Le Masonjoany est utilisé par la plupart des femmes dans le Nord à des fins cosmétiques pour se protéger des rayons ultraviolets et éliminer en même temps les taches. Il sert aussi à éclaircir la peau. Les jeunes femmes l'appliquent surtout pour ses vertus de beauté mais aussi en guise de maquillage :  elles dessinent des fleurs sur leurs visages avec. En parlant du Nord, Diégo est une ville très connue pour le passage du varatraza, le vent qui a un effet desséchant et décapant sur l'épiderme. Cette situation est plus critique pour les femmes amatrices de produits chimiques d'origine corticoïdes pour éclaircir la peau.
Ny Masonjoany sy fiantraikan'ny varatraza amin'ny hoditra
Ampiasain'ny vehivavy aty avaratra ho fiarovana ny tarehy tsy ho simban'ny hain'andro ny masonjoany. Ampiasany hanalana ireo panda sy tasy ihany koa ary anadiovana tarehy mihitsy. Maro amin'ny tovovavy aty avaratra mampiasa azy io ho fanaingoana tarehy. Izany hoe anaovany kisarisary amin'ny alalan'ny Masonjoany ny tarehy. Efa niresaka aty avaratra ihany isika, anisan'ny ahafantarana an'i Diego ny varatraza. Rivotra somary mafimafy izy io ary misy fiantraikany amin'ny hoditra. Miteraka aretin-koditra raha tsy mitandrina fa indridra ireo vehivavy manosotra produit chimique entina hanadiovana tarehy.
Chaque année, environ 4.500 étudiants malgaches quittent Madagascar pour étudier à l’étranger. Plus de 60% d’entre eux rejoignent la France. D’autres vont au Maroc, au Canada, aux Etats-Unis, en Allemagne ou à l’Ile Maurice, comme le cas de Tsanta Rakotoarimanga, 21 ans et Christophin Rakotomalala, 24 ans. De retour au pays, en décembre 2019, les deux amis ont décidé de créer une agence de placement universitaire afin d’aider les jeunes malgaches dans leurs projets d’étudier à l’étranger. Interview avec Tsanta Rakotoarimanga.
Qu’est-ce qui vous a amenés à créer Dream Study Agency ?
L’idée nous est venue quand nous étions encore à l’Ile Maurice. Nous sommes surtout partis de notre expérience personnelle. Nous avons vraiment galéré dans les démarches et les préparatifs de notre départ à l’étranger. Et même une fois là -bas, ce n’était pas du tout facile de s’adapter. Nous aurions aimé avoir quelqu’un qui nous dise que faire, où aller et à qui parler. Et c’est maintenant ce qu’on souhaite apporter à la jeunesse malgache.
D’après vous, est-ce que les jeunes malgaches connaissent ou s’intéressent aux services des agences de placement universitaire ?
Je n’ai pas de chiffre exact mais si je prends l’exemple de l’Ile Maurice, je dirais que près de la moitié des étudiants malgaches sont passés par une agence de placement pour atteindre leurs buts respectifs.
On dit que cela coute cher d’étudier à l’extérieur. Comment pensez-vous aider les jeunes malgaches à dépasser ce blocage financier ?
Effectivement, le coût financier est sûrement le premier frein pour beaucoup d’entre nous, moi-même y compris, à l’époque. Pour mon cas, j’ai dû enchaîner les petits boulots, sacrifier mes soirées et mes week-ends pour travailler afin de gagner de l’argent. Toutefois, il faut savoir que les coûts varient d’une université à l’autre, d’un pays à l’autre. A l’Ile Maurice par exemple, les frais de scolarité des universités publiques sont largement accessibles. Un étudiant à Madagascar débourse à peu près la même somme en une année dans une université privée. Pour dire qu’il n’y a pas de grande différence. En plus, il y a la possibilité de bénéficier d’une bourse jusqu’à 50%, selon les cas.
Qu’est-ce que vous proposez de plus par rapport aux autres agences de placement qui existent déjà au pays ?
Pour le moment, nous proposons deux destinations uniquement : l’Ile Maurice et le Rwanda. Le fait est que nous connaissons le parcours étant donné que nous sommes déjà passés par là . Nous souhaitons capitaliser notre expérience, faire en sorte que les autres ne commettent pas les mêmes erreurs que nous.
Notre service est assez complet : conseils et orientations, procédures d’admission, assistance à la demande de visa, recherche d’hébergement, organisation voyage et des conseils psychologiques. Nous avons également des représentants là -bas qui prendront le relais, une fois que l’étudiant débarquera à l’aéroport. Il sera accompagné pendant une semaine le temps de s’habituer à sa nouvelle vie. C’est également un moyen de rassurer les parents qui sont restés ici.
Enfin, nous travaillons actuellement sur une plateforme en ligne qui s’appelle Mapwess. Il s’agit d’un outil pour faciliter l’envoi et l’accueil d’étudiants malgaches à l’étranger, à commencer par l’Ile Maurice.
Andrianirainy Diamondra Sandra est une jeune femme de 26 ans. Elle a commencé à créer son petit business, au tout début du confinement, en faisant de la broderie sur des Converse. Selon elle, rentabiliser sa passion donne plus de détermination et de motivation pour travailler encore plus dur.
Nanomboka ketrika kely iray i Andrianirainy Diamondra Sandra nandritra iny fihibohana iny : manaingo kiraro amin’ny alalan’ny petakofehy. Nampifandraisiny tao anatin’izany ny fitiavany manaingo sy ny fandraharahana.
La valeur du marché des huiles essentielles ne cesse de croître dans le monde et à Madagascar, selon l’Economic Development Board of Madagascar (EDBM). La consommation locale a surtout explosé depuis le début de l’épidémie de coronavirus. Quels sont les produits les plus prisés par les Malgaches ? Nous avons questionné plusieurs producteurs et commerçants d’huiles essentielles pour en savoir un peu plus.
Les huiles essentielles sont issues d’un concentré de principes actifs aromatiques de plantes. Actuellement, les consommateurs en achètent surtout pour leurs propriétés antivirale, antimicrobienne et antifatigue. Toutefois, elles ont aussi chacune leur spécificité.
Le Ravintsara
Toutes les personnes questionnées ont cité le Ravintsara en premier lieu. Une réponse assez évidente puisque nous sommes en hiver. En effet, l’huile essentielle de Ravintsara est utilisée pour prévenir la grippe, le rhume et la toux. Elle peut être inhalée ou appliquée sur la peau, mais dans ce deuxième cas, il faut la mélanger avec d’autres huiles végétales. « En général, les huiles essentielles sont pures et peuvent donc être dangereuses pour la peau. C’est pour cela qu’il faut les mélanger avec de l’huile d’olive par exemple, ou tout simplement les remplacer par des baumes », explique la fondatrice de Ain’ala, Haritiana Andrianasolo.
L’Eucalyptus globulus
Aussi appelée Kininim-potsy en malgache, cette plante est très utilisée à Madagascar. C’est un antiseptique naturel. Elle est aussi reconnue pour agir sur les infections respiratoires et serait même efficace contre le paludisme.
Le Niaouli
L’huile essentielle de Niaouli possède aussi de nombreuses vertus. Elle régule notamment la circulation du sang et le système nerveux. Utilisée pour lutter contre les problèmes respiratoires tels que la sinusite ou la bronchite, selon Tojo Razafindrakoto de chez Natural oils, c’est la seule qui peut être utilisée pour faire des massages.
