Demain 19 septembre, c’est Le World Cleanup day ou journée mondiale du nettoyage. Ce mouvement citoyen a été lancé par l’ONG Let’s Do it en 2018. L’idée est de rassembler 5% de la population mondiale pour nettoyer ensemble la planète, en une seule journée, depuis l’endroit où ils se trouvent. 160 pays, dont Madagascar, se mobilisent chaque année pour cet évènement. Interview avec Sandra Ratsimbazafy, présidente de Let’s Do it Madagascar et organisatrice de World Cleanup day. Â
Studio Sifaka : Petit retour sur l’édition de l’année dernière. Quels ont été les résultats ?
En 2019, nous avons eu plus de 3.000 participants dans 11 villes de Madagascar. Une centaine d’organisations, associations et entreprises ont rejoint le mouvement. Et au total, nous avons pu ramasser près de 8.000 kilos de déchets.
Studio Sifaka : Face à la pandémie actuelle, le World Cleanup day représente-t-il un enjeu particulier cette année ?
Pour cette année, ce sera un peu différent au vu du contexte actuel. Nous avons sensibilisé chaque personne ou chaque entité à organiser leur propre cleanup, en petit comité. Un groupe d’amis par exemple, un groupe de collègues ou un groupe familial. Mais il faut que ce soit composé de moins de 50 personnes et toujours dans le respect des gestes barrières. Et à côté, il y a les inscriptions individuelles. Pour ceux qui veulent juste nettoyer devant chez eux ou dans leur quartier.
Studio sifaka : Comment faites-vous pour comptabiliser les efforts réalisés par chaque personne ou chaque groupe ?
Un modèle de fiche d’inscription est disponible via notre page Facebook. Chaque participant ou chaque représentant d’un groupe est invité à le remplir. Nous avons besoin de quelques informations comme : le lieu de résidence de la personne, le nombre de participants qui nettoiera avec elle (s’il y en a) et le lieu ou site choisi. Après, nous prenons contact avec les participants afin de communiquer une ou deux instructions. Et à la fin de la journée, chaque participant ou chaque groupe pourra enregistrer leurs réalisations sur un autre document google form.
Studio Sifaka : En parallèle, vous organisez également un webinar le jour du World Cleanup day, de quoi s’agit-il ?
Oui, il s’agit de d’une nouvelle campagne spécialement mis en place pour cette année. Il y a deux grands thèmes au choix : la lutte contre l’utilisation des plastiques à usage unique et la pollution entrainée par les mégots de cigarette. Madagascar a choisi la campagne sur les plastiques. Et donc, notre équipe organise un webinar sous le thème « entrepreneuriat durable, cas du plastique » avec notamment la participation de la ministre de l’Environnement et du développement durable. C’est un échange ouvert au public via un lien zoom sur notre page Facebook.Â
« Chargé de cours » et « tuteur » sont deux métiers qui prêtent souvent à confusion. Nambinina Razafiarivony, enseignante, nous explique les différences entre ces deux fonctions. Reyna Rabiaza, présidente de l’association des professionnels des bibliothèques, quant à elle, va nous éclairer sur ce qu’est exactement le métier de bibliothécaire, une profession qui n’est pas souvent mise sous les feux des projecteurs.
Maro ny mbola tsy mahafantatra ny maha samy hafa ny « chargé de cours » sy ny « tuteur ». Izay indrindra no ho azavain’i Razafiarivony Nambinina amintsika ato anaty Ketrika sy Kandra. Hanazava ny mahakasika izany asan’ny mpitantana tranom-boky izany kosa ny filohan’ny association des professionnels des bibliothèques, Rabiaza Reyna.
C’est une île au parfum ankylosée par le confinement qui se prépare à l’arrivée des touristes à partir du mois d’octobre. Les préparatifs vont bon train depuis l’annonce du président de la République.
Toute l’île de Nosy-Be se met au diapason pour l’arrivée les touristes dans quelques jours. Autorités administratives et sanitaires, opérateurs et transporteurs collaborent pour faire de l’île au parfum une destination « safe » à partir du mois d’octobre. Comme un symbole, une simulation a été réalisée à l’aéroport de Fascènes lundi pour tester les installations pour accueillir les voyageurs dans les meilleures conditions.
Rassurer la population
« Les préparatifs avancent », lance le PCA de l’Office régional du tourisme de Nosy-Be Sonny Tatatsiresy. Il informe que la formation du personnel a commencé et se poursuivra jusqu’à l’arrivée des touristes. « La formation des gérants et des formateurs a été effectuée la première semaine de septembre. Après cela, c’est au tour des employés. L’objectif, c’est de former en tout près de 5.000 personnes », précise-t-il, en indiquant que seuls les professionnels formés recevront les touristes. Tous les corps de métiers sont concernés, du personnel d’accueil à la maintenance. Des supports vidéo ont été mis à disposition des pour faciliter l’acquisition des gestes barrières et des mesures sanitaires.
