Oui ! Si vous avez les cheveux longs ou mi-longs, attachez-les, ou faites-vous un chignon ou une queue de cheval. Si vous avez une frange vous pourriez souvent être amené à remettre vos mèches en place... Oui vos cheveux comme votre visage sont à hauteur des postillons, les fameuses gouttelettes qui transmettent le virus lorsqu'une personne tousse ou éternue à moins d'un mètre de vous !
Si vous êtes en lien avec des personnes susceptibles d'être contaminées par le coronavirus, portez un bonnet par exemple !
Cela explique aussi pourquoi les infirmières doivent porter des bonnets protecteurs ou des charlottes sur la tête !
Mety hahazo ny coronavirus amin'ny alalan'ny volonao ve ianao ?
Eny! Raha lava ny volonao dia tsara kokoa afatotra, atao doko tokana na "chignon" na ihany koa "queue de cheval".
Eny tokoa, ny volo, toy ny tarehy dia mety ho voan'ny piti-drora, izay mety mitondra ny tsimokaretina coronavirus, indrindra rehefa tsy voahaja ny iray metatra nefa mihevina na mikohaka ny olona eo akaikinao.
Raha mifandray amin'ny olona mety tratran'ny coronavirus ianao dia manaova satroka.
Izay no isan'ny antony tsy maintsy anaovan'ireo mpitsabo fehiloha na sarondoha ho fiarovana ny volony.
Le Président de la République, Andry Rajoelina, a annoncé officiellement le lancement des essais cliniques du troisième protocole de traitement de la covid-19.
Le Village Voara à Andohatapenaka sera le théâtre des essais cliniques du troisième protocole de traitement de la Covid-19, appelé à être généralisé à Madagascar. Il s’agit de l’artesunate, un dérivé de l’artémisinine, combiné à de la vitamine C à forte dose comme l’a rappelé le chercheur mauricien Dhanjay Jhurry de l’université de Maurice dans une visioconférence durant l’inauguration du site baptisé Centre Médical Covid-19 (CMC).
Un protocole aux normes internationales
Enregistré au Pan African Clinical Trials Registry (PACTR), cet essai clinique adopte un protocole qui suit les normes internationales. L’Etat malgache est le promoteur de l’essai clinique en collaboration avec une clinique privée américaine basée à Mesa en Arizona, spécialisée dans les traitements alternatifs du cancer où l’artesunate est très utilisé. « Madagascar est propulsé dans la cour des grands. C'est grandiose pour un pays du sud de lancer un essai clinique », a lancé Dhanjay Jhurry qui salue une coopération régionale et internationale. Il se dit confiant quant au succès des essais avec les propriétés antivirale et anti-inflammatoire de l’artésunate associées à la vitamine C.
Démarche volontaire des patients
Participer à l’essai clinique est une démarche volontaire des patients. Toutefois, les personnes éligibles doivent répondre à des critères biologiques et cliniques précises. D’après les explications, il faudra attendre entre 12 à 24 heures pour savoir si l’on peut participer ou non au protocole. Le traitement s’étale sur 7 jours et il faut ajouter à cela 3 semaines de suivi. Les premiers résultats devraient remonter au bout de 15 jours. Toutes les analyses nécessaires aux essais cliniques seront effectuées uniquement à l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA). Si les essais sont concluants, une nouvelle option thérapeutique sera disponible.
Nouvelle structure née dans le cadre de la lutte contre la covid-19, le Centre médical Covid-19 au Village Voara Andohatapenaka a accueilli, depuis ce matin, les premières personnes qui souhaitent se faire tester.
« J’ai présenté certains symptômes donc j’ai décidé de venir au Village Voara », souligne une jeune fille de 16 ans alors qu’elle attendait son tour au niveau de la salle de tri du Centre médical Covid-19 (CMC). A quelques mètres d’elle, un homme dans la quarantaine affirme avoir des manifestations grippales depuis quelques jours. « C’est pour cela que je suis venu ici. Pour être sûr ». Ces deux personnes figurent parmi les premières à vouloir se faire tester au Covid-19, une démarche entièrement volontaire. Comme eux, ils sont plus d’une vingtaine à attendre d’être reçus par le personnel de tri avant une consultation.
