« Sora » est un terme utilisé par les jeunes pour désigner une cigarette et « misora » (à lire misôra) pour signifier « fumer une cigarette ». Ces expressions sont utilisées par tous les jeunes fumeurs et non-fumeurs. L’orateur Aina Miolampandry explique dans Kozio ahy qu’il est difficile de retracer l’origine de ce mot car il a traversé plusieurs générations. Attention, fumer est dangereux pour la santé.
Ny teny hoe « sora » dia teny fampiasan’ny tanora hilazany hoe « sigara ». Saika mampiasa anio avokoa ireo tanora na mpifoka sigara na tsia. Manazava i Aina Miolampandry, mpikabary fa sarotra ny hamaritana ny nihavian’io teny io satria niova sy nivoatra arakaraky vanimpotoana izy io. Tandremo anefa fa manimba ny fahasalamana ny fifohana sigara.
- Betroka : formation des responsables de l’éducation civique issus des CEG et lycée.
- Fianarantsoa : le respect des gestes barrières dans les transports reste est toujours en vigueur
- Alaotra Mangoro : célébration du "Feraomby" dans la commune d’Anororo.
- Betroka : Nahazo fampiofanana ireo tompon'andraikitra mikasika ny Fanabeazana ho olom-pirenena vanona any amin’ny CEG sy lisea.
- Fianarantsoa: mbola mihatra ireo fepetra ara-pahasalamana any anaty fiara fitaterana.
- Alaotra Mangoro: fankalazana ny "Feraomby" tao amin’ny kaominina Anororo.
Même si une personne se déclare de nature solitaire et indépendante des autres, elle vit dans une société où elle est en contact avec d’autres. Dire « j’ai bâti mon entreprise tout seul, sans l’aide de personne » est exagéré. On a toujours besoin des autres, pour une expertise dans un domaine particulier, par exemple. Zo Louis Rabearison, anthropologue, et Fanilo Ratefinjanahary, fondateur d’Ecobrik Madagascar vont débattre sur ces sujets dans l’émission.
Na dia mahavita tena irery ary ny olona iray eo amin’ny fiainana, ao anaty fiaraha-monina izy tsy maintsy mifandray amin’ny hafa na tiany na tsy tiany. Na milaza ary izy fa « izy irery no nahavita nanangana ny orinasany », tsy mitombona tanteraka izany. Tsy maintsy mila olona foana izy hanatanteraka asa iray izay tsy hainy mihoatra ny olon-kafa manana traikefa bebe kokoa ao amin’ilay sehatra. Hilaoeky momba izay i Rabearison Zo Louis, mpahay olona, sy i Ratefinjanahary Fanilo, mpanorina ny Ecobrik Madagascar.
Fonder et gérer une société n’est pas du tout chose aisée,  affirme Samira Mihaja Moumini ou Samy fondatrice de la société 3 Ladies Pirates dans notre émission Ketrika sy Kandra. Mais avant cela, Olivia Rakotondrasoa, gérante de l’entreprise Moringala, va nous dévoiler les raisons pour lesquelles il est important de prendre part à des foires et des forums internationaux.
Â
Tsy zavatra mora ny manangana sy ny mitantana orinasa iray. Hizara amintsika ny lalana nodiaviny tanatin’ny fananganana ny orinasany 3 Ladies Pirates i Samira Mihaja Moumini na i Samy. I Olivia Rakotondrasoa, tanora tompon’ny orinasa Moringala, kosa dia hanazava amintsika ny antony tokony handraisana anjara amin’ny fihaonana ara-barotra iraisam-pirenena.
L’économie malgache, déjà moribonde, a été touchée de plein fouet par la covid-19. Plusieurs secteurs d’activité ont été impactés par la crise, amputant ainsi le revenu de milliers de Malgaches.
Au-delà de la crise sanitaire, la covid-19 a causé une crise économique dont on ne voit pas encore le bout. Alors que l’urgence sanitaire a, à peine, pris fin il y a quelques semaines, l’heure est au bilan, huit mois après que le coronavirus ait atteint l’économie malgache. L’économiste Dr Hery Ramiarison, professeur à l’Université d’Antananarivo, présente un aperçu des impacts de la pandémie à travers quelques chiffres.
