COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Rovasoa Andriamparany

Rovasoa Andriamparany

Le riz est l’aliment de base des malgaches. Ce féculent contient assez de glucides pour se transformer en sucre lent qui permet d’éviter l’hypoglycémie. Cependant, une grosse quantité de consommation de riz peut représenter un danger chez les diabétiques. Le docteur Chantal Rasoarimalala explique qu’il est préférable de manger du riz rouge. Le riz blanc augmente facilement le taux de glycémie par rapport au riz rouge. Il est nécessaire de connaître la bonne nutrition adaptée à notre organisme.

Foto-tsakafon’ny malagasy ny vary. Betsaka ny siramamy ao anatiny ka ilaina ny hifehezana ny fatrany ho an’ny diabétique. Milaza i Rasoarimalala Chantal, mpitsabo fa tsara kokoa ny mihinana vary noho ny vary fotsy. Aingana kokoa ny fiakaran’ny tahan’ny siramamy rehefa mihinana vary fotsy noho ny mihinana vary mena. Ilaina araka izany ny mamantatra ny fomba fisakafo sahaza ny vatana.

À ce jour, les études ne sont pas encore suffisamment avancées pour donner une vision claire. Cependant, selon deux études effectuées auprès de sujets ayant contracté une forme sévère de la covid-19, les anticorps peuvent rester jusqu'à 2 à 3 mois après guérison.
Par ailleurs, chez les malades asymptomatiques, ce taux chuterait rapidement au bout de 2 mois.
A noter que pour une simple grippe, les anticorps peuvent persister entre 12 et 34 mois.

Maharitra hafiriana no mijanona ao amin’ny vatan’olombelona ny hery fiarovana ?


Hatreto aloha, mbola tsy nisy fikarohana nanambara izany mazava. Nefa nisy fikarohana 2 nilaza fa ho an’ireo marary ahitana trangan’aretina manahirana, mijanona ao amin’ny vatany mandritra ny 2 hatramin’ny 3 volana aorian’ny nahasitranany ireo hery fiarovana.
Ho an’ireo marary tsy ahitana soritraretina kosa, miheny haingana ny tahan’ny hery fiarovana ao anatin’ny 2 volana.
Marihana fa mijanona ao amin’ny vatana mandritra ny 12 hatramin’ny 34 volana ny hery fiarovana raha ho an’ny gripa tsotra.

mercredi, 16 septembre 2020 11:45

Kozio ahy : Mpamaraky

« Mpamaraky » est un terme utilisé dans la région du Menabe, au sud-ouest de Madagascar. Cette appellation sert à désigner un jeune homme qui n’a pas froid aux yeux, qui ose prendre des risques et qui est plein d’énergie. Le mot « mpamaraky » a pour radical « paraky » ou tabac. Cela évoque la puissance, l’ardeur de réaliser des taches difficiles. Georges Fernand, membre du bureau de la Plateforme de Grand Sakalava de Madagascar (PGSM) nous donne plus de détails à ce propos.


Mpamaraky dia teny iombonana fampiasa amin’ny faritra Menabe. Ny tanora lahy mahavitrika, mahasakisaky no antsoina amin’io anarana io. Avy amin’ny fototeny hoe « paraky » ny mpamaraky, izay midika fangalana hery hoentina manantontosa asa mafy. Fernand Georges, mitantana ny fikambanana ny fiombonambe ny Sakalava eto Madagasikara no mitondra ny fanazavana.

Partager impulsivement des photos via les réseaux sociaux est devenu un mode de communication à part entière. Et lorsqu’il s’agit de publier celles de son « crush » sans son consentement, l’acte serait considéré comme illégal.

En effet, chez les jeunes, la tendance consiste à poster la photo de son coup de cœur à une époque. Cependant, poster des photos sans le consentement de la personne concernée est considéré comme une faute juridique, selon le docteur Ignace Ratsimbazafy, éducateur et enseignant-chercheur à l’université de Fianarantsoa..

Quid du droit à l'image ?

Le cadre juridique touchant l’image fait intervenir plusieurs règles juridiques : droit pénal, droit civil, droit de la propriété intellectuelle, car il est question de droit à l’image. « Normalement, il est interdit de publier la photo d’une personne sans son consentement, tout simplement par respect de l’individu. A moins que ce soit dans le contexte des sites de rencontre. Dans ces conditions, c'est permis. Mais sinon, c'est illégal. », explique le docteur Ignace Ratsimbazafy. Le fait de publier sans autorisation porte également atteinte à la vie privée de la personne et a son droit en matière de traitement de données à caractère personnel mentionné dans la loi N° 2014 –038 sur la protection des données à caractère personnel.