Des résultats en 72 heures
La consultation est nécessaire dans la mesure où seuls ceux qui présentent des signes feront l’objet de prélèvement. Par ailleurs, les résultats des tests devraient être communiqués en moins de 72 heures a assuré le Président de la République, Andry Rajoelina, qui a fait le déplacement pour l’inauguration du centre de prélèvement. Le CMC est ouvert 24/7.
Conformément à la nouvelle approche annoncée par le Premier Ministre, Christian Ntsay, dimanche, les personnes testées positives mais qui ne présentent pas de forme grave pourront se faire soigner et se mettre en quarantaine chez elles. Seuls les plus mal en point seront orientés vers les hôpitaux qui prennent en charge la covid-19. A noter que les personnes positives au virus se verront proposer la participation à l’essai clinique du troisième protocole mis en place à Madagascar pour soigner la covid-19. Il s’agit de de la combinaison d’Artesunate IV et de la Vitamine C.
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Alors que le nombre de cas graves a sensiblement augmenté ces dernières semaines, la question sur la prise en charge est plus que jamais d’actualité avec au centre la disponibilité des respirateurs.
Le Secrétaire général du Ministère de la Santé Gaetan Duval a fait savoir que Madagascar compte actuellement quelque 80 respirateurs artificiels sans compter ceux dans les cliniques privés. Il a fait savoir que les derniers respirateurs qui sont arrivés vont être répartis dans les différentes régions de Madagascar. "Pas plus tard qu’hier, nous avons envoyé deux respirateurs de réanimation avec des concentrateurs d’oxygène à Antsirabe. Aujourd’hui, on en a envoyé à Fenoarivo. Demain, un camion du ministère partira pour la région Melaky", a indiqué le Secrétaire général.
Il a par ailleurs fait savoir qu’un cas grave ne nécessite pas forcément l’utilisation d’un respirateur. "C’est au médecin soignant de décider si un malade a besoin de l’assistance d’un respirateur ou pas", a-t-il ajouté. Cela vaut pour les personnes qui présentent des difficultés respiratoires. D’après ses explications, cela dépend surtout du taux d’oxygène dans le sang. "C’est lorsque ce taux est vraiment très bas qu’on a recours au respirateur", a-t-il résumé.
Le Masonjoany est utilisé par la plupart des femmes dans le Nord à des fins cosmétiques pour se protéger des rayons ultraviolets et éliminer en même temps les taches. Il sert aussi à éclaircir la peau. Les jeunes femmes l'appliquent surtout pour ses vertus de beauté mais aussi en guise de maquillage :  elles dessinent des fleurs sur leurs visages avec. En parlant du Nord, Diégo est une ville très connue pour le passage du varatraza, le vent qui a un effet desséchant et décapant sur l'épiderme. Cette situation est plus critique pour les femmes amatrices de produits chimiques d'origine corticoïdes pour éclaircir la peau.
Ny Masonjoany sy fiantraikan'ny varatraza amin'ny hoditra
Ampiasain'ny vehivavy aty avaratra ho fiarovana ny tarehy tsy ho simban'ny hain'andro ny masonjoany. Ampiasany hanalana ireo panda sy tasy ihany koa ary anadiovana tarehy mihitsy. Maro amin'ny tovovavy aty avaratra mampiasa azy io ho fanaingoana tarehy. Izany hoe anaovany kisarisary amin'ny alalan'ny Masonjoany ny tarehy. Efa niresaka aty avaratra ihany isika, anisan'ny ahafantarana an'i Diego ny varatraza. Rivotra somary mafimafy izy io ary misy fiantraikany amin'ny hoditra. Miteraka aretin-koditra raha tsy mitandrina fa indridra ireo vehivavy manosotra produit chimique entina hanadiovana tarehy.
