COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Andrea Razafi

Andrea Razafi

Les masques en tissu sont beaucoup plus utilisés que les masques chirurgicaux jetables, surtout par les habitants de la capitale. Bien qu’ils soient réutilisables, il est nécessaire de savoir à quel moment il faut les remplacer définitivement.

Le docteur Manitra Rakotoarivony, directeur de la Promotion de la Santé auprès du ministère de la Santé publique, souligne que c’est à chacun de voir à quel moment son masque est usé : « On ne peut pas décréter précisément à partir de quel moment un masque ne doit plus être utilisé. Cela dépend de la fréquence de lavage. Plus on le lave, plus le tissu s’abimera et l’élastique lâchera ». D’ailleurs, il recommande de ne pas frotter trop fort le masque en tissu pendant son lavage : « Il suffit juste de le laisser dans de l’eau savonneuse et de le laver doucement pour éviter de l’endommager rapidement. »

Comment s’en débarrasser ?

Comme pour les masques chirurgicaux, le mieux est toujours de brûler ceux en tissu, une fois qu’ils sont usés. « Si toutefois cela n’est pas faisable, on peut les jeter. Mais il faut d’abord bien les laver et les couper avant de les jeter, pour éviter au maximum la transmission du virus », précise le docteur Manitra Rakotoarivony.

Il est aussi conseillé d’avoir au moins deux masques en tissu par personne et de le laver directement après son utilisation. En tissu ou chirurgical, il ne faut pas oublier pas d’en changer toutes les 3 ou 4 heures.

Qu’est-ce que la malbouffe ? Il s’agit du régime alimentaire basé sur de la nourriture contenant trop de matières grasses, de sucres et de calories et n’apportant aucun élément nutritif essentiel. La surconsommation de ce type d’aliments entraîne des maladies comme l’obésité.



Inona ny atao hoe : malbouffe na haninkanimpoana ? Ireo karazana sakafo matavy loatra, be siramamy sy kaloria loatra. Tsy  ampy ny otrikaina entin’ireny karazana sakafo ireny ary miteraka aretina toy ny hatavezana ny fihinanana azy be loatra.

La crise sanitaire engendrée par la pandémie de coronavirus affecte énormément l’économie du pays. Selon l’économiste et coordonnateur national du Cercle de Réflexion des Economistes de Madagascar (Crem), seuls ceux qui sont positifs doivent se confiner. Ceux qui sont en bonne santé doivent continuer à travailler, afin de faire tourner la machine économique.

Selon le membre du mouvement Komba, Nantenaina Rakotonirina, l’Etat devrait distribuer du CVO en tisane dans chaque foyer, car non seulement elle peut prévenir le coronavirus, mais également guérir.



Mibaby olana lehibe mihitsy ny toe-karena amin’izao fotoana izao, noho ny krizy ara-pahasalamana hateraky ny covid19. Raha ny fahitan’ny mpahay toe-karena sady mpandrindra nasionalin’ny faribolan’ny mpahay toe-karena eto Madagasikara (Crem), Ramarofeno Andrianantenaina, dia tokony izay mararin’ny coronavirus ihany no mihiboka. Ireo izay salama kosa, hoy izy, dia tokony manohy ny asa ahafahana mampiodina hatrany ny teo-karena.

Raha ny fahitan-dRakotonirina Nantenaina, mpikambana ao amin’ny hetsika Komba azy kosa, dia tokony zaraina isan-tokantrano ny CVO izay afaka miaro amin’ny valanaretina ciovid19, no afaka manasitana ihany koa.

mardi, 21 juillet 2020 11:27

Journal du 21 juillet 2020

Les vols de rapatriement doivent tous obtenir des autorisations spéciales, informe l’ACM.

PerfectStranger aide à retrouver des amis de longue date.

L’auto-survie des entreprises de productions publicitaires.

Vaccin contre la covid-19 : la production serait limitée.



Mbola matahotra ny ho voan’ny coronavirus ve ny olona sitrana ?

Mère Veilleuse Madagascar », tanora manampy ireo zaza kamboty amin’izao vanimpotoanan’ny coronavirus izao.