Utilisation d’un diffuseur
Les Malgaches ont l’habitude de mettre quelques gouttes d’huile essentielle dans de l’eau bouillante avant de l’inhaler. Mais actuellement, il existe différents types de diffuseurs. Ceux en terre cuite ou en métal ont besoin de bougie pour brûler l’huile. En bonus, ils font aussi office de décoration d’intérieure. Pour les diffuseurs électriques, il suffit d’y verser un peu d’eau, ajouter quelques gouttes d’huile essentielle et de brancher la prise.
Les huiles essentielles sont réputées n’avoir aucun effet secondaire. Pourtant, les médecins recommandent aux femmes enceintes ou allaitantes, aux personnes allergiques et aux enfants de moins de 2 ans de ne pas en utiliser.
Opération hygiène dans le centre-ville.
Etudier à l’étranger : un rêve de plus en plus accessible aux jeunes malgaches.
Le sound system : la base du reggae.
Rafibaiko hanampiana ireo mpianatra kilasy famaranana hanomanana ny fanadinanana Bakalorea.
Ady amin’ny coronavirus manoloana ny fifindrana trano.
Fitantanam-bolan'ny CNAPS: Misy ny rafitra iray najoro hisahana ny fitsirihana anatiny.
Le Vakodrazana est un genre de musique traditionnelle qui se combine avec la danse typiquement malgache comme le dihy soroka et le latsi-tanana. Beaucoup d’artistes lancent cette pratique dans de nombreux endroits à Madagascar pour peindre la réalité.
Vakodrazana dia mozika malagasy miresaka ny zavamisy iainana andavanandro ary ravahan’ny dihy sy ny fitafy miavaka na ho an’ny lahy na ho an’ny vavy.
Les personnes touchées par les maladies rénales passent obligatoirement par des séances de dialyse. D’une manière générale, un patient a besoin d’au minimum trois séances par semaine pour mieux se porter. Sachant que le coût d’une séance est entre 300.000 à 400 000 ariary, les dialyses ne sont pas à la portée de tous à Madagascar.
Dans cette optique, l’Association Rénale de Madagascar (ARM) tire la sonnette d’alarme. En effet, dans une publication sur Facebook, l’association – qui réunit les patients atteints des maladies rénales – a interpellé l’Etat par rapport à la « cherté » des séances de dialyses et demande à ce que « ce problème soit résolu rapidement ». Mais ce n’est pas tout. L’ARM demande également à ce que « le coût des séances de dialyse soit accessible à tous ».
Des médicaments introuvables
Par rapport à cela, nous avons contacté un membre pour savoir la valeur de ce prix accessible à tous. « Notre plus grand souhait est de ne rien payer ou au moins ne pas payer les dialyses mais uniquement les médicaments », confie Nirina, avant de poursuivre que « pour mon cas, je dois me rendre à l’hôpital pour effectuer mes séances de dialyse trois fois par semaine. Et une séance de dialyse coûte 250.000 ariary et à part cela, je dois encore payer 40.000 ariary pour le compte de l’hôpital ».
Un autre problème se pose : le prix des médicaments. « Il arrive que les médicaments ne soient pas disponibles dans les pharmacies et même s’il y en a, c’est trop cher. Durant ce confinement, il nous est aussi arrivé que les médicaments que nous achetons habituellement à 30.000 Ariary soient vendus à 100.000 ariary »., indique toujours Nirina.
D’après les informations fournies par l’ARM, cette situation a été médiatisée et communiquée au Parlement. En principe, une suite est attendue. Mais vu le confinement, aucune rencontre n’a encore eu lieu entre l’ARM et les autorités étatiques, informe l’ARM. Â
L’ONG Youth First a organisé un concours vidéos sur la sécurité en ligne et l’utilisation positive d’Internet. Ce concours vise à inciter les jeunes à être les acteurs du changement pour une meilleure utilisation du net. Sur les 14 participants, la moitié a choisi de traiter le cyber harcèlement.