La vie privée relève de la santé, de la vie familiale et sentimentale, du domicile, du salaire, de la religion ou encore, des convictions politiques. Ainsi, toute personne reconnaissant sa voix, son image ou des informations d’ordre privé publiées sans autorisation sur internet pourra faire valoir ses droits et obtenir réparation du préjudice subi par des dommages et intérêts. La « victime » peut également demander simplement le retrait immédiat du contenu litigieux diffusé.

mardi, 15 septembre 2020 16:21

Les motos électriques, en vogue à Tana

Aujourd’hui, pour éviter les pertes de temps dans les embouteillages, les tananariviens privilégient les déplacements en deux roues. Mis à part les motos habituelles, les motos et vélos électriques commencent également à séduire.

Il faut entre 1 et 3 millions ariary aujourd’hui pour se procurer un vélo ou une moto électrique. Si les grands amateurs et surtout les passionnés de deux roues préfèrent les motos à moteurs mécaniques pour garder plus de sensations, les étudiants et même les bureaucrates préfèrent opter pour l’électrique. Ces types de véhicules offrent la possibilité de se faufiler dans les embouteillages et également de faire des économies sur le carburant.

Pour économiser sur le carburant

Selon Santatra, responsable commerciale auprès de CT Motors, les étudiants sont les plus attirés par les motos et les vélos électriques. « Les jeunes âgés entre 15 et 18 ans sont les plus intéressés par ces types de véhicules », indique-t-elle, ajoutant que cela s’explique par deux raisons, à savoir la possibilité de se faufiler dans les embouteillages et l’économie sur le carburant. Artistide, responsable auprès d’un magasin importateur et revendeur de moto électrique, le confirme. « Pour la plupart de nos clients, le choix de la motorisation électrique est surtout motivé par la recherche d’économie sur le prix du carburant », souligne-t-il.

En effet, selon Harindranto, qui a récemment acquis sa moto électrique, l’avantage est l’économie qu’il peut faire à long terme. « Avec l’ancienne moto roulant à l’essence que j’avais, il me fallait environ 25.000 ariary de budget par semaine pour le carburant, ce qui n’est plus nécessaire aujourd’hui », lance-t-il.

Pratique et facile à entretenir

« Les grands passionnés de motos n’affectionnent que peu celles avec une motorisation électrique », indique Artistide. Selon lui, les passionnés de motos ont toujours besoin de sensation quand ils roulent ou de traficoter leurs motos pour améliorer ou trouver plus de puissance. Selon ce responsable, c’est autant un avantage qu’un inconvénient pour ce qui est des motos électriques : elles n’ont pas besoin d’entretien spécifique et sont ainsi pratiques, mais cela n’intéresse pas les passionnés.

A noter que pour une moto électrique, la batterie est la pièce maîtresse qu’il faut surveiller. « C’est comme pour l’entretien de la batterie des Smartphones », explique Santatra, ajoutant qu’il faut savoir entretenir proprement la batterie ou la charger quand il le faut pour en assurer la durabilité. « Quoi qu’il en soit, les acheteurs sont aujourd’hui pointilleux quant au choix de la marque de moto ou de la marque de batterie », souligne-t-elle.  

mardi, 15 septembre 2020 16:03

Apprendre les bonnes manières aux enfants

Avoir un enfant qui se balade dans toute la salle lors d’un dîner au restaurant, qui tire la langue lorsqu’il est contrarié ou qui parle mal aux adultes, voilà un des pires cauchemars des parents. Mais comment apprendre les bonnes manières  aux tout-petits ? Nous en avons discuté avec Raoeliarijao, éducateur et Holitiana Rajaonarivony, psychologue.

 

Studio Sifaka : Comment expliquer le concept de « bonnes manières » aux enfants ?

Holitiana Rajaonarivony : Il faut faire comprendre aux enfants pourquoi c’est important de respecter les bonnes manières. Leur expliquer qu’être poli permet de se faire une place dans la société. Pas besoin d’un long discours. Des mots simples suffisent comme « si tu es poli tu auras des amis ». C’est aussi une manière de leur faire comprendre qu’ils ont des intérêts à respecter les bonnes manières.

