Parmi les symptômes du Covid long, il y aussi le brouillard mental. En gros, il devient difficile pour une personne de réfléchir et de se concentrer. Parfois, elle peut oublier certains prénoms ou certains mots qu’elle connait très bien. Une docteure clinicienne à l’université de Harvard a constaté qu’environ 30% des patients déjà guéris présentent toujours ce symptôme. Une étude en ligne effectuée par des experts allemands suggère que le brouillard mental peut persister jusqu’à six mois, voire plus. Et aussi qu’elle peut survenir à toute personne infectée par la COVID, peu importe la gravité de la maladie. Les médecins misent plutôt sur l’importance d’avoir un bon sommeil, de pratiquer des activités variées et d’arrêter l’alcool.
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COVID maharitra : inona no atao hoe fikorontanana ara-tsaina ?
Ao anatin’ny soritr’aretin’ny Covid maharitra  ihany koa ny fikorontanana ara-tsaina. Amin’ny ankapobeny, lasa sarotra ho an’ilay olona voa ny mieritreritra sy mifantoka amin’ny zavatra ataony. Indraindray aza mety manadino anaran’olona izy na teny iray izay efa fantany tsara nefa. Nisy mpitsabo saina iray izay any amin’ny oniversiten’i Harvard nahatsikaritra fa 30% n’ireo olona efa sitrana dia mbola ahitana an’io soritr’aretina io avokoa. Nisy fikarohana nataona manampahaizana alemana milaza fa mety haharitra hatramin’ny enim-bolana izany fikorontanana ara-tsaina izay, na mahery aza. Mety hahavoa ny olona rehetra tratran’ny COVID izy ity, na hatraiza na hatraiza ny fahasarotan’ny aretina. Ny fananana torimaso tsara ihany aloha no atoron’ireo mpitsabo, manandrana zavatra vaovao ary manajanona ny fisotroana alikaola.
Mis en place depuis septembre, le centre permet à des jeunes issus des quartiers vulnérables d’Antananarivo ville, d’acquérir des expériences professionnelles et d’utiliser divers matériels pour effectuer leurs travaux personnels. Les principaux bénéficiaires du centre sont aujourd’hui les jeunes ambassadeurs de la paix ou JAP mais le centre reste ouvert à tous les jeunes qui ont en besoin. Financé par le PBF (Peace Building Fund) , le centre a été mis en place par l’ONG SAF/FJKM, les associations Mira Aina et DRV (Dinika sy Rindra ho an’ny Vehivavy). Erico Randriamalala, responsable auprès du centre nous explique l’intérêt des jeunes à fréquenter le centre et son fonctionnement.
Manome fahafahana ho an’ireo tanora sahirana ara-pivelomana eto Antananarivo renivohitra, hampiasa fitaovana mba hanatsara ny asany ny ivo-toerana I-Tafa amin’ny fampindramana fitaovana azy ireo. Misy solosaina, efitra fanaovana fiofanana, milina fanjairana ary fitaovan-dakozia maro isan-karazany. Ireo tanora masoivohin’ny filaminana na JAP no mahazo tombony voalohany amin’ity ivo-toerana ity saingy afaka misitraka izany avokoa ireo tanora rehetra. Niarahan’ny ONG SAF/FJKM, fikambanana Mira Aina sy DRV na Dinika sy Rindra ho an’ny Vehivavy ny fametrahana ity ivo-toerana ity ary novatsian’ny Peace Building Fund vola. Hanazava mikasika ny tanjon’ny ivo-toerana sy ny fomba fiasan’izany I Erico Randriamalala, tompon’andraikitra ao an-toerana.
Selon la loi 2014-020, le conseil municipal a pour rôle de délibérer sur les décisions importantes concernant la gestion de la ville : le budget et le compte administratif, l’organigramme de la commune, les emprunts, la fixation des taux des prélèvements et des taxes spécifiques divers, etc. Toute action que l’exécutif devra réaliser se doit d’être décidée au niveau du conseil municipal. Celui-ci procède à une session ordinaire chaque mois, d’une durée ne dépassant pas 3 jours, et de deux sessions extra ordinaires dans l’année. Le maire lui-même peut convoquer une réunion, ou le préfet ou encore la majorité des conseillers municipaux.