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Même s’ils avaient le choix entre différentes thématiques (fake news, piratage, protection de données personnelles, etc.), la majorité des candidats au concours ont préféré sensibiliser les jeunes par rapport au cyber harcèlement. Cela confirme que c’est cette forme de danger en ligne qui touche et inquiète le plus les jeunes malgaches. En effet, Youth First a déjà fait une enquête en 2019 qui a révélé que 84,4% des jeunes ont déjà été victimes de violence en ligne.
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Le harcèlement sous toutes ses formes
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Il s’agit surtout de cas où des inconnus insistent pour avoir des photos à caractères sexuels de jeunes filles. Il y a également les commentaires violents et haineux qui sont très agressifs psychologiquement. Sans oublier les formes de diffamation publique et les menaces. Dans leurs vidéos, les candidats essaient de faire comprendre l’envergure de ce problème et proposent des solutions. Toutefois, à défaut de structure formelle, vers qui se tourner ? Il n’y a pas d’autre choix que de redoubler de vigilance. Faire attention aux personnes avec qui se mettre en contact et bien choisir quoi publier en ligne, telle est la solution.
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La gendarmerie nationale dispose d’une division spécialisée dans la lutte contre la cybercriminalité. Selon le chef d’escadron Rado Ramanantsahanina, « le taux de cybercriminalité a fortement augmenté ces six derniers mois. Plusieurs dizaines de plaintes ont été enregistrées. Mais encore, il y en a sûrement beaucoup plus en réalité », affirme-t-il. Certaines personnes ne savent pas qu’elles sont en fait des victimes et d’autres préfèrent se taire car elles ne savent pas vers qui se tourner. « Nous avons justement organisé ce concours pour identifier les besoins des jeunes en matière de sécurité en ligne. Avec nos partenaires, nous nous appuierons sur leur avis pour formuler des plaidoyers auprès de tous les acteurs concernés afin de garantir la sécurité en ligne des jeunes. Par exemple, il est possible de solliciter les autorités à compléter la loi sur la cybercriminalité pour qu’elle soit plus précise et plus utile aux jeunes » explique Rindra Rabemananjara, un project officer chez Youth First.
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Quoiqu’il en soit, toutes les victimes de cyber harcèlement ou d’autres formes de cybercriminalité peuvent porter plainte au sein du poste de gendarmerie le plus proche d’eux. Ce sera au tour de la gendarmerie de les mettre en contact avec la division de lutte contre la cybercriminalité et de les informer sur les procédures à suivre.
Si notre attention a été captivée par la fête de l’Indépendance et les droits de l’enfant ces derniers jours, il ne faut pas oublier que le mois de juin est aussi le mois de l’environnement. En effet, nous avons célébré successivement, au cours de ce mois, les journées mondiales de l’environnement, de l'océan, des forêts humides, de la lutte contre la sécheresse, etc. Nous arrivons aujourd’hui au terme de ce mois. L’heure est au bilan. Est-ce que la protection de l’environnement figure parmi les priorités des citoyens malgaches ?
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Le WWF Madagascar a donné plusieurs conseils hier sur comment contribuer à la protection de la forêt juste en changeant quelques habitudes quotidiennes. Nous avons demandé à quelques citoyens s’ils comptaient suivre ces conseils. Certes, ils ne sont pas contre, mais ils ne sont pas non plus très emballés.
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Des conseils difficiles à respecter ?
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« J’applique déjà plusieurs de ces conseils dans ma vie en ce moment. Mais sincèrement, ce n’est pas vraiment pour l’environnement que je le fais. C’est plutôt pour des raisons sanitaires ou d’autres raisons personnelles. Il y a des conseils que j’aimerais bien adopter aussi mais cela va rendre mon quotidien plus difficile. C’est le cas pour ce qui est du triage de déchets, par exemple. Cela prend du temps en plus », explique une jeune mère de famille. De son côté, un jeune homme affirme que certains gestes écologiques sont déjà une habitude pour les Malgaches. Un mode de vie hérité des traditions anciennes. Par exemple, nous mangeons plus de riz que de viande. Et d’ailleurs, la plupart des Malgaches ne mangent pas de viande tous les jours, par habitude ou faute de moyens. Par contre, les points à améliorer sont nombreux, mais le soutien de l’Etat est nécessaire selon lui (transition vers l’énergie renouvelable, des transports en commun plus hygiéniques et plus attractifs).