Raoeliarijaona : Enseigner la politesse en donnant juste des ordres est une erreur. Il faut expliquer aux enfants que « la politesse est le chemin vers le cœur ». Que les bonnes manières leur permettront de se faire apprécier et accepter. Que plus tard, cela les aidera également à décrocher un boulot ou même à gagner la sympathie de sa future belle-famille. « Arahabarahabao ny mpandalo fa tsy fantatra izay ho rafozana »  dit un proverbe malgache, (Saluez les passants car on ne sait jamais qui sera nos beaux-parents)

S.S. : Y a-t-il un âge spécifique où il faut commencer à parler  des bonnes manières aux enfants ?

H.R. : C’est à partir de 5 ans que les enfants prennent conscience qu’ils vivent en société et qu’il y a une manière de se comporter. Les parents peuvent donc parler un peu plus des concepts autour de la politesse à leurs enfants à cet âge-là. Ceci dit, cela n’empêche pas d’initier les enfants aux bonnes manières dès leur plus jeune âge. Leur apprendre à dire les mots magiques par exemple : bonjour, merci, s’il te plaît, etc.

S.S : Quelles méthodes pouvons-nous alors adopter pour transmettre les bonnes manières aux enfants ?

H.R : La méthode la plus efficace c’est de donner l’exemple. Les enfants copient énormément ce que font les grandes personnes. Tous les adultes autour d’eux doivent donc mettre en application ce qu’on leur dit de faire à eux. Et ce, en toutes circonstances : dire bonjour à tout le monde, dire merci, toquer avant d’entrer même si c’est la chambre d’un enfant, etc.

  1. : Nous pouvons aussi enseigner les bonnes manières à travers des petites chansons, des récitations, des chorégraphies, etc. C’est bien connu qu’apprendre en s’amusant est plus efficace. Cela représente plus d’efforts et de créativité certes, mais le résultat est garanti.

Juger une personne en se fiant à son apparence est devenu une habitude pour beaucoup. C’est à travers une mise en garde face au jugement facile que l’expression « Aza atositosika ny ondry botry fa tsy hay izay anao kambana » prend son sens. De ce fait, réfléchissez-y à deux fois avant de rejeter une personne à cause de son handicap, de son physique ou de ses particularités. En effet, ces personnes pourraient vous étonner. On écoute les explications de l’orateur, enseignant et académicien, Ranoe.

« Aza atositosika ny ondry botry fa tsy hay izay anao kambana », ohabolana izay mbola manana ny toerany eo amin’ny fiarahamonina, fa inona marina no tena heviny ? I Ranoe, mpikabary, mampianatra sady akademisianina ihany koa, no itondra fanazava ho antsika.

De plus en plus de jeunes se lancent dans l’entrepreneuriat avec, au tout début de l’aventure, juste une idée, un objectif et une vision. Cependant, pour réussir dans ce domaine, il faut plus que cela. Le business plan est un « must have » pour tous ceux qui veulent entreprendre. Nos invités du jour, Mihary Rabearison, économiste analyste nous explique ce qu’est un business plan. Tahina Razafinjoelina, enseignant en entrepreneuriat et également entrepreneur, quant à lui, nous éclaire sur ce qu’est le business angel dans #ketrikasykandra.

Mihamaro ny tanora misehatra eo amin’ny fandraharahana ary niainga tamin’ny hevitra, sy nofinofy avokoa tany amboalohany. Rehefa miditra eo amin’ny sehatry ny asa anefa dia tsy ampy intsony ny fanana vina fotsiny fa ilaina ny fametrapetrahana ny zavatra rehetra an-tsoratra mialohan’ny anatanterahana azy. Ato anaty ketrika sy kandra anio no anazavana anao ny atao hoe « business plan » sy ny « business angel », i Rabearison Mihary mpahay toe-karena sady mpikaroka, maintimolalin’ny YALI, sy i Razafinjoelina Tahina, mampianatra eo amin’ny sehatry ny fandraharahana sady mpandraharaha ihany koa no vahinintsika ato anaty ketrika sy kandra

Depuis quelques années, les constructions illicites prennent le dessus dans la capitale, sans compter les constructions sauvages dans les bas quartiers de la ville. Aujourd’hui, la Commune Urbaine d’Antananarivo (CUA) entend lancer le pas pour corriger cela.