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Voafaritra ao anatin’ny lalà na 2014-020 ireo sokajina fanapahan-kevitra izay tsy maintsy tapahana ao anivon’ny filan-kevitry ny tanà na. Isan’izany ohatra ny tetibolan’ny kaominina, ny fanovana ny firafitry ny kaominina, ny findramambola ataon’ny kaominina, ny famerana ireo taha samihafa amin’ny hetra-trano, sns. Mivory indray isam-bolana izy ireo, ary mahazo manampy fivoriana tsy ara-potoana roa ao anatin’ny taona iray. Ny ben’ny tanana, na ny préfét na koa ireo mpanolontsiann’ny kaominina dia afaka mampiantso fivoriana tsy ara-potoana avokoa rehefa mitombina ny antony hanaovana izany.
Le président sortant Emmanuel Macron affrontera comme il y a cinq ans Marine Le Pen. Il n’a fallu attendre que quelques heures après la fermeture des bureaux de vote pour avoir ces résultats quand à Madagascar, il a fallu attendre trois semaines en 2018.
Si la comparaison ne peut se faire entre la gestion électorale française et malgache, difficile de ne pas faire le parallèle dans la célérité du dépouillement des votes. Quelques heures après la fermeture des bureaux de votes, les Français ont su qui s’affronteront au second tour. Inimaginable à Madagascar pour l’heure. « Plus c’est court, mieux c’est », indique toutefois le membre de la Commission électorale nationale indépendante Ando Andriamalazaray à propos de la durée du traitement des résultats. « C’est l’une des ambitions de la CENI de raccourcir cette durée car plus c’est long, plus il y a des risques de suspicions », ajoute-t-il.
Hélicoptère
A cause du mauvais état des routes, les informations de certains centres éloignés peuvent mettre plusieurs jours pour arriver entre les mains de la commission électorale. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, des hélicoptères ont été mobilisés en 2018. Malgré cela, il a fallu attendre le 28 novembre pour avoir les résultats du scrutin du 7 novembre. On se souvient que tout au long du processus du dépouillement, la CENI s’est fait attaquer de toutes parts par les états-majors des candidats.
Le deuxième tour de l’élection présidentielle française se déroulera le 24 avril entre le président sortant Emmanuel Macron et le leader du Rassemblement national Marine Le Pen.
Tolotra Andrianalizah
Le stress est un mal encore méconnu mais que beaucoup de Malgaches subissent au quotidien. L’incertitude autour de la hausse des prix ajoute à ce stress omniprésent. Il est important de s’accorder un break d’après une psychologue. Les jardins constituent une alternative.
Le traintrain de la vie urbaine est une source de stress à Antananarivo. « Je comprends pourquoi les gens de Tanà n’ont jamais le temps, lance une habitante de Toamasina qui vit dans la capitale depuis quelques mois. Le rythme est vraiment soutenu ». L’ouverture du jardin d’Ambohijatovo rappelle l’intérêt de trouver du temps pour soi. En effet, le contraste par rapport aux embouteillages juste à côté est saisissant lorsqu’on s’engage dans la place qui vient d’être rouverte au public, les weekends dans un premier temps. En s’enfonçant un peu plus dans cet écrin de verdure, le bruit de la circulation laisse progressivement place à des gazouillis d’oiseaux et même au murmure d’un ruisseau. On se laisse facilement transporter par le calme que dégage l’endroit.
Emotions négatives
D’après la psychologue Stacy Rakotondrazanany, se rendre dans ce genre d’endroit aide dans la gestion de stress. « Les espaces non contraignant qui ne rappellent pas l’activité de travail sont utiles pour se ressourcer. L’idéal est de partir un peu de la ville mais les jardins et les parcs constituent une alternative pour ceux qui n’ont pas les moyens de le faire », indique-t-elle. D’après elle, l’idée est de sortir des environnements qui créent des émotions négatives.
Tolotra Andrianalizah