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« Par rapport aux difficultés à changer les habitudes, il ne faut pas oublier que c’est seulement au début que c’est vraiment le plus dur », explique un jeune activiste membre du Réseau Climat Océan Indien (RCOI), Billy Melkiad. Une fois la nouvelle habitude acquise, cela deviendra une routine comme les autres. Il faut tout de même bien accompagner les citoyens dans cette démarche. Vulgariser les méthodes à suivre pour pouvoir adopter les gestes écolo. Par exemple, pour le triage des déchets, il faut montrer aux gens quels matériels utiliser et leur proposer des modèles de système de tri efficace, indique-t-il.
    Comment contribuer indirectement à la protection des forêts dans votre quotidien, selon le WWF Madagascar :
Les autorités ont durci les sanctions contre les contrevenants aux gestes barrières avec l’introduction de la garde à vue. Des mesures ont été prises par la police nationale pour permettre cette privation de liberté compte tenu des exigences sanitaires.
« Nous enfermons tous ceux qui ne respectent pas les gestes barrières. Nous nous devons de respecter nous-mêmes les mesures », lance le responsable de la communication de la police nationale, le commissaire Alexandre Ranaivoson. Il indique que la police fait en sorte que la distanciation soit respectée dans les cellules de détention. Cela passe par la diminution des personnes pouvant être admises. Dans ce sens, toutes les cellules à la disposition de la police sont mises à contribution. Pour le cas d’Antananarivo, il y a des cellules dans le commissariat central de Tsaralalà na et ce, dans les huit commissariats d’arrondissement et dans les postes de police.
Le port de masque requis en cellule
« S’il y a trop de personnes dans une cellule, nous pouvons transférer les contrevenants dans d’autres cellules. Dans le cas où ce n’est vraiment pas possible, nous pouvons aménager des endroits dans les locaux pour les détenir », explique le commissaire Alexandre Ranaivoson qui précise que les gardés à vue doivent également porter un masque durant les 48 heures prévues.Â
Le commissaire déplore que bon nombre de personnes ne respectent les gestes barrières que par peur de sanction. « Normalement, les gens doivent prendre conscience qu’il s’agit de leur protection et de la protection des autres avant tout. Il est désolant de voir des individus qui ne mettent leur masque que lorsqu’ils voient des policiers ».
S’il est trop tôt pour dire si la garde à vue fonctionne mieux que les travaux d’intérêt général, les chauffeurs et les receveurs de taxibe n’hésitent maintenant plus à faire descendre les passagers qui ne veulent pas mettre leur masque. 78 de leurs homologues ont goûté à la garde à vue dès le premier jour de son application.
Dans le répertoire des harpistes paraguayens, John Harpe, de son nom d'artiste, est le seul harpiste qui a représenté le pays et tout le continent africain, lors du festival international virtuel de harpe, ce 20 et 21 juin. Artiste aux multiples talents, il a lui-même fabriqué sa harpe. Découvrez comment il a fait et ce qui le rend unique dans son art.
I John Harpe no hany mpanakanto mpiangaly harpe paraguayen eto Madagasikara sy eto Afrika. Izy ary araka izany no nosafidian'ny mpikarakara hisolo tena ny kaontinanta iray manontolo nandritra ny festival virtuel international de harpe ny 20 sy 21 jona lasa teo. Satria moa sarotra ny mahita harpe eto dia izy ihany no manamboatra ny azy. Fantatro ato ary hoe ahoana no nanamboarany izany sy ny mikasika ny tontolon'ity zava-kanto iray ity.