30% à 40% des entreprises ont été touchées par le chômage technique soit 36% des emplois salariés. Pour les emplois formels, la perte de revenu est estimée à 298 milliards d’ariary par mois. Même le secteur informel n’a pas été épargné, un secteur qui pèse jusqu’à 49% du PIB malgache. Dans ce secteur, l’économiste avance une baisse d’activité de 50%, ce qui équivaut à une perte de revenu de 410 milliards d’ariary par mois. Au total, 67,2% des ménages ont subi une perte de revenu. Pour le Dr Hery Ramiarison, la pauvreté a été aggravée par cette perte de revenu.
Deuxième vague
Les entreprises de la zone franche ont été parmi les plus impactées. 80% d’entre elles sont confrontées à des problèmes financiers importants, d’après les derniers chiffres du Groupement des Entreprises Franches et Partenaires (GEFP). La filière textile est la plus touchée avec l’annulation des commandes en raison du confinement dans les pays de destination des produits d’un côté et la perturbation de l'approvisionnement en matières premières dont les tissus viennent essentiellement de Chine. Le revenu de ces entreprises a ainsi baissé de 47% par rapport à mai 2019, toujours selon le GEFP qui affirme craindre la nouvelle vague, qui est en train de frapper l’Europe actuellement. D’après le groupement, le retour au confinement dans ces pays annihilerait la légère reprise timidement entamée. Même préoccupation pour les acteurs du tourisme, qui emploient de leur côté 350.000 personnes et dont la reprise a été stoppée net par la fermeture du ciel à plusieurs pays.
Si la bataille sur le front sanitaire est en passe d’être gagnée, comme l’affirme le discours officiel, la question est tout autre sur le front économique et social par extension. Entre l’ariary qui dégringole et des perspectives peu reluisantes, la covid-19 continue de faire mal à Madagascar. Â
Le facteur 100 vient de la thèse du médecin sénégalais, Massamba Sassoum Diop. Dans son étude, il constate que, pour l'instant, l'Afrique est beaucoup moins impactée que d'autres continents. D’après ses résultats, l’Afrique a quasiment un facteur 100, en termes d’amoindrissement, notamment en taux de mortalité.
Appliquons sa théorie à la population de Madagascar. Ici nous avons 26 millions d’habitants, en projetant ce chiffre sur le modèle de Wuhan en Chine, Madagascar aurait dû avoir 2.6 millions de personne touchées par le coronavirus, on aurait dû avoir près de 130.000 personnes en réanimation et 65.000 décès. Cela veut dire qu’on aurait dû être sur des chiffres de plusieurs dizaines de milliers de morts alors qu’aujourd’hui, Madagascar enregistre 300 décès.
Â
Petra-kevitry ny dokotera senegaly Massamba Sassoum Diop izy io ry………….. Milaza izy ao anatin’io fanadihadiana nataony io fa hatreto, mbola kely ny fiantraikan’ny covid-19 eto Afrika mihoatra noho ny kaontinanta hafa. Araka ny voka-pikarohany, manana ny atao hoe facteur 100 i Afrika, izany hoe isa kely indrindra, manodidina ny zato, amin’ny isan’ny fahafatesana.
Ampiharintsika amin’ny mponina eto Madagasikara ity petra-kevitra ity. 26 tapitrisa isika no mponina eto, raha hoe tany Wuhan tany Chine io isana mponina io a, teo amin’ny 2,6 tapitrisa teo ny olona mety voan’ny coronavirus. Olona miisa 130 000 no mety nila fameloman’aina ary 65.000 no mety namoy ny ainy. Midika izany fa mety mbola anjatony maro lavitra noho izao no maty teto amintsika, hatreto anefa, 300 no isan’ireo namoy ny ainy.
En général, lors d’un décès, les malgaches ont des rites spécifiques d’usage pour rendre hommage au défunt. L’utilisation du « lambamena », le linceul qui sert à envelopper le mort, fait référence à la culture des habitants des hautes terres. Que signifie « lambamena » et comment les habitants de cette région l’utilisent lors de funérailles ?
A part cela, les présentations de condoléances à la famille du défunt constituent également des règles à suivre qui se transmettent de génération en génération dans les hautes terres. Dadafara, « mpikabary » et membre de la FIMPIMA explique quelques-unes d’entre elles.
Ny famonosana lambamena ny maty dia fanomezana voninahitra azy, araka ny fomban-drazana eto Imerina. Lamba vita amin’ny landy no tena hahafantarana azy fa efa misy karazany izy ankehitriny. Ahoana ary ny fampiasa azy ireny ?
Ny fomba famangiana ireo mana-manjo koa dia miova isaky ny faritra. Mampatsiahy ireo teboka tokony tsy ho adinona rehefa hitondra teny i Dadafara, mpikabary sy mpikambana ao amin’ny FIMPAMA.
- Mise en place de la chaine pénale Antiviolence Basée sur le Genre par le ministère de la justice.
- Sénatoriales: la CENI a rectifié 255 grands électeurs de la liste.
- Dépréciation de l’ariary: « l’inflation est maitrisée », il ne devrait pas y avoir de hausse de prix des marchandises importées.
- Fametrahan’ny ministeran’ny fitsarana « Chaîne pénale Antiviolence Basée sur le Genre».
- Fifidianana loholona : mpifidy lehibe miisa 255 tamin'ilay lisitra no nasiana fanintsiana.
- Voafehy ny fisondrotan’ny vidim-piainana ary tsy tokony hiakatra ny vidin’entana nafarana avy any ivelany.
Â
Tontolo tsy afa-misaraka amin’ny olombelona intsony ny teknolojia. Kanefa mila lanjalanjaina tsara ny fampiasana azy mba hitandrovana ny fahasalamana. Toy izany ny finday fampiasa isanandro io. Misy fihetsika madinika izay mety hanimba ny maso, ny sofina, ny lamosina, ny vatana iray manontolo, hoy ny dokotera Randriamiharisoa Haja. Toy izany ihany koa ny fanelarana na radioactivité, ohatra mandritra ny fitarafana. Fomba entina hitsaboana ny homamiadana ihany koa izy io, kanefa mila hitandremana ihany koa satria mety hanimba ny sela salama any anaty, hoy Ratovonjanahary Franck, mpampianatra eny amin’ny anjerimanontolon’Antananarivo.
Â
La technologie fait partie intégrante de notre vie quotidienne. Mais les médecins nous conseillent de bien préserver notre santé par rapport à leur utilisation. En effet, notre contact quotidien avec le téléphone peut avoir des répercussions sur notre corps, à travers les ondes magnétiques qu’il propage. Les durées de contact doivent être équilibrées, selon le docteur Haja Randriamiharisoa. C’est le cas avec la radioactivité, c’est un phénomène qui peut se passer, par exemple, durant la radiographie ou aussi la radiothérapie. Les rayons radioactifs peuvent supprimer les cellules cancéreuses mais elles peuvent également détruire les cellules en bonne santé. Les utilisateurs doivent se protéger des rayons radioactifs, précise Franck Ratovonjanahary, enseignant à l’université d’Antananarivo.
Une idée, une vision, des objectifs. De plus en plus de jeunes se lancent dans l’entrepreneuriat mais pour réussir dans ce domaine, il y a un ingrédient essentiel à prendre en compte, la créativité. Hantanirina Oliva Rajoharison, formatrice et coach en management et en entrepreneuriat, met en exergue l’importance de la créativité dans le monde entrepreneurial.
Studio Sifaka : Quel est le rôle de la créativité dans l’entrepreneuriat ?
Hantanirina Oliva Rajoharison : La créativité permet à un entrepreneur de se différencier de ses concurrents. Quand les gens commencent à confondre un produit ou un service parmi les existants, l’entrepreneur doit se poser des questions et repenser sa créativité. Comme les concurrents peuvent être multiples, il faut créer de nouvelles idées, de nouveaux concepts. Vraiment, le mot, c’est « créer ».
Quelle est la différence entre créativité et innovation ?