Conséquence directe de la surpopulation ou indice de pauvreté ? Dans tous les cas, c’est le signe d’une anarchie totale dans la ville des mille. À Antananarivo, on ne compte plus les constructions illicites, que ce soit des bâtiments d’habitations ou des locaux commerciaux. Selon le directeur de l’urbanisme auprès de la CUA, Niry Rasamoelimihamina, cela découle d’une part d’un problème de corruption, mais aussi du manque d’informations des habitants concernant les procédures légales.

Le manque d’informations incite à la corruption

Toujours selon Niry Rasamoelimihamina, la prolifération des constructions illicites est quelque part due au fait que les habitants manquent d’informations. En effet, pour certains, il est difficile de se repérer quant aux procédures et aux prérequis pour une demande de permis de construire par exemple. C’est le cas d’Olivier, habitant du quartier d’Ampandrana, qui a dû soumettre près de 6 fois sa demande de permis pour obtenir validation. « Il a encore fallu remplir plusieurs documents, puis attendre et compléter d’autres documents encore », explique-t-il.

« Normalement, la procédure pour l’obtention d’un permis de construire ne prend que 45 jours environ, lorsque le dossier du demandeur est complet », indique le responsable. Selon lui, c’est de là que viennent les problèmes de corruption, qui ont d’autant plus boosté la prolifération des constructions illicites. « On peut voir aujourd’hui des constructions qui ne suivent pas les normes ou sur des espaces qui ont d’autres utilités, à cause justement de ce problème de corruption », précise ce responsable.

Des solutions mises en place par la CUA

« La mise en place des solutions prend du temps et dans le cas de la lutte contre les constructions illicites, il y a notamment en 3 phases », indique Niry Rasamoeliomihamina. La première étape est l’information, notamment informer les habitants sur les procédures, les documents, les normes… Cela permet en même temps d’éviter les tentations de corruption. « Par ailleurs, nous prévoyons aussi de faire un renforcement de capacités de notre personnel, dans l’optique d’une part de réduire les délais », souligne ce responsable. Finalement, une fois ces prérequis mis en place, il deviendra possible de revenir dans la légalité et d’exiger cela des habitants.

Pour ce qui est des cases en bois, un projet de logements sociaux du Maire d’Antananarivo sera lancé cette année pour pouvoir solutionner ces constructions sauvages. En parallèle, des plans d’urbanisation pour les 190 fokontany au sein de la CUA seront élaborés pour identifier les espaces permettant de construire ces logements sociaux. Ce responsable a également souligné le fait que tout cela doit tenir compte de plusieurs aspects, dont le social. Pour cela, la commune travaille en partenariat avec les ministères et des bailleurs.

Pour marquer le 15 septembre, Journée internationale de la Démocratie, l’association Transparency International-Initiative Madagascar a organisé un débat autour du lancement d’alerte à Madagascar.  

La protection des lanceurs d’alerte a été parmi les sujets abordés durant la conférence-débat. L’hôte du jour, la secrétaire exécutive de la TI-IM, Ketakandriana Rafitoson a soulevé cette question en soulignant notamment l’inexistence d’une loi qui protège explicitement les lanceurs d’alerte à Madagascar. Indiquant que certains pays africains ont sauté le pas, elle affirme caresser ce rêve pour la Grande île. Le secrétaire général du ministère de la Justice, Herilaza Imbiky, admet qu’il serait bien d’avoir une telle loi. D’après lui, c’est possible. Il tempère toutefois que ce texte éventuel doit également présager des sanctions pour dissuader les « faux lanceurs d’alerte ».

Convictions sans faille

Dans ce sens, Emile Thomas Razafindremaka, membre de la société militant pour les droits de l’Homme et particulièrement actif dans les conflits d’ordre foncier dans la région d’Ihorombe en connaît un rayon, lui qui a connu la prison cette année. « J’ai été emprisonné car j’ai osé parler et que mes propos ont dérangé certains », lance-t-il, en soulignant que des gens ont jugé son incarcération injuste à l’image entre autres de la Plateforme nationale des organisations de la société civile.

Justement, l’activiste Mbolatiana Raveloarimisa parle du réseautage comme protection. « Il est important qu’un lanceur d’alerte pense à sa protection. Dans cette optique, le réseautage, notamment international, peut être utile», indique-t-elle, ne serait-ce que pour payer les frais d’avocats en cas de poursuite. Quoi qu’il en soit, elle souligne qu’un lanceur d’alerte doit garder ses convictions même devant les épreuves. Elle salue ainsi la pugnacité d’Emile Thomas Razafindremaka.

Pour sa part, le syndicaliste Christian Tomarielson estime qu’un lanceur d’alerte, notamment dans l’administration, se doit de respecter la hiérarchie. Il indique également qu’une structure légale comme un syndicat peut offrir une protection à un lanceur d’alerte. 

Mesurer les conséquences

Quoi qu’il en soit, les participants ont admis, chacun à leur manière, que les gens n’osent pas encore parler à Madagascar, de peur de représailles en tout genre. Même les journalistes dont informer est le métier ont les pieds et poings liés d’une certaine manière. Outre les difficultés à chercher des informations, signalés par Ketakandriana Rafitoson, la journaliste Lova Rabary évoque le parti-pris des organes de presse. Elle indique que les titres sur la place sont souvent liés d’une manière ou d’une autre à une tendance politique. « Si ce n’est pas le cas, ils appartiennent à des chefs d’entreprises qui ne sont pas à l’abri de représailles », précise-t-elle.

Représentant le ministère de la Communication, le directeur de la régulation des médias Fetraniaina Mamimbahoaka a, pour sa part invité les lanceurs d’alerte à se poser la question sur l’objectif de leurs actions. Il estime, par ailleurs, que les lanceurs d’alerte doivent réfléchir aux conséquences avant de se lancer en n’oubliant pas que leurs démarches doivent s’inscrire dans la logique d’aider les décideurs.

La photographie ne sert pas juste à immortaliser des moments. Au-delà de cela, elle constitue un des meilleurs moyens de partager et de promouvoir la culture et l'aspect culturel d'un pays. C'est dans ce domaine qu'œuvre le photographe culturel international, Denis Rion, qui travaille de temps en temps à Madagascar. Il va nous expliquer son parcours et son intérêt pour la culture de l’île. Nous allons aussi connaître la structure Igers Madagascar avec son président fondateur Geoffrey Gaspard.

Anisan'ny ahafahana mizara sy mampahafantatra kolontsaina anan'ny firenena iray ny sary. Milona ao anatin'io tontolo iray io indrindra ny vahinintsika anio izay tsy iza fa i Denis Rion mpaka sary matihanina mitety izao tontolo izao. Miasa matetika eto Madagasikara izy. Izy no hanazava amintsika ny kolontsaina malagasy tena nahasarika azy teto. Fa hisy vahiny hafa koa isika dia i Geoffrey Gaspard, filoha mpanorina ny Igers Madagascar.

De puissants anticorps contre le coronavirus ont été identifiés, de quoi s'agit-il ?
Des chercheurs américains ont identifié 61 anticorps différents qui semblent être en mesure de neutraliser le coronavirus. 9 d'entre eux ont démontré une très forte puissance face au virus.
Un de ces 9 anticorps a complètement protégé les poumons de hamsters d'une infection par le coronavirus.
Les chercheurs ont confirmé pouvoir produire en grandes quantités et administrer cet anticorps aux patients infectés, notamment au tout début de l'infection, particulièrement chez les patients présentant un grand risque de forme grave de la maladie.
Selon un chercheur américain, ces anticorps pourraient être substitués à un vaccin à titre protecteur.

Maro ireo hery fiarovana maherivaika miady amin'ny coronavirus no fantatra. Inona avy ary izy ireo ?
Manampahaizana amerikana no nahita hery fiarovana miisa 61 izay mahavoafehy ny coronavirus. Sivy amin'ireo no hita fa meherivaika manoloana ny tsimokaretina.
Ny 1 amin'ireo 9 ireo no tsikaritra fa niharo tanteraka ny avokavoka bitrovoalavo iray voan'ny coronavirus.

Nanamarina ireo mpikaroka fa afaka mamokatra maro amin'io hery fiarovana io ary manome izany ho an'ireo marary amin'ny fiandohan'ny aretina, indrindra fa ireo tena marefo.
Araka ny voalazana mpikaroka amerikana iray, azo anoloana vaksiny ireo hery fiarovana ireo, hatao fiarovana ihany.

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