Sonny Tatatsiresy d’ajouter que l’hôpital de Nosy-Be recevra dans les jours qui viennent un équipement complet pour la prise en charge de malades. « Un renfort de personnel médical spécialisé sera également attendu », souligne-t-il en faisant savoir qu’un webinaire se tient tous les vendredis depuis l’annonce de l’ouverture avec les différentes autorités impliquées dans l’ouverture de Nosy-Be. Il a, par ailleurs, indiqué qu’une campagne de communication a été lancée depuis quelques semaines pour rassurer la population quant à la venue des étrangers. Bien que le tourisme représente 80% de l’économie de l’île, il y a toujours une certaine psychose. « C’est pour cela que nous animons tous les lundis une émission radio où les autorités et les opérateurs du tourisme interviennent régulièrement », précise-t-il. Â
Survie
Pour ce qui est des marchés émetteurs, Sonny Tatatsiresy avance qu’il ne faut pas s’attendre à un rush dès les premiers jours de l’ouverture. Il souligne que seule la compagnie aérienne Ethiopian Airlines est pour le moment disposée à venir. « Nous avons tenu une réunion avec les compagnies. C’était positif en général », lance-t-il. Toutefois, les compagnies Airlink et Air Austral ne peuvent encore venir à cause des confinements respectifs de l’Afrique du Sud et de La Réunion. De son côté, la compagnie italienne qui dessert Nosy-Be ne s’est pas encore aussi positionnée. Pour Sonny Tatatsiresy, c’est déjà une bonne chose car Ethiopian Airlines représente le hub d’Addis-Abeba. Il ajoute que l’ouverture de Nosy-Be est conditionnée par le maintien de l’épidémie sur l’île sous contrôle. « Une explosion des cas remettrait tout en cause ».
En résumé, les opérateurs accueillent positivement l’ouverture de Nosy-Be. Depuis le début de la crise, environ 10% des établissements ont définitivement fermé leurs portes. Les mesures imposées coûtent cependant cher aux opérateurs si l’on parle que du test PCR exigé pour le personnel. Quoi qu’il en soit, pour la poursuite de l’activité, certains opérateurs ont consenti des réductions afin d’attirer les touristes. « Nous sommes plus dans une logique de survie que de profit », témoigne l’un d’eux.
Pour diffuser un film dans les salles de cinéma, ces dernières doivent établir un contrat avec les maisons de production ou les distributeurs des films. Parmi les clauses figure l’engagement des responsables des salles de cinéma à protéger les œuvres de la maison de production contre toute forme de piratage. Il est aussi de leur devoir de signaler la diffusion par les chaînes télévisées des films encore en avant-première dans les salles de cinéma. Journaliste mais également connaisseur dans ce domaine, Jerry Edouard, explique que, pour diffuser un film, les salles de cinéma doivent payer des droits.
Misy ny fepetra arahin’ireo trano fandefasana horonantsary na « salle de cinéma » raha toa ka maniry handefa horonantsary vahiny izy ireo. Misy noho izany fifanarahana eo amin’izy ireo sy ny tompon’andraikitry ny tranom-pamokarana an’ilay horonantsary. Voarakitra ao anatin’izany fifanarahana izany ny tsy maintsy hiarovan’ireo tompon’andraikitry ny trano fandefasana ny horonantsary ny zon’ireo tranom-pamokarana toy ny fanenjehana ny fandefasan’ireo fahitalavitra ny horonatsary izay mbola « en avant-première » any amin’ny trano fandefasana izany. Eo ihany koa ny fanenjehana izay mety ho hosoka. Amin’ny ankapobeny dia tsy tokony handefa horonantsary amin’ny fahitalavitra na any anaty « salle de cinéma » raha tsy nahazoana alalana manokana avy amin’ny tranom-pamokarana.
- DREN Bongolava : Une école communautaire incendiée, la nuit du 15 septembre.
- EMIT Fianarantsoa : Prête pour la reprise de l’enseignement supérieur.
- Région Diana : Distribution de kits scolaires à Sakaramamy, ce jeudi 17 septembre.
- Examen de CEPE : Les taux de réussite au niveau de quelques CISCO.
- DREN Bongolava : Sekoly iray no kilan’ny afo ny alin'ny talata 15 septambra.