Jimmy Ranitratsilo, anisan’ny tanora mpitarika mendrika eto Afrika.

Makeup : mety miteraka fiankinan-doha ho an’ny tovovavy.

La plupart des jeunes actifs sur les réseaux sociaux ne font pas attention à la confidentialité de leurs données personnelles (nom, adresse, photos, contacts, goûts et préférences etc.). Leurs publications sont souvent accessibles au grand public. Pourtant, le nombre de cas d’usurpation d’identité et d’utilisation de photos sans autorisation se multiplient via les réseaux sociaux. Que peut-on faire pour se  protéger ? Rindra Loic Rabemananjara, spécialiste des Technologies de l'Information et de la Communication pour le Développement (ICT4D) nous donne quelques conseils.

 

1 - Faire attention à son identité numérique

Il s’agit de l’image qu’internet a de qui nous sommes, l’ensemble des données à notre propos disponibles sur la toile. Pour vérifier son identité numérique, il suffit de taper son nom sur un moteur de recherche comme Google par exemple. Donc, faire attention à son identité numérique signifie choisir minutieusement ce que nous publions à notre sujet. Ne pas partager trop de détails sur notre vie privée par exemple. S’il faut vraiment entrer des données personnelles sur une quelconque plateforme numérique, il faut veiller à ce que ce soit le strict minimum.

 

2 - Changer régulièrement son mot de passe

Plus de la moitié des personnes ayant accès à internet s’inspirent de leurs données personnelles pour créer leur mot de passe. Une partie de leur nom, leur date de naissance ou celle de leurs proches, etc. Cette pratique facilite pourtant la tâche pour les pirates cybernétiques. Il faut que le mot de passe n’ait aucun rapport avec nos données personnelles. Et il faudrait également le changer régulièrement.

 

3- Configurer les paramètres de confidentialité

Partager quelque chose sur les réseaux sociaux équivaut à discuter avec des actifs. Tout comme nous ne racontons pas les mêmes choses aux mêmes interlocuteurs, chaque publication devrait avoir un public cible. Pour le cas de Facebook par exemple, il y a huit options de confidentialité pour les publications. Ce qui signifie qu’il est tout à fait possible de choisir qui peut voir et avoir accès à nos posts. Il suffit de prendre le temps de personnaliser avant de publier.

 

4- Arrêter d’appuyer systématiquement sur « autoriser » ou « suivant » au cours de l’installation d’une application

Quand nous installons des applications sur nos gadgets électroniques, il y a souvent des demandes d’accès à nos données personnelles : galerie photo, contacts, caméra ou même micro. Avant d’autoriser cela, il faudrait d’abord se poser une question : est-ce que cette application a réellement besoin d’avoir accès à ces données pour pouvoir fonctionner ? Il est fréquent que les applications demandent l’accès à plus de données que nécessaire. En effet, la vente de données personnelles à des opérateurs commerciaux est très courante en ce moment. Cela aide les entreprises à peaufiner leurs stratégies de marketing. Pareil pour les conditions de service des applications. Nous avons la mauvaise habitude d’accepter sans vraiment les lire. Désormais, il faut faire l’effort d’y jeter un coup d’œil pour notre propre sécurité.

vendredi, 03 juillet 2020 14:59

Musique : Retour en force de Bolo

On l’a surtout connu en tant que présentateur du journal chanté « Clash info », mais Mirindra Randrianarisoa alias Bolo, a toujours eu une bonne plume et la musique dans la peau. Ayant débuté dans des groupes comme Red Matahari ou Anatii, il a ensuite intégré le collectif Basy Gasy. En marge de tout cela, il a sorti plusieurs sons en solo comme « Sipa manidina » ou « Anao ny anao ». Clash info s’est ensuite présenté comme une opportunité pour démontrer au plus grand nombre ce qu’il vaut. Après cette expérience, il estime avoir réuni toutes les conditions nécessaires pour faire de la musique dans le minimum des normes requises. Il répond à nos questions dans ces quelques lignes.

 

« Pas avec des clichés comme « je t’aime »

ou

« Je te hais » mais en abordant poétiquement le sexe. »

 

On sent encore plus de maturité dans vos deux derniers morceaux, quelle en est la raison ?

Je voudrais mettre en place un standard dans le monde de l’art à Madagascar. J’aurais pu choisir un endroit sympa pour faire le clip et chanter tout simplement. Mais je ne veux pas que les gens s’habituent à la médiocrité. J’aimerais mettre en avant des produits sur lesquelles on a intensément bossé, investi du temps et de l’argent.         

Quelles thématiques évoquez-vous dans vos chansons actuellement ?

Avec Doudou, je parle d’amour à ma manière. Pas avec des clichés comme « je t’aime » ou « je te hais » mais en abordant poétiquement le sexe. On oublie souvent que cela fait partie de l’amour. J’estime nécessaire de briser ce tabou puisque c’est cela qui pousse les jeunes à avoir des relations en cachette et c’est ce qui favorise les grossesses non désirées.

« Masoalina », par contre, parle d’environnement, d'insécurité et d’obscurité. Quand le soleil se couche ou quand l’électricité est coupée, vous ne voyez plus rien, tel un aveugle. Quand quelqu’un veut vous faire du mal, il y a du « Masoalina », de l’obscurité dans son esprit.

Dans la chanson principale de mon prochain album, j’essaie aussi d’orienter les jeunes. Je leur dis qu’il est possible de réussir sans forcément suivre la voie de nos aînés (devenir docteur ou magistrat). Il suffit de conjuguer ce qu’on aime avec notre identité. Nous ne pouvons pas revenir à nos traditions, mais nous pouvons évoluer avec, en rejetant ce qui est mauvais et en gardant ce qui est bien.

Comment est-ce que vous créez vos chansons ? D’où vient votre inspiration ?

Pour résumé, avant on prenait un instrumental, on choisissait un thème et on écrivait. Mais j’ai trouvé une petite technique pour raconter une belle histoire. D’abord, on écrit une petite histoire sur un papier pour raconter la journée par exemple. Puis, sur une autre feuille, on essaye de structurer la chanson en faisant des rimes avec ce qu’on a pris note. J’ai trouvé cela chez Clash info. Puisque les articles étaient déjà écrits par les journalistes, il me suffisait de construire les rimes.

Par contre, je n’ai pas utilisé cette technique avec Doudou et Masoalina. L’inspiration m’est juste tombée du ciel. J’ai entendu des mélodies dans ma tête, le texte a suivi. Il n’y a pas de secret ou de magie. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut s’exercer tout le temps. Même si l’inspiration ne vient pas, on prend une feuille et on essaie d’écrire.

Quels sont vos projets maintenant après la sortie de Masoalina ?

Déjà, il y a mon prochain titre qui s’intitulera « Te ho anao » dont vous avez sûrement déjà entendu les extraits qu’on a mis au début et à la fin de la chanson « Doudou ». A part cela, on a déjà hâte de sortir la chanson principale de l’album. Je pense que tout le monde s’y reconnaitra. Le titre est déjà connu mais je vais garder le suspens. Je vais juste donner un indice : il s’agit d’un nom d’aliment.

La lèpre existe bel et bien à Madagascar. Environ 1.700 nouveaux cas sont confirmés chaque année sur la Grande Ile, mais ce chiffre pourrait encore s’élever si on réalise plus de dépistages.

La lèpre est une maladie infectieuse. Les premiers symptômes sont des tâches pigmentées et insensibles sur la peau. Elle est transmissible, essentiellement par voie aérienne, au même titre que la grippe et la tuberculose. Selon la fondation Raoul Follereau, la lèpre se soigne par une association d’antibiotiques qu’on appelle la polychimiothérapie. Le traitement dure six à douze mois, cependant, elle peut entraîner des handicaps. C’est une des raisons pour laquelle la société stigmatise les lépreux.

Stigmatisation

D’abord, la société a peur de la contagion mais cette exclusion est surtout due à plusieurs clichés. « La société malgache a toujours vu d’un mauvais œil la lèpre, considérant que quelqu’un a jeté un mauvais sort aux lépreux et que cela déshonore toute la famille. D’autres pensent que les lépreux ont fait un sacrilège ou que c’était héréditaire», explique Louis Zo Rabearison, sociologue et anthropologue. De ce fait, les lépreux n’ont pas le droit d’être enterrés dans le caveau familial. Selon ce chercheur, on devrait renforcer les campagnes de sensibilisation dans les zones reculées et travailler davantage sur la prise en charge des malades.

Prise en charge sociale

Les régions côtières sont plus touchées que les hauts-plateaux. Plusieurs associations travaillent actuellement dans lutte contre la lèpre à Madagascar, avec le Programme National de la Lutte contre la Lèpre du Ministère de la Santé Publique. Pour la fondation Raoul Follereau, les stratégies s’orientent plus vers le dépistage actif. « Nous savons que c’est un sous-dépistage majeur…On s’aperçoit que, dans certaines zones, dès l’instant où on va chercher les malades, on peut parfois trouver 20 fois plus de cas que ceux qu’on teste, si on attend que les malades viennent se dépister », souligne Bertrand Cauchoix, conseiller médical et représentant de la Fondation Raoul Follereau à Madagascar. Ainsi, le plus important, c’est l’approche de la population et la favorisation de la prise en charge sociale.

Les abonnés ne décolèrent pas devant les anomalies dans leurs factures. La Jirama a mis en place un dispositif pour permettre de régler les problèmes au cas par cas. La direction a également annoncé le retour de l’envoi d’une facture par mois.

Devant les critiques des usagers, le conseil d’administration a tenu une session extraordinaire pour demander des comptes à la direction et donner des instructions. C’est dans ce sens que des résolutions ont été prises afin de régler les problèmes et de ne pas léser davantage les abonnés en cette période difficile, selon les mots du Président du conseil d’administration de la Jirama, Solo Andriamanampisoa. Ainsi, chacune des six agences de la capitale verra l’apparition d’un kiosque spécial pour recueillir et prendre en charge directement les doléances des abonnés. Ces six kiosques s’ajouteront à l’accueil dédié, déjà en fonctionnement à Antanimena, depuis quelques semaines.

Droit à l’information

Quant au directeur général Vonjy Andriamanga, il a précisé que les cas seront traités sur place par un responsable. Cela vaut pour les anomalies dont la responsabilité incombe à la Jirama. Il a aussi été décidé que les abonnés dont les factures ont été plus élevées que la moyenne pourront échelonner le paiement sur six mois.

Vonjy Andriamanga indique également que la facturation est revenue à la normale avec une seule facture par mois et que les abonnés auront désormais jusqu’à la fin du mois pour payer. Il rappelle toutefois que les clients peuvent toujours différer le règlement des factures. Ainsi, la Jirama s’engage à ne couper ni l’électricité, ni l’eau pour impayés. 

Le représentant des consommateurs au sein du conseil d’administration, Lita Rabetsara, invite les abonnés à faire valoir leur droit à l’information auprès de ces kiosques en cas de doutes.

vendredi, 03 juillet 2020 13:15

Testé positif mais rester optimiste

Témoignage : «… j'étais en contact avec des gens qui ont présenté quelques symptômes de grippe ordinaires »

« Le coronavirus se soigne et j’en suis une preuve ». L’auteur de cette phrase a fait l’objet de test PCR avec l’ensemble de son département après qu’un de ses collaborateurs a présenté des symptômes d’état grippal. Ses résultats ont montré qu’il était porteur de la covid-19. Il continue actuellement le traitement à domicile et reste optimiste quant à son état de santé. Il nous a accordé cette interview, mais pour des raisons de sécurité et afin de lui éviter toute forme de stigmatisation, il témoigne sous anonymat.

Quand vous avez reçu les résultats du test, comment avez-vous pris la nouvelle ?

Nous avons reçu nos résultats une semaine après le test. J'étais un peu choqué mais quand même rassuré qu'on en guérissait, je voulais rester positif.

Est-ce que vous avez une idée d’où et comment vous avez contracté le virus ?

Je ne sais pas trop... mais ce qui est sûr, j'étais en contact avec des gens qui ont présenté quelques symptômes de grippe ordinaires.

Pourquoi avez-vous choisi de vous faire soigner à domicile ?

Cela me semblait faisable et plus adéquat puisque j'étais encore apte et en forme pour poursuivre le traitement tout en respectant les mesures de confinement à domicile. En cas d'état critique, je pouvais appeler les services de prise en charge censés me prendre directement chez moi si besoin.

Comment évolue votre état de santé jusqu’ici ?

Je me porte bien. Je ressens encore un peu de fatigue mais je vais bien dans l'ensemble grâce au traitement. Apparemment, le fait d'avoir déjà pris le CVO en préventif a beaucoup aidé pour mon cas. Je le prends en curatif actuellement avec d’autres médicaments et du « Evoka » (inhalation). Je vais de mieux en mieux.

Est-ce que vous vivez avec des personnes qui sont encore « négatives » ?

Oui et on convient bien de toujours respecter les règles sanitaires systématiques, les gestes barrières, et les désinfections régulières. Je me confine dans ma chambre, je n'en sors que pour faire mes besoins et ma toilette et pour manger. Je mange après les autres, je fais ma vaisselle (qu'on a déjà mis à part), pareil pour la brosse à dents que je dois garder avec moi, on fait laver mon linge à part. Les lieux communs sont désinfectés régulièrement. On a vraiment redoublé de vigilance cette fois.

Est-ce que les autorités sanitaires suivent de près votre état de santé ?

On va dire qu’ils y travaillent. En tout cas, je les encourage à continuer à sauver des vies malgré les difficultés…

vendredi, 03 juillet 2020 11:35

Journal du 3 juillet 2020

Ministère de la Sécurité Publique : Les visas sont figés !

Masques en tissus : les jeunes préfèrent les couleurs unies.

Comment expliquer les problèmes de connexion à l’heure de la 4G, 5G ?

Que sont devenus les projets lauréats du concours Hackoragnavirus ?



Mihena isa ny olona manatrika fivoriana samihafa noho ny coronavirus ao Antsirabe.

Fanentanana hitily ny Covid-19 : Tafita ve ny hafatra ?

Bus 38, zotram-pitateram-bahoaka vaovao ao Fianarantsoa mampitohy an'Andrainjato sy Anjoma .

Habokana : Ny fitiliana ihany no hahafahana mitsabo azy ara-potoana.

Oui ! Il est fortement recommandé de désinfecter vos lunettes, au moins deux fois par jour.

En effet, si vous portez régulièrement des lunettes de vue ou même des lunettes de soleil, il vous arrive sans doute de les toucher avec vos mains pour les ajuster.

En effet, Les lunettes posées sur votre nez sont au niveau des gouttelettes respiratoires que pourrait expulser une personne qui tousse ou éternue à moins d'un mètre de vous. Vos lunettes sont donc en première ligne !



Isan'ny fitaovana mety hahazoana ny coronavirus ve ny solomaso?

Eny, ilaina ny manadio ny solomasonao farafahakeliny indroa isan'andro.

Rehefa manao solomaso ianao dia manana fahazarana mikitika izany amin'ny tananao mba hametrahana azy tsara amin'ny toerany.

Ny solomasonao, toy ny orona sy ny vava dia mety hipitihan'ny roran'ny olona mikohaka na mihevona, indrindra fa rehefa akaiky loatra anao ilay olona. Isan'ny mora voan'ny coronavirus noho izany ny solomaso.

 

Raymond Rakotoarisoa a hérité du savoir-faire de ses parents dans la préparation du Koba, le gâteau typiquement malgache. Ses koba sont très demandés, ce sont les fameux « koba Faravohitra ».  Pour lui, c'est un métier qui paie bien car cela peut lui rapporter 50.000 Ar par jour. 



Iza no tsy mahalala izany « Koba Faravohitra » izany raha mbola eto Antananarivo.  Nandova ny fahaiza-manaon'ny ray aman-dreniny i Raymond Rakotoarisoa tamin'ny fanamboarana azy. Mahavelona tokoa ity asa  ity raha hoan'i Raymond manokana satria mitentina 50.000 Ar eo ny tombom-barotra azony anatin'ny iray andro.

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