La créativité est le fait de toujours aller vers la recherche de nouveautés. C’est partir de zéro pour créer ou inventer quelque chose de nouveau. Innover par contre, c’est partir d’un produit ou d’un service qui existe déjà , l’améliorer en ajoutant des éléments nouveaux. Innover, c’est aussi s’inspirer d’une chose qui est déjà faite dans le but de la recréer. Par contre, on a besoin d’esprit créatif pour pouvoir aller vers l’innovation.
Comment développer sa créativité ?
Premièrement, il faut être curieux et se documenter pour affiner ses recherches. Moi par exemple, je consacre quatre heures par jour pour voir comment font les autres, quelles sont les dernières innovations ou les récentes informations concernant les domaines qui m’intéressent. Une personne qui cherche à développer sa créativité se doit d’être au courant de tout, être attentive aux besoins de la société, sensible aux tendances et aux avancées technologiques. Vraiment, il faut fouiner à gauche et à droite, mais surtout avoir l’esprit très ouvert. Il est également important d’écouter davantage son intuition et d’observer la nature, source illimitée d’inspiration. Bref, la créativité, c’est toute une science.
Quels sont vos conseils pour les jeunes entrepreneurs ?
L’entrepreneuriat n’est pas comme l’art, on ne se dit pas « moi j’ai envie de faire ceci parce que cela me plaît et tant mieux si quelqu’un a un coup de cœur pour mon travail ». Entreprendre, c’est avoir un objectif : vendre son service ou son produit. Et pour vendre, on doit forcément passer par une étude de marché.
Il ne faut pas juste vouloir être le meilleur, il faut toujours aller à la recherche de l’excellence. Et pour y arriver, il faut être passionné car seuls les passionnés résistent aux coups durs. En entrepreneuriat, rien n’est jamais tout gris ni tout rose, il est important d’apprendre à être réaliste en présentant un projet économiquement faisable. Pour un entrepreneuriat durable, il faut constamment se dire que, pour aller plus loin, il faut se démarquer de la concurrence.
Entrepreneuriat durable, qu’est-ce que cela veut dire exactement ?
C’est entreprendre de manière responsable, c’est-à -dire en respectant l’environnement. C’est aussi savoir anticiper les besoins des clients en vue de la pérennisation des activités.
Â
- Antananarivo Atsimondrano : 4 amin’ny 24 ora ihany no mandeha ny famatsiana rano.
- Hamaha ny olana ara-pahasalaman’ny mponina ao amin’ny kaominina Mahazoarivo-Vohipeno sy ny manodidina ny CSB II manara-penitra.
- Havandrazagna : kolontsaina mampiavaka ny faritra atsinanana.
- Fanajan’ny orinasa vahiny eto ny lalà n’ny asa malagasy.
- Tombony ho an’ny marenina ny fahaizany mandray tenin’ny tanana.
- Bac 2020 : les performances des candidats dans les matières scientifiques régressent.
- Présidentielle aux Etats-Unis : duels impacts sur Madagascar ?
- Concours International d’Eloquence : plus qu’une compétition, une sensibilisation pour Rajerison Mampiandry Natanaela
- Le Centre régional de Formation Universitaire de Farafangana s’organise pour sa réouverture après trois années d’interruption.
- La langue des signes, l’alternative des malentendants et des sourds.
- Mahajanga : fasana maro no voatsindrin’ny fako ao amin’izao fotoana izao.
- Fenoarivo Atsinanana : olona 26 traboina noho ny trano efatra kilan’ny afo tao Ambataria ny alin’ny alatsinainy 2 novambra teo.
- Matsiatra Ambony : tatitra momba ny fidinana ifotony nataon’ny fitaleavam-paritry ny fambolena momba ireo olana sedrain’ny tantsaha mpamokatra.
- Toamasina: efa miharatsy ny fotodrafitrasa mamatsy herinaratra.
Â
- Mahajanga : la commune a dépassé la limite géographique de décharges d’ordures et les déversent dans un cimetière.
- Fénérive-Est : 4 habitations réduites en cendres à Ambataria dans la soirée du 2 novembre.
- Haute Matsiatra : rapport des descentes effectuées par la direction régionale de l’agriculture concernant les problèmes des agriculteurs.
- Les infrastructures du projet Volobe qui approvisionne Toamasina en électricité sont défectueuses.