Chaque année, environ 4.500 étudiants malgaches quittent Madagascar pour étudier à l’étranger. Plus de 60% d’entre eux rejoignent la France. D’autres vont au Maroc, au Canada, aux Etats-Unis, en Allemagne ou à l’Ile Maurice, comme le cas de Tsanta Rakotoarimanga, 21 ans et Christophin Rakotomalala, 24 ans. De retour au pays, en décembre 2019, les deux amis ont décidé de créer une agence de placement universitaire afin d’aider les jeunes malgaches dans leurs projets d’étudier à l’étranger. Interview avec Tsanta Rakotoarimanga.
Qu’est-ce qui vous a amenés à créer Dream Study Agency ?
L’idée nous est venue quand nous étions encore à l’Ile Maurice. Nous sommes surtout partis de notre expérience personnelle. Nous avons vraiment galéré dans les démarches et les préparatifs de notre départ à l’étranger. Et même une fois là -bas, ce n’était pas du tout facile de s’adapter. Nous aurions aimé avoir quelqu’un qui nous dise que faire, où aller et à qui parler. Et c’est maintenant ce qu’on souhaite apporter à la jeunesse malgache.
D’après vous, est-ce que les jeunes malgaches connaissent ou s’intéressent aux services des agences de placement universitaire ?
Je n’ai pas de chiffre exact mais si je prends l’exemple de l’Ile Maurice, je dirais que près de la moitié des étudiants malgaches sont passés par une agence de placement pour atteindre leurs buts respectifs.
On dit que cela coute cher d’étudier à l’extérieur. Comment pensez-vous aider les jeunes malgaches à dépasser ce blocage financier ?
Effectivement, le coût financier est sûrement le premier frein pour beaucoup d’entre nous, moi-même y compris, à l’époque. Pour mon cas, j’ai dû enchaîner les petits boulots, sacrifier mes soirées et mes week-ends pour travailler afin de gagner de l’argent. Toutefois, il faut savoir que les coûts varient d’une université à l’autre, d’un pays à l’autre. A l’Ile Maurice par exemple, les frais de scolarité des universités publiques sont largement accessibles. Un étudiant à Madagascar débourse à peu près la même somme en une année dans une université privée. Pour dire qu’il n’y a pas de grande différence. En plus, il y a la possibilité de bénéficier d’une bourse jusqu’à 50%, selon les cas.
Qu’est-ce que vous proposez de plus par rapport aux autres agences de placement qui existent déjà au pays ?
Pour le moment, nous proposons deux destinations uniquement : l’Ile Maurice et le Rwanda. Le fait est que nous connaissons le parcours étant donné que nous sommes déjà passés par là . Nous souhaitons capitaliser notre expérience, faire en sorte que les autres ne commettent pas les mêmes erreurs que nous.
Notre service est assez complet : conseils et orientations, procédures d’admission, assistance à la demande de visa, recherche d’hébergement, organisation voyage et des conseils psychologiques. Nous avons également des représentants là -bas qui prendront le relais, une fois que l’étudiant débarquera à l’aéroport. Il sera accompagné pendant une semaine le temps de s’habituer à sa nouvelle vie. C’est également un moyen de rassurer les parents qui sont restés ici.
Enfin, nous travaillons actuellement sur une plateforme en ligne qui s’appelle Mapwess. Il s’agit d’un outil pour faciliter l’envoi et l’accueil d’étudiants malgaches à l’étranger, à commencer par l’Ile Maurice.
Andrianirainy Diamondra Sandra est une jeune femme de 26 ans. Elle a commencé à créer son petit business, au tout début du confinement, en faisant de la broderie sur des Converse. Selon elle, rentabiliser sa passion donne plus de détermination et de motivation pour travailler encore plus dur.
