La communauté LGBT (Lesbienne Gay Bisexuel Transgenre) est souvent la cible de propos haineux sur les réseaux sociaux malgaches. Un jeune homme gay de 33 ans (qui a gardé l’anonymat) livre ses impressions. Il a fait son « coming out » auprès de ses amis à 15 ans et de sa famille, à 18 ans. Interview.
« Certains homos se font lyncher parce qu'ils se comportent mal »
Comment a évolué la tolérance au niveau de la société malgache ?
En fait, j'ai toujours eu de la chance d'avoir, dans mon entourage, des personnes ouvertes d'esprit. Après, il m’appartient de choisir qui sera ou pas dans mon entourage. Sinon, globalement oui, les gens semblent être plus open.
Et sur les réseaux sociaux ?
Sur les réseaux sociaux, il reste des crétins qui sont là juste pour lancer des insultes homophobes gratuites pour faire les intéressants. D’un côté, plusieurs hétéros commencent à en avoir marre des gays qui n'arrêtent pas de se plaindre et qui jouent les éternelles victimes ! Certains homos se font lyncher parce qu'ils se comportent mal et puis après ils disent être victimes d'homophobie. Du coup, quand ce sont des hétéros qui les critiquent, ils sont injustement taxés d'homophobes.
Il y a quand même beaucoup de commentaires homophobes sur Facebook. Qualifierez-vous la Facebookosphère malgache d’homophobe ?
Non. Pas à 100 %. Ce qui est cool, c'est que de plus en plus d'hétéros acceptent la réalité et défendent même la tolérance vis-à -vis des autres. Mais dans le monde virtuel de Facebook, tout le monde émet des critiques. Par contre, dans la vie réelle, peut-être que ces homophobes ne le sont pas tant que cela. Personnellement, j'en connais qui ne le sont pas du tout.
D'après vous, le phénomène Zatia Rocher sert-il la communauté ?
Je n’ai pas grand-chose à dire à part qu’elle est justement marrante. Je pense que, lorsqu’on parle d’homosexualité, il ne faut pas de référence au risque de déverser dans certains clichés.
Une personne de la communauté doit-elle être automatiquement militante ?
Non. Personnellement, je ne le suis pas parce que je préfère juste vivre ma vie tranquillement sans vouloir toujours pointer du doigt telle ou telle personne qui n'est pas de même avis que moi.
Ce qui m’énerve aussi dans le militantisme, ici à Mada, en tout cas, c'est qu'il y a même une forme d'hétérophobie au final. Genre, certains organisent des soirées en mentionnant, tout particulièrement, « spéciales LGBT ». Est-ce que les hétéros font des « soirées spéciales hétéros ? » Cette forme d’exclusion et d’inclusion me sidère.
La première partie de l'émission est consacrée à la définition et la perception du « scream » en tant que technique vocale dans la musique metal. Dans la deuxième partie, on parle du « death metal » qui est le sous-genre de musique le plus extrême du heavy metal. Il est caractérisé par une musique brutale, agressive et difficile à jouer. Comme son nom l'indique, le death metal se focalise généralement sur le sujet de la mort que ce soit avant, pendant ou après la vie. Puis, il peut y avoir des discussions concernant le monde spirituel. Par contre, d'autres sujets sont toujours les bienvenus pour ce genre musical. Patrick Raobelina, un jeune chanteur de death metal est l'invité du jour.
Hovoaboasana eto am-piandohan'ny fandaharana ny famaritana sy ny fanehoan-kevitry ny olona manodidina ny hoe « scream » izay fomba fihira amin'ny mozika metaly. Horesahina ao amin' ny tapany faharoan'ny fandaharana kosa ny «death metal» izay zanaka gadon-kira isan' ny tena mavesatra ao anatin' ny gadona « heavy metal ». Mampiavaka azy ny karazana mozika mahery vaika sy masiaka kanefa sarotra tendrena. Amin' ny ankapobeny, ny « death metal » dia miresaka ny fiainana mialoha, mandritra na aorian' ny fahafatesana. Mety hisy firesahana ny tontolo ara-panahy ihany koa. Na izany aza, malalaka be ny lohahevitra azo resahina ao anatin' io gadona io. Vahinin' ny fandaharana i Patrick Raobelina, tanora mpiangaly ny death metal.
Le corps humain perd 1,5 à 2l d'eau par jour. Ce système lui permet d'évacuer les déchets organiques, minéraux et chimiques dont il n'a plus besoin. Du jaune clair, pour les sujets sains, au marron, pour les paludéens, la couleur et l’odeur de notre urine en disent long sur notre état de santé. Les personnes atteintes de maladies plus graves telles que la bilharziose, ou les calculs rénaux voient leur urine accompagnée de sang. Ces types de maladies peuvent affecter tout âge et tout sexe confondu. Pour le cas de la bilharziose, les zones rouges se composent d'Antananarivo, Fianarantsoa et le sud de Madagascar.
Rano 1 litatra sy tapany haramin'ny 2 litatra isan'andro eo no very amin'ny vatan'olombelona salama iray mandritra ny fipipizana. Miovaova ny lokon'ny pipy mavo matsatso raha salama ary tonga hatrany amin'ny volontany kosa raha marary. Misy ihany koa ny hoe mipipy rà ; ireo marary voan'ny bilariziozy na misy vato na misy maratra ny any anaty no mampiseho ity tranga ity izay sady tsy mifidy taona na sokajin’olona. Ny olona mipetraka amin'ireto toerana ireto - Antananarivo, Fianarantsoa ary ny any atsimon'ny nosy – araka ny voalazan’ny mpitsabo, no tena mora tratran’ny bilarziozy.
Le réseau a été ouvert au grand public depuis le 26 juin. Cela fait de la Grande île le premier pays africain à bénéficier de cette nouvelle génération de connectivité mobile, déclaration faite par un opérateur mobile à Madagascar. Celle-ci a étonné plus d’un et entraîne un lot de questions.
Effectivement, la 5G promet, entre autres, un débit 10 fois supérieur à celui de la 4G, soit au-delà de 10 Gbit/s. La latence est aussi divisée par 10, c’est-à -dire le délai entre l’envoi d’une donnée et sa réception. Donc, une grande accélération des transferts de données. A part cela, il y aura une plus grande capacité à gérer un grand nombre d’appareils connectés simultanément.
La 5G promet de nouvelles expériences aux utilisateurs. Les mobinautes ne pourront pas exemple téléverser ou télécharger n’importe quel contenu en très haute définition. Elle favorisera également le développement d’applications de réalité virtuelle ou augmentée. Cette technologie permettra aussi de révolutionner l’industrie ou encore le domaine de la santé grâce à l’automatisation des machines.
Besoin d’équipements compatibles
Il y a pourtant un hic. La question qui se pose actuellement, c’est « est-ce que les équipements destinés aux utilisateurs sont déjà disponibles au pays. Les équipements télécoms sont déjà là , mais sans utilisateurs, on ne peut pas tester cette technologie », explique Mbola Ranaivoarimanana de chez Internet Society Madagascar Chapter (Isoc). En effet, la 5G nécessite l’utilisation de nouveaux équipements plus compatibles, de nouvelles générations de smartphones, des ordinateurs plus performants mais aussi de véhicules et autres objets connectés. L’expérience serait moins fabuleuse sur un smartphone 4G, pourtant connecté à la même antenne et utilisant la même fréquence.
Ce responsable au sein d’Isoc Madagascar pense également que l’arrivée de la 5G pourrait juste être un effet d’annonce comme pour la 4G, qui n’a toujours pas fait ses preuves à Madagascar. Selon lui, le manque de concurrence et de transparence dans le pays nuit au développement d’internet. « Si on parle de la fibre optique, il y a des opérateurs qui ne peuvent pas l’utiliser. Il en est de même pour ce réseau 5G. Les règles du jeu ne sont pas claires, donc il n’y a que ceux qui connaissent et possèdent cette technologie qui l’utilisent », dénonce-t-il.
Pour que l’usage d’internet soit bénéfique pour le pays, les organismes et associations doivent faire des sensibilisations sur ses enjeux socio-économiques. L’Etat et les opérateurs doivent aussi faire des efforts pour rendre les tarifs plus abordables aux internautes malgaches. En partie à cause du prix élevé de la connexion, Madagascar enregistre aujourd’hui un taux de pénétration de 14%.
Les travailleurs font partie des personnes les plus exposées à la covid-19. En cas de suspicion, des mesures strictes doivent être prises par l’employeur pour protéger la santé de son personnel.
Au mois de juin, quatre personnes d'une entreprise privée à Tananarive ont été testées positives à la covid-19. « Cela a commencé à la fin du mois de mai. Un employé de notre entreprise a été testé positif. Après cela, on a testé vingt employés du même département. Durant l’attente des résultats, on a isolé ces vingt sujets dans une salle à part entière. Deux cas ont été confirmés, 15 jours après », raconte la responsable des ressources humaines de l’entreprise. En même temps, un autre employé a fait un test en dehors de l’entreprise, le résultat s’est avéré positif.
Les quatre personnes sont confinées actuellement. La lenteur des démarches de prise en charge se trouve être la principale difficulté pour l’entreprise, selon ce responsable. « Nous avons dû nous-même amené la personne symptomatique auprès d’un docteur privé. En parallèle, nous avons contacté le ministère de la Santé Publique pour connaître toutes les procédures »,  souligne-t-elle.Â
Test et décontamination
Selon le Professeur Zely Randriamanantany, Directeur général de la Fourniture des Soins, au sein du Ministère de la Santé Publique, si une personne présente les symptômes de la covid-19 au sein d’une entreprise, les employeurs peuvent désormais envoyer le cas suspect au Centre médical Covid-19 au Village Voara à Andohatapenaka pour passer le test. Ils devront, en même temps, signaler le directeur de la Veille Sanitaire et de la Surveillance Epidémiologique du ministère. Cette équipe procèdera à la décontamination de l’enceinte de l’entreprise et fera également des investigations sur les lieux. Les prises de décisions se feront en fonction des résultats d’évaluation de risque. « Il faut savoir que les décisions prises récemment sont en application, seules les personnes symptomatiques feront l’objet de test. Ceux qui sont portent de légers symptômes seront confinés et traités chez eux »,  conclut le professeur.
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En partenariat avec le Studio Sifaka, le programme de soutien à la société civile malgache, Fanainga, a organisé hier un débat sur les formes de violence dans les ménages ou dans la société en général, durant cette période de crise sanitaire. Même constat que dans le reste du monde à Madagascar, la violence a augmenté depuis le début du confinement.
Le taux de violences ménagères a toujours été élevé à Antananarivo, selon Sitraka Nantenaina, membre de C-for-C. Cela inclut la violence conjugale et celle faite aux enfants. Le confinement a davantage aggravé cette situation. L’ONG a effectué des enquêtes auprès de plusieurs fokontany de Tananarive. Elle a, par exemple, constaté qu’à Andohatapenaka, ce taux de violence ménagère est monté à 80% en avril dernier, contre 30% en 2019.
« La majorité des Tananariviens travaillent dans l’informel. N’ayant plus de revenu, ils sont envahis par le stress et deviennent plus violents. Ce n’est pas pour justifier ces comportements, c’est juste un constat », explique Sariaka Nantenaina. La Secrétaire exécutif de l’Réseau Tihava, le Dr Nicole Noro Ramananirina, est du même avis. Elle ajoute que « les chômeurs sont en situation de faiblesse. Par conséquent, ceux qui travaillent démontrent par la violence que ce sont eux qui dirigent à la maison. »
« Tokantrano fihafihana, tokantrano tsy ahahaka »
Généralement, les victimes à Madagascar ne dénoncent pas. Le Dr Nicole Ramananirina pense que c’est une question de culture. Les femmes malgaches sont habituées à se taire et pensent qu’elles sont, en partie, responsables des violences qu’elles subissent. On manque également de structure de prise en charge et les femmes n’ont pas confiance en la justice.
De son côté, Sariaka Nantenaina avance que le fokontany est plus proche et plus accessible aux Malgaches dans ce genre de situation. Les victimes n’osent pas aller au-delà de cette structure. Il leur est difficile de porter plainte à l’encontre de leur conjoint. C’est aussi une question de dépendance, puisque ce sont souvent les hommes qui travaillent. Par peur de ne plus avoir de source de revenu, les femmes n’osent donc pas porter plainte.
Conscientiser les victimes et les auteurs de violence
Les violences, qu’elles soient physiques, verbales ou économiques, rabaissent les victimes et ont un impact sur leur comportement. Elles vont se créer elles-mêmes des barrières qui les empêchent de s’épanouir. En réponse à ce problème, le Réseau Tihava écoute d’abord les victimes. Puis, il va vulgariser les lois en vigueur concernant les violences. « La connaissance de la loi réduit la peur et augmente la confiance et l’estime de soi. Après cela, les victimes osent enfin prendre un certificat médical chez le médecin et porter plainte à la police », affirme le Dr Nicole Ramananirina.
Mais les lois ont leurs limites. « La loi sur le mariage protège par exemple les couples passés par le mariage civil. Alors qu’ici, beaucoup n’en sont qu’au Vodiondry », regrette Sitraka Nantenaina. Il faut donc plus de sensibilisations à l’endroit des victimes mais aussi des auteurs de violences. C’est d’ailleurs ce que fait l’ONG C-for-C. Elle écoute les auteurs de violences, des hommes pour la plupart, et les prennent en main pour qu’ils puissent prendre conscience et entamer le changement de comportement.
Le nombre de personnes infectées au coronavirus ne cesse d’augmenter à Madagascar. Ces derniers temps, pas moins de 60 nouveaux cas par jour sont enregistrés. Les hôpitaux commencent à être surpeuplés. Ils passent désormais au triage des malades. Seuls les sujets avec des formes plus ou moins graves sont hospitalisés. Le reste peut recevoir son traitement à domicile.
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« Avoir un malade du coronavirus à la maison ne devrait pas changer complètement la vie de la famille », explique le Dr Manitra Rakotoarivony. « Le plus dur, c’est de trouver un endroit à lui consacrer. L’idéal serait d’avoir une chambre à lui ou à elle. Si ce n’est pas possible, il faut lui délimiter un espace. L’important c’est respecter la distanciation ».
Par contre, il faut faire preuve de rigueur en termes de propreté. Toute personne qui entre dans l’espace du malade doit se laver les mains avant d’entrer et dès la sortie. Pas besoin de séparer les couverts du malade et du reste de la famille. Mais il faut toujours bien les laver avec du savon. Quant aux vêtements du malade, il faut les laisser tremper dans de l’eau savonneuse pendant plusieurs minutes avant de les laver. « Les malades du coronavirus qui restent chez eux ne doivent pas être marginalisés ou maltraités », selon le Dr Manitra. Ceci dit, ils ont la responsabilité de limiter au maximum les contacts avec d’autres personnes et ne devraient sortir sous aucun prétexte.
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Faisabilité
Selon le sociologue Lanto Ratsida, le traitement à domicile des malades du coronavirus n’est pas une bonne option. Le mode de vie de la majorité des Malgaches n’est pas compatible avec cette solution. Une famille compte en moyenne quatre ou cinq personnes et vit dans une maison d’environ 5 m². Logistiquement, il est impossible de garder la distance quand chacun n’a pas plus de 1 m² pour vivre. Si une personne est contaminée, il est presque sûr que le reste de la famille va très vite contracter le virus.
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Par ailleurs, il est aussi difficile de ne pas entrer en contact avec d’autres personnes. Les toilettes par exemple se trouvent souvent à l’extérieur et sont communes à plusieurs familles. La plupart des Malgaches n’ont également pas d’eau chez eux. Ils doivent faire la queue auprès des pompes publiques. Beaucoup n’ont pas non plus de frigo, ils doivent sortir régulièrement pour acheter de quoi manger. Lanto Ratsida explique qu’il faudrait trouver un meilleur moyen d’isoler les malades, même si cela ne doit pas forcément dire les interner à l’hôpital.
La capacité du système de santé à gérer l’afflux de malades a été l’une des raisons pour lesquelles l’OMS a prédit une hécatombe en Afrique à l’annonce des premiers cas sur le contient. L’explosion du nombre des cas au mois de juin met Madagascar au-devant de ce défi, en particulier, à Antananarivo, nouvel épicentre de l’épidémie.
Les témoignages de personnes refoulées des hôpitaux ont émaillé la Facebookosphère ces derniers jours. Le Secrétaire Général du cabinet du Ministère de la Santé, Gaetan Duval a tempéré en indiquant que les hôpitaux ne refusent pas les malades mais essaient de gérer selon l’état des patients. C’est la raison pour laquelle le gouvernement a adopté une nouvelle approche dans la gestion de la maladie en favorisant le maintien à domicile pour les personnes infectées mais qui ne présentent pas de symptômes. Â
Lits supplémentaires
C’est le sens même de la mise en place du centre médical Covid-19 au Village Voara. L’idée est de vérifier les facteurs de risques qui pourraient nécessiter une surveillance rapprochée des patients. C’est sur cette base que les décisions d’hospitalisation en établissement de santé sera prise, a-t-on indiqué, lors de l’inauguration du centre.
Toujours pour alléger les hôpitaux, le directeur de cabinet a fait savoir que les critères de guérison de l’OMS sont actuellement appliqués pour permettre de renvoyer les patients chez eux. « Ces critères sont le fruit de récentes recherches qui ont été menées », a-t-il précisé. « Cela permet de libérer des espaces afin de pouvoir prendre en charge ceux qui en ont vraiment besoin ». Il a, par ailleurs, ajouté que les hôpitaux autour de la capitale sont mis à disposition pour accueillir les malades comme c’est le cas à Fenoarivo, Ambohimangakely, Anosy Avaratra et Bongatsara. « Mais encore une fois, cela dépend de l’état des patients ».
La locution « rovi-damba ririnina, mosarem-pahavaratra» se traduit littéralement par des vêtements déchirés en hiver et la famine durant l’été. Cette expression s’utilise souvent pour parler d’une profonde pauvreté qu’il s’agisse de problèmes financiers ou de manque de moyens… Comme nous le savons, en hiver, les personnes vulnérables doivent se préparer à affronter le froid en termes de vivres. De même, pour l’été afin d’éviter une crise alimentaire.Â
Ny hoe «rovi-damba ririnina, mosarem-pahavaratra» dia fomba fiteny, entina hilazana fahantrana sy fahasahiranana lalina : mety ho olana ara-bola izany na koa tsy fahampiana fitaovana... Iaraha-mahalala fa mangatsiaka foana ny andro rehefa ririninina, noho izany, mila manana akanjo mafana ny vatana. Toy izay ihany koa rehefa vanim-potoanan'ny fahavaratra, tokony hanangona sakafo hiatrehana ny fahavaratra ireo olona marefo, mba hisorohana ny hanoanana.
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Nous avons la fâcheuse tendance de jeter les capsules de jus et de café nespresso. Mais l'entreprise Green Tocco à Tuléar les réutilise pour en faire des bijoux : collier, boucles d'oreilles ... Ce système de recyclage contribue à la préservation de l'environnement à part le fait d'être source de revenu. Rasoambahiny Lovasoa, le responsable de cette activité, nous partage son métier dans l'émission Ketrika sy Kandra.
Matetika isika manary ireny sarona tavoahangy avy nampiasaina ireny na koa ireny kapsily avy nisy kafe nespresso ireny. Ny orinasa Green Tocco any Toliara anefa mamadika ny kapsily ho lasa firavaka indray : rojo, kavina ... Miaro ny tontolo iainana ny zavatra ataony no sady miteraka fidiram-bola ihany koa. RASOAMBAHINY Lovasoa, izay tompon'andraikitra avy ao amin' io orinasa io no hiaraka amintsika ato anatin' ny Ketrika sy Kandra.
Le cadavre d'une personne morte d'une maladie respiratoire aiguë comme la covid-19 peut toujours abriter des virus vivants dans ses poumons et dans d'autres organes.
Il est important que les proches du défunt s'assurent que le corps soit préparé par un professionnel formé et très protégé avant l'enterrement ou l'incinération.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, tant que les précautions nécessaires sont prises, il n'y a aucune raison de craindre que la covid-19 se propage via les corps des personnes décédées. À ce jour, rien ne prouve que des cadavres transmettent la maladie aux vivants, selon l'Organisation panaméricaine de la santé et l'OMS.
Si dans certains pays les funérailles ont été interdites, c'est uniquement à cause des règles de distanciation sociale qui pourraient ne pas être respectées.
Afaka mamindra coronavirus ve ny vatan'ny olona efa maty vokatr'ity aretina ity ?
Ny vatan'ny olona matin'ny aretin'ny taovam-pisefoana, toy ny covid-19 dia mbola afaka mitahiry otrikaretina velona any amin'ny havokavony na amin'ireo taova hafa.
Zava-dehibe ny fandraisana an-tanana ataon'ny olona voatokana ho amin'izany ilay razana mialohan'ny fandevenana na fandorana, fa tsy hataon'ny fianakaviana.
Milaza ny OMS fa raha voahaja ny fepetra ilaina, dia tsy hatahorana fa hiparitaka amin'ny hafa ny otrikaretina ao anaty vatana mangatsika matin'ny Covid-19. Hatramin'izao dia tsy misy porofo ahafahana milaza fa mamindra ny aretina ho an'ny velona ny faty, hoy ny Organisation panaméricaine de la santé sy ny OMS.
Raha voarara ny fandevenana any amin'ny firenena sasany, dia mba hisorohana ny fanajana ilay elanelana iray metatra eo amin'ireo mpandevina no tena antony.
Chaque ethnie de l'île possède ses spécificités et ses particularités. Pour cette fois, parlons du Sobahia, l'étoffe sacrée des Sakalava. Cet accoutrement est porté par les Ampanjaka et les autorités Sakalava lors des évènements traditionnels importants. Découvrez ici son histoire, ses spécificités et son importance culturelle.
Samy manana ny mampiavaka azy ny foko tsirairay eto Madagasikara. Isan'izany ny lamba izay entina rehefa mamonjy lanonana ara-drazana. Ny Sobahia, lamba manana ny hasiny manokana ho an'ny foko Sakalava no asiantiska resaka eto. Fantaro ary ny tantarany, ny mampiavaka azy ary ny lanjany ara-kolontsaina.Â