas exclu que des hommes en subissent également les pressions. Avoir le regard fuyant, se taire ou faire semblant de ne rien savoir… les victimes préfèrent cette stratégie de repli, pour au moins avoir un « semblant de paix ». Pourtant, les menaces entre dominants-dominés sont les plus courantes en entreprise, indique la psychologue, Hoby Andriamiarintsoa. Cependant, qui ne dit mot consent. « Se taire par omission, par peur ou par indifférence sur une affaire même qui ne nous concerne pas s’apparente à laisser ses collègues mourir à petit feu », soutient l’avocate, Me Narindra Andriamananony.

Selon cette dernière, cette situation recèle, dans un point de vue plus large, une certaine forme d’esclavage moderne. « Sous le joug du respect de la hiérarchie, mais surtout de la peur de se faire renvoyer, les salariés préfèrent se taire et suivre le cours sans se rebeller jusqu’à atteindre leur limite », indique-t-elle. Selon la psychologue, Hoby Andriamiarintsoa, « le dominant fait pression sur le dominé pour contrôler tant ses faits que ses gestes et s’assurer qu’il n’ait pas de réaction ». Cependant, ces menaces cachent, quelque part, la peur de voir ses mauvaises actions mises à nues. Pour éviter cela, Hanta, directrice en ressources humaines d’une entreprise comptant 6.500 salariés, conseille « le recours aux preuves tangibles ». « De nos jours, les caméras de surveillance, les appels enregistrés, les témoins oculaires peuvent tout à fait aider à signaler des actes inappropriés », d’après elle.

mardi, 08 décembre 2020 05:39

Qui sont les champions du slam national 2020 ?

Le slam national 2020 a été remporté par l’équipe de Tamatave, en l’occurrence par Louis’Z et Ku-di Art Ntsarety. Le jury a été séduit par leur texte « Ampitapitao », une revendication sur l’éducation. Leur message ? On peut réussir dans la vie même si on n’a pas été premier de la classe. Louis’Z a aussi remporté la victoire dans la catégorie individuelle et représentera Madagascar à la coupe du monde de slam en Mai 2020 à Paris. Les détails dans l’émission. 


Norombahan’ny ekipan’i Toamasina, Louis’Z sy Ku-di Art Ntsarety ny fandresena tamin’ny Slam national 2020. « Ampitapitao » hoy izy ireo, ampitapitao any amin’ny mpampianatra fa tsy voatery voalohany ao an-dakilasy vao tafita. Mbola i Louis’Z ihany koa no nibata ny amboara tamin’ny sokajy mandeha irery ka hisolo tena an’i Madagasikara amin’ny fifaninanana maneran-tanin’ny slam any Frantsa amin’ny mai 2020. Araho ao anatin’ny fandaharana Hono oa ny mikasika izay.

mardi, 08 décembre 2020 04:10

Le rasa hariagna

Fomban-drazana mbola betsaka mpanao ny rasa hariagna. Fotoana anaovana fombafomba hizarana fananana amin’ny maty izy io. Na dia manana harena toy inona anefa ilay maty, izany hoe manana trano maro na fananana hafa dia tsy maintsy omby ihany no zaraina aminy. Manao jôro ny velona amin’io ho fanolorana ny fananan’ny maty.



Le « rasa hariagna » est une des pratiques traditionnelles encore d’actualité dans de nombreuses régions de Madagascar. Il s’agit d’un moment de partage des biens avec les défunts. En effet, selon les croyances au niveau de certaines régions de l’île, les disparus doivent encore garder une partie de leurs richesses matérielles accumulées durant leur vie. Pour ce faire, on sacrifie des zébus en guise d’offrande aux défunts pendant la cérémonie du « rasa hariagna ». Cette pratique se fait peu de temps après l’exhumation.

Pour en savoir plus sur nos activités
M'inscrire à la newsletter