Nanomboka ketrika kely iray i Andrianirainy Diamondra Sandra nandritra iny fihibohana iny : manaingo kiraro amin’ny alalan’ny petakofehy. Nampifandraisiny tao anatin’izany ny fitiavany manaingo sy ny fandraharahana.
La valeur du marché des huiles essentielles ne cesse de croître dans le monde et à Madagascar, selon l’Economic Development Board of Madagascar (EDBM). La consommation locale a surtout explosé depuis le début de l’épidémie de coronavirus. Quels sont les produits les plus prisés par les Malgaches ? Nous avons questionné plusieurs producteurs et commerçants d’huiles essentielles pour en savoir un peu plus.
Les huiles essentielles sont issues d’un concentré de principes actifs aromatiques de plantes. Actuellement, les consommateurs en achètent surtout pour leurs propriétés antivirale, antimicrobienne et antifatigue. Toutefois, elles ont aussi chacune leur spécificité.
Le Ravintsara
Toutes les personnes questionnées ont cité le Ravintsara en premier lieu. Une réponse assez évidente puisque nous sommes en hiver. En effet, l’huile essentielle de Ravintsara est utilisée pour prévenir la grippe, le rhume et la toux. Elle peut être inhalée ou appliquée sur la peau, mais dans ce deuxième cas, il faut la mélanger avec d’autres huiles végétales. « En général, les huiles essentielles sont pures et peuvent donc être dangereuses pour la peau. C’est pour cela qu’il faut les mélanger avec de l’huile d’olive par exemple, ou tout simplement les remplacer par des baumes », explique la fondatrice de Ain’ala, Haritiana Andrianasolo.
L’Eucalyptus globulus
Aussi appelée Kininim-potsy en malgache, cette plante est très utilisée à Madagascar. C’est un antiseptique naturel. Elle est aussi reconnue pour agir sur les infections respiratoires et serait même efficace contre le paludisme.
Le Niaouli
L’huile essentielle de Niaouli possède aussi de nombreuses vertus. Elle régule notamment la circulation du sang et le système nerveux. Utilisée pour lutter contre les problèmes respiratoires tels que la sinusite ou la bronchite, selon Tojo Razafindrakoto de chez Natural oils, c’est la seule qui peut être utilisée pour faire des massages.
Utilisation d’un diffuseur
Les Malgaches ont l’habitude de mettre quelques gouttes d’huile essentielle dans de l’eau bouillante avant de l’inhaler. Mais actuellement, il existe différents types de diffuseurs. Ceux en terre cuite ou en métal ont besoin de bougie pour brûler l’huile. En bonus, ils font aussi office de décoration d’intérieure. Pour les diffuseurs électriques, il suffit d’y verser un peu d’eau, ajouter quelques gouttes d’huile essentielle et de brancher la prise.
Les huiles essentielles sont réputées n’avoir aucun effet secondaire. Pourtant, les médecins recommandent aux femmes enceintes ou allaitantes, aux personnes allergiques et aux enfants de moins de 2 ans de ne pas en utiliser.
Opération hygiène dans le centre-ville.
Etudier à l’étranger : un rêve de plus en plus accessible aux jeunes malgaches.
Le sound system : la base du reggae.
Rafibaiko hanampiana ireo mpianatra kilasy famaranana hanomanana ny fanadinanana Bakalorea.
Ady amin’ny coronavirus manoloana ny fifindrana trano.
Fitantanam-bolan'ny CNAPS: Misy ny rafitra iray najoro hisahana ny fitsirihana anatiny.
Le Vakodrazana est un genre de musique traditionnelle qui se combine avec la danse typiquement malgache comme le dihy soroka et le latsi-tanana. Beaucoup d’artistes lancent cette pratique dans de nombreux endroits à Madagascar pour peindre la réalité.
Vakodrazana dia mozika malagasy miresaka ny zavamisy iainana andavanandro ary ravahan’ny dihy sy ny fitafy miavaka na ho an’ny lahy na ho an’ny vavy.