- EMIT Fianarantsoa : Vonona amin’ny fiverenan’ny fampianarana ambony, ny 2 novambra ho avy izao.
- Faritra Diana : Fizarà na kojakojam-pianarana tany Sakaramamy, ny alakamisy 17 septambra.
- Ny taham-pahafahana CEPE tamina cisco maromaro.
- Fénérive Est : Le tribunal compte plus de 20 cas de viol depuis le mois de janvier.
- Commune Urbaine de Manakara : Assainissement sanitaire de la ville le samedi 12 septembre.
- La DRCC Atsimo Atsinanana a distribué une formation complémentaire aux journalistes locaux.
- Commune Urbaine Menabe : Désinfection de tous les centres d’examens.
- Fénérive Est : Le tribunal compte plus de 20 cas de viol depuis le mois de janvier.
- Commune Urbaine de Manakara : Assainissement sanitaire de la ville le samedi 12 septembre.
- La DRCC Atsimo Atsinanana a distribué une formation complémentaire aux journalistes locaux.
- Commune Urbaine Menabe : Désinfection de tous les centres d’examens.
Le Code municipal de l’hygiène (CMH) a subi un lifting sous l’ère Naina Andriantsitohaina. Le prochain défi de la municipalité est la vulgarisation du texte par la population. Un travail de longue haleine en perspective.
« La Commune urbaine d’Antananarivo a son code de l’hygiène depuis 1960. Chaque commune doit en avoir d’ailleurs. Le problème a toujours été son application », lance le directeur Eau assainissement hygiène du Bureau municipal de l’Hygiène, le Dr Allyre Razanakombana. Ledit code a été mis à jour comme l’explique notre interlocuteur pour se conformer à la réalité actuelle. Il souligne que le principal défi de la Commune sera de vulgariser le texte afin que les Tananariviens se l’approprient. « Les citoyens ne sont pas informés des règles qui régissent la commune. C’est cela le véritable problème. La prochaine étape pour la Commune consistera à communiquer à large échelle le code », explique-t-il. Pour aider dans cette mission de vulgarisation, la CUA a signé une convention de partenariat avec la Fondation Friedrich Ebert.
Changement de mentalité
Le code comporte plusieurs chapitres appelés à régir la vie de la population. D’après le Dr Allyre Razanakombana, les sanctions ne constituent pas le plus important. Il estime qu’il est du devoir de la Commune de mettre en place les mesures d’accompagnement nécessaires pour que les citoyens puissent se conformer au code. « La Commune y travaille ne serait-ce que pour la mise en place des toilettes publiques dans les fokontany », ajoute-t-il.
En préambule du code, le maire Naina Andriantsitohaina de souligner que le retour à l’ordre dans la capitale ne pourra pas se faire sans un changement de vision, de comportement et de mentalité de la part de la population. « Je fais appel à vous. Entraidons-nous pour défendre et faire respecter le CMH, et collaborons pour sa concrétisation », fait-il appel.
- Réouverture progressive des frontières régionales le 15 septembre.
- Déroulement du CEPE à Toamasina pour ce 15 Septembre.
- Préparation aux ’examens du BEPC pour le CISCO Antsiranana I : Arrivée des sujets d’examen sur place le 14 septembre.
- Région Boeny : Le quai à boutre de Soalala reconstruit.
Légende photo : La reprise du transport a créé des tensions entre les transporteurs et les responsables de la circulation.
- Fisokafan' ny faritra sasany amin’ny fifamoivoizana manomboka ny Talata 15 Septambra.
- Fizotran' ny fanadinana CEPE tao Toamasina tamin’ity Talata 15 Septambra ity.
- Fanomanana ny fanadinam-panjakà na BEPC any amin’ny CISCO ANTSIRANANA I : Tonga tany an-toerana ny 14 septambra teo ny laza adina.
- Faritra Boeny : Namboarina ny fitodian’ny BOTRY ao Soalala.
Le parc botanique et zoologique de Tsimbazaza fignole actuellement son programme de mettre un parc mobile à disposition du grand public. Cette initiative a pour objectif de permettre aux habitants des autres régions de la Grande Ile de découvrir les richesses naturelles que ce parc renferme. Il s’agit, entre autres, des différentes espèces endémiques issues de la faune et de la flore de Madagascar. La responsable de communication du parc Tsimbazaza, Gisèle Raveloarinoro, explique que les animaux choisis sont ceux qui sont capable de vivre en déplacement. Néanmoins, ils ne doivent pas rester en dehors du parc pendant plus de 10 jours.
Fantatrao ve fa afaka manantona anao ny valan-javaboahary amin’ny alalan’ny parc mobile ? Isan’ny mikarakara izany ny mpitantana ny valan-javaboahary ao Tsimbazaza. Tanjon’ity hetsika ity ny fampahafantarana ireo olona ivelan’Antananarivo ny harena voajanahary voatahiry ao Tsimbazaza. Amin’ny maha valan-javaboahary mitety vohitra azy dia fantenina tsara ireo biby izay mahazaka miaina ivelan’ny valan-javaboahary. Tsy azo atao mihoatra ny 10 andro kosa anefa no hijanon’ireo biby ivelan’izany.
- Examen de CEPE dans la région DIANA : des prix d’excellences attribués aux 3 premiers.
- L’association MaMiFa a distribué des dons pour les personnes vulnérables à Vakinankaratra.
- Contre l’installation du caisse unique, quelque groupe de transporteurs se sont mis au grève à Majunga.
- L’association Clair de Lune Madagascar se lance dans un appel aux donc pour aider des écoles difficultés.
- Fanadinana CEPE tany amin’ny faritra DIANA : mpianatra 3 no notolorana marim-pakasitrahana.
- Association MaMiFa : nanome fanampiana ho an’ireo sahirana tany amin’ny faritra Vakinankaratra.
- Rafitra Caisse unique : nitokona ny vondrona mpitatitra tany Mahajanga nanomboka tamin’ny herinandro lasa teo.
- Association Clair de Lune Madagascar : manao antso amin’ny fanampiana ho an’ ny sekoly sahirana.
• Réouverture des salles de sports : désinfection quotidienne et systématique des salles et du matériel.
• Le choix d’une filière universitaire doit être fait par les parents ou par les jeunes ?
• L’importance des études de terrains et des suivis pour pérenniser les actions de reboisement.
• Scène ouverte : Une manière de s’entraider entre artistes.
• Tendance de lecture des jeunes : La majorité a une préférence pour les romans.
• Covid-19 : Miverina ny tsy fanajana ireo fepetra fiarovana.
• Arakaraky ny toetran’ny ankizy no mampety na tsia an’ilay hoe kely taona nefa kilasy ambony.
• Fisolokiana pejy Facebook: Lasibatra ireo pejina olo-malaza sy ireo pejy be mpanaraka.
• Mbola baraingo ny fandraisana anjaran’ny Barea beach soccer @ Can 2020.
• Arôvy challenge: Fifaninanana dihy nentim-paharazana an-tambazotran-tserasera hanomezan-danja ny kolontsaina.
Il est de coutume lors de différentes festivités traditionnelles malgaches de sacrifier des animaux. C'est d'usage pour rendre hommage au Zanahary et aux ancêtres mais également pour demander leur bénédiction. Le mouton fait partie de ces animaux sacrificiels. Michel Rakotomalala, conservateur de la tradition nous dit en quoi cet animal est important dans la culture. Il va également nous expliquer le tabou du bouc dans certaines régions de l'île. Ce sera ensuite à Noelson Andriniaina, orateur membre du FIMPIMA Antsiranana, de nous présenter l'importance du zébu dans la culture malgache.
Tafiditra tanteraka anaty fomba sy kolontsaina malagasy ny mamono biby atao sorona rehefa misy lanonana ara-pomban-drazana atao. Mba hanomezana hasina ny zanahary sy ny razana izany ary ihany koa mba angatahana fitahiana avy any aminy. Isan'ny biby fanao sorona ny ondry. Hanazava ny momba izay i Rakotomalala Michel , mpandala ny fomban-drazana. Izy ihany koa no hitondra fanazavana mikasika ny antony maha fady ny osy any amin'ny faritra sasany eto Madagasikara. I Andriniaina Noelson, mpiakambana amin'ny FIMPIMA Antsiranana kosa no hamelabelatra ny toeran'ny omby eo amin'ny kolontsaina malagasy.
World Cleanup day 2020 : Troisième participation pour Madagascar.
Village des Tortues : Pour la conservation des Tortues à Madagascar.
Développement personnel : Important pour s’épanouir dans le monde du travail.
L’ancien capitaine Kiady Rabarijoelina se lance dans l’entrepreneuriat sportif.
Fivarotana gidro any amin’ny faritra Atsinanana : Minia mandika lalà na ireo olona mivarotra.
Manampy amin’ny fampandrosoana ny fisian’ny ala mando.
Valan-javaboahary mitety vohitra ho an’ireo olona any amin’ny faritra ivelan’ Antananarivo.
Ny maha zava-dehibe ny fanomezana fankasitrahana na famporisihina omena ny ankizy.
Krizy : Manavotra ireo mpitendry ny fampianarana mozika.