COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Rovasoa Andriamparany

Rovasoa Andriamparany

L’explosion sociale, c’est surtout une expression qui revient lors ou à l’issue d’une crise, quelle que soit sa nature. Actuellement, les économistes, les membres du groupement des entreprises de Madagascar (GEM) et bon nombre d’observateurs craignent justement une explosion sociale engendrée par la crise sanitaire due au coronavirus.

Mais concrètement, quels en sont les indicateurs ?


Selon l’économiste et secrétaire générale du Cercle de Réflexion des Economistes de Madagascar (Crem), Andriatahiana Rakotoarisoa, l’explosion sociale est le résultat de la baisse du produit intérieur brut (PIB), c’est-à-dire la baisse de la productivité et des richesses du pays. D’une manière générale, le PIB chute quand le pays n’arrive plus à produire les richesses nécessaires, permettant une croissance économique optimale.

Tous les indicateurs sont là

Pour ce qui est de l’explosion sociale, les indicateurs sont déjà présents à Madagascar. « Les entreprises sont fermées. Les employés sont au chômage, et cela va entrainer une baisse du pouvoir d’achat. Mais ce n’est pas tout. A côté, la balance de paiement n’est plus équilibrée, d’où la dépréciation de l’ariary. Tout cela va donner naissance à l’inflation », explique Andriatahiana Rakotoarisoa. Nous ne sommes pas sans savoir les effets de l’inflation.
L’explosion sociale ne doit pas être prise à la légère. C’est un fait dont les indicateurs et les conséquences sont compris dans un cercle vicieux. Justement quelles en sont les conséquences ? « Quand la population n’arrive plus à subvenir à ses besoins, l’économie des ménages s’essoufflera progressivement et cela aura des impacts sur l’économie nationale. Mais surtout, cette explosion sociale poussera les gens à faire des actes qui sortent de l’ordinaire », indique l’économiste, en enchaînant que « 80% des Malgaches sont dans la pauvreté. Imaginez ces 80% ne pouvant plus se nourrir, les conséquences seront terriblement graves ».

« Votre projet doit répondre à un besoin spécifique. Plus tard, vous pourrez trouver beaucoup d'idées plus innovantes pour répondre à d'autres besoins. Vous devez également identifier toutes vos ressources, qu'elles soient financières ou humaines afin de dépenser le minimum de budget », selon Christiane Ramonijison, initiatrice du programme Youth Cultural Leadreship Training – YCLT.

En 2016, Fanilo Ratefinjanahary a soumis son projet « EcoBrik » au Boy's Programm Leadership organisé par l'ONG Youth First. Le concept de son projet est de fabriquer des briques écologiques. Actuellement, EcoBrik est devenu sa principale source de revenu.

Tokony mamaly filàna ny tetik'asa iray raha tiana haharitra, izany no toro-hevitra avy amin'i Christiane Ramonijison, nanao ny fandaharan'asa Youth Cultural Leadership Training – YCLT. Tsy hoe rehefa malaza fotsiny ny zavatra iray dia atao fa mila hiainana mihitsy mba hahafahana manana hevitra miavaka hamaliana ny filàn'ireo olona ao anatin'ilay tetik'asa. Ilaina ihany koa ny fahazaina mijery izay zava-misy eo am-pelatanana na ara-bola io na arak'olona.

Ohatra iray amin'izany, tamin'ny taona 2016, voaray handray anjara tamin'ny Boy's Leadership Program izay nokarakarain'ny fikambana Youth First i Fanilo Ratefinjanahary tamin'ilay tetik'asany hoe « EcoBrik ». Fanamboarana briky ekolojika izy io ary efa anton'asan'i Fanilo mihitsy ankehitriny.

A Antananarivo, les restaurants sont actuellement autorisés à recevoir des clients jusqu’à 13 heures. Par peur d’être contaminés par le coronavirus, les clients n’affluent pas, ils préfèrent se faire livrer à domicile. Toutefois, beaucoup se plaignent des tarifs élevés des services de livraison.   
Généralement, les Tananariviens sont prêts à payer 2.000 à 4.000 ariary pour les livraisons n’allant pas au-delà de la commune urbaine et 5.000 à 7.000 ariary pour les périphéries. Beaucoup se plaignent donc lorsqu’ils voient des livraisons à partir de 5.000 ariary pour un court trajet et qui peuvent aller au-delà de 10.000 ariary.


« Les gens reculent vite à cause des tarifs. Mais en même temps, il n’y a plus de taxi-be donc les restos sont contraints de faire appel à des prestataires. Moi, je préfère payer ce surplus plutôt que de me déplacer en ce moment », s’exprime Haingo.
« J’ai vu récemment un fast food qui vend ses burgers à 2.000-3.000 ariary alors que les frais de livraison étaient de 5.000 à 10.000 ariary. Evidemment qu’on hésite quand on voit que le frais de livraison est plus élevé que le prix du produit », raconte Loïc, un jeune qui se fait livrer régulièrement.

Révision du tarif

Ce fast food dont Loïc parle, c’est l’un des plus appréciés de la capitale pour son goût et ses prix abordables. D’après les responsables, c’est la première fois qu’ils font de la livraison à domicile et pour cela, ils ont dû faire appel à un prestataire. Face aux nombreuses réactions, ils ont décidé d’agir même si cela n’a pas eu d’impact sur leurs commandes. « On a reçu une proposition plus abordable, donc, les frais de livraison devraient baisser dès la semaine prochaine. Les tarifs de cette semaine n’ont pas dissuadé les clients puisqu’on a vendu 200 hamburgers aujourd’hui », confie la gérante de la vente en ligne, Gaelle Andrianiaina.
La livraison à domicile est de plus en plus sollicitée en cette période. Les consommateurs souhaitent toutefois qu’elle soit mieux régulée.

La réalisation d'un film se base sur le scénario. Ce dernier requiert un style d'écriture particulier car il doit mettre en valeur chaque visuel et chaque sonore. Certains éléments peuvent être modifiés durant la réalisation pour que les images à l'écran soient fidèles à la réalité à retranscrire. Toky Randriamahazosoa, un réalisateur, nous explique comment réaliser un film à partir d'un scénario. Ludovic Randriamanantsoa, un scénariste nous partage aussi dans le reportage, la structure d'un scénario.

Ny fanantontosana horonantsary dia miankina amin'ny fomba fanoratana ny tantara any am-piandohana. Misy fenitra arahana, satria misy elanelana mazava tsara ny soratra, ny sary ary ny feo. Rehefa eo am-panatontosana dia mety misy miova ny fomba fanehoana ilay tantara. Manazava ny fomba famadihana ny tantara voasoratra ho lasa horonantsary i Toky Randriamahazosoa, mpanantontosa horonantsary. Hizara ny fomba fanoratana tantara eo amin'io zava-kanto io ihany koa i Ludovic Randriamanantsoa, mpanoratra.

Les aides internationales s’organisent dans le cadre de la lutte contre la covid-19 mais pour l’heure seuls 186,4 millions de dollars sur 671,73 escomptés ont été décaissés.
Le gros de ce décaissement, 165,99 millions, est à mettre sur le compte du FMI au titre de la facilité de crédit rapide pour soutenir la balance des paiements.  


En difficulté sur le front des équipements médicaux, Madagascar n’a bénéficié que d’un décaissement de 15,74 millions de dollars sur 20 millions de la Banque mondiale pour les activités de préparation et de riposte à la pandémie entre autres où est prévu l’acquisition de matériels complémentaire (respirateurs, concentrateurs d’oxygène, radiographies numériques, tentes) et des équipements de protection individuelle.

Transparence

D’autres aides vont dans ce sens, mais les montants n’ont pas encore été décaissés comme les 5.5 millions de dollars de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) ou les 670 milles dollars du Japon qui sont déjà approuvés. Une aide de 4,31 millions de dollars est, par ailleurs, en cours de préparation pour l’acquisition de matériels et analytique de laboratoires de diagnostic des maladies infectieuses et de 11 laboratoires mobiles des établissements de santé dans différentes régions pour le diagnostic rapide et accéléré.


Les 4,67 millions de dollars restants qui ont été décaissés jusqu’ici concernent le Tosika Fameno de 100.000 ariary de la part de la Banque mondiale où 12.65 millions de dollars sont prévus. Le système des Nations-Unies participe également à la mise en place de ce filet de sécurité à travers le PNUD et le PAM mais le décaissement n’est pas encore comptabilisé dans le document.


Attaqué sur la transparence dans l’utilisation des fonds dans le cadre de la lutte contre l’épidémie, le gouvernement, par l’intermédiaire du ministère de l’Economie a fait l’effort d’apporter des précisions sur l’affectation réelle de ces aides. Le document est disponible sur le site du ministère.

Selon les experts le gel hydroalcoolique peut diminuer de 60% les contaminations interhumaines au coronavirus ou tout autre virus. Le lavage à l'eau et au savon est plus efficace et donc reste à privilégier.

Bien évidemment, il ne suffit pas de simplement mettre un coup de savon, se laver les mains en trois secondes et terminé. NON ! Les experts soulignent que le lavage des mains doit durer un certain temps. Pour certains experts 20 à 30 secondes pour d'autres jusqu'à 40 secondes.

Le gel hydroalcoolique est facile à transporter et surtout à utiliser lorsqu'il n'est pas possible de se laver les mains, comme dans les transports en commun par exemple.

En somme, lorsque le lavage des mains est impossible, on utilise le gel, sinon place au savon !

Prenez soin de vous !




Miaro kokoa noho ny fanasana tanana ve ny fampiasana gel hydroalcoolique?

Mampihena eo amin'ny 60%n'ny famindrana tsimokaretina coronavirus na tsimokaretina hafa eo amin'ny samy olombelona ny fampiasana ny gel hydroaloolique hoy ireo manam-pahaizana. Mandaitra kokoa noho izany ny fanasana tanana amin'ny rano sy savony. Tsy hoe asiana savony kely dia avy eo kobanina rehefa manasa tanana. Tsia ! Manamafy ireo manam-pahaizana fa tokony haharitra elaela ny fanasana tanana. Tokony haharitra 20 hatramin'ny 30 segondra, na mihoatra aza izany

Etsy andaniny, mora ho entina ny gel hydoralcoolique ary ampiasaina rehefa tsy afaka manasa tanana amin'ny rano sy savony, toy rehefa mandeha fiara fitaterana ohatra.

Fehiny, ampiasaina ny gel hydroalcoolique rehefa tsy afaka manasa tanana, fa aleo manasa tanana amin'ny rano sy savony ihany rehefa afaka. Samia mitandrina daholo !

Morondava dispose de son centre de recyclage de déchets depuis bientôt un an. Le but est de veiller à la propreté de la ville mais aussi de créer des emplois. Les détails l'émission Hono ho aho.

Manodina ary manome aina vao indray ireo fako ny ivotoerana fanodinana fako any Morondava. Fitandroana ny fahadiovana sy famoronana asa no tanjona. Henointsika ny mikasika izay ao anaty Hono ho aho.

Non ! On est tous d’accord pour dire que porter un masque toute la journée n’est pas agréable. Nous avons parfois envie de le baisser au niveau du menton ou du cou pour respirer plus facilement.
La plupart d’entre nous avons tendance à le faire et pourtant, c’est une grosse erreur !
Effectivement, notre cou peu avoir été contaminé par des gouttelettes de postillons provenant d’une personne infectée au coronavirus, notamment, si vous ne respectez pas souvent le 1 mètre minimum de distanciation sociale.
Une fois que vous mettez votre masque, laissez-le sur votre visage, touchez-le uniquement pour le retirer à partir de l’élastique.

Mety ve ny mampidina ny arotava makeo amin'ny soka ?
Tsia ! Samy manaiky angamba isika fa tsy mampahazo aina ny mitondra arotava indray andro maninjitra. Mazàna isika te hampidina izany eo amin'ny saoka na eo amin'ny tenda mba hakana aina kely.Manana an'izay fahazarana izay ny ankamaroany amintsika. Tsy mety anefa izany !Ny tenda mantsy mety nipitihana pitidrora mitondra tsimokaretina, indrindra moa raha tsy nanaja ny 1 metatra ianareo.Noho izany, aza esorisorina ny arotava rehefa eny aminao. Rehefa hanala azy ihany ianao vao tokony mikasika azy ary amin'ny alalan'ilay lasitika no anaovana izany.

Le Directeur Eau, Assainissement et Hygiène de la Commune urbaine d’Antananarivo, le Dr Allyre Razanakombana, apporte des précisions sur la mise à disposition de la fosse commune durant cette période de confinement.


C’est au niveau de la CUA que les familles des personnes décédées durant le confinement effectuent leurs demandes pour la location d’emplacement dans la fosse commune, informe le directeur Eau, Assainissement et Hygiène. « Il y a des formalités administratives à remplir pour la location qui s’élève à 60.000 ariary par an », indique-t-il en précisant que la construction du tombeau est à la charge de la famille. Un employé du cimetière explique que les familles peuvent s’en charger elles-mêmes ou faire appel aux personnes qui travaillent au cimetière pour faire les travaux. « C’est essentiellement du bétonnage », précise-t-il alors qu’il vient d’assister à la mise en terre d’une personne dans la fosse commune en contrebas de la colline où se trouve le cimetière d’Anjanahary.

Nouvel emplacement

Le Dr Allyre Razanakombana fait savoir que depuis le début du confinement, 40 demandes de location ont été reçues jusque-là, dont 9 concernant des personnes décédées de la covid-19. Pour cette cause de décès, il indique qu’un protocole a été mis en place surtout si la personne a succombé à son domicile. « Le BMH (Bureau municipal d’hygiène) s’occupe de désinfecter le corps et la chambre funéraire. Par ailleurs, l’enterrement doit se faire le plus rapidement possible », explique-t-il, en ajoutant que les dépouilles peuvent être inhumées dans leurs caveaux familiaux respectifs. Mais avec le confinement, ce n’est donc pas possible pour les caveaux en dehors d’Antananarivo. Selon ce responsable, la fosse commune d’Anjanahary a encore assez de places pour recevoir d’autres défunts. « La commune est toutefois en discussion avec la Région pour trouver un autre emplacement », souligne-t-il.

L'ingénieur en bâtiment a pour mission de procéder aux études préalables relatives à la construction d'un bâtiment. Comment en devenir un ? Découvrons avec Tovoson Ramilavonjy, un ingénieur dans ce domaine, les missions, formations nécessaires et les difficultés de cette profession. Retrouvons également Jean De dieu Rakotoniriana comment il gagne sa vie, même étant non diplômé.

« Fitiavana tia karokaroka fa tsy mionona amin'izay ananana », io no toen-tsaina noentin'i Jean De dieu Rakotonirina ny fiainany na dia tsy nianatra loatra aza izy. Manao biriky sy mamboly ary manao asa an-tselika no namelomany ny ankohonany. Etsy an-daniny, hiaraka
amin'i Tovoson Ramilavonjy koa isika ao anaty fandaharana, hamantatra ny ireo dingana rehetra raha te ho tonga matianina amin'ny
fanaovan-trano.

jeudi, 23 juillet 2020 14:54

Journal du 23 juillet 2020

Les opportunités offertes par les concours de beauté.

Le coût de la mise en place du télétravail pour les sociétés.

Zohary, passionnée de robotique, participe au First Global challenge.

Le confinement, l'occasion par excellence d'entreprendre et d'être plus productif.

Ivon-toerana fanodinana fako any Morondava.

Inona no fepetra raisin'ireo taxi amin'izao raha hitondra ireo
mararin'ny covid-19 ?

Efa misy toerana hafa nomanina raha toa ka feno ny fasam-bahiny ao
Anjanahary.

Gazety tonta, angonina sy ampiasain'ny fikambanana Fanamby, amin'ny
fikarohana ara-tsiantifika.

Tsy mbola misy tosika fameno tonga eny kaominina manodidina
an'Antananarivo.

Le gouvernement s’est prononcé sur la tenue des examens officiels. Le sort des universitaires est également en cours de discussion. Mais jusqu’à maintenant, aucune annonce officielle n’a été faite par rapport à l’avenir des classes intermédiaires. Une situation d’incertitude qui rend difficile l’organisation interne des établissements scolaires.

 

A cause de la crise, les élèves des classes intermédiaires ont pratiquement raté le troisième trimestre. « Manquer le dernier trimestre, c’est comme manquer toute l’année pour nos classes intermédiaires. Sans télé-enseignement, c’est sûr qu’ils n’ont presque plus rien retenu de toute l’année. Beaucoup vont probablement redoubler. Espérons que cela ne les poussera pas à abandonner », raconte Monja, responsable au sein d’un centre d’éducation. Par ailleurs, un enseignant affirme que même les élèves qui ont pu bénéficier du télé-enseignement sont en difficulté. Le télé-enseignement, qui plus est improvisé, ne peut pas avoir la même valeur que les cours présentiels à ce niveau. Dans tous les cas, un retard doit être rattrapé.

 

Vers une année scolaire plus longue

 

Les établissements scolaires sont catégoriques. Il est impossible de faire passer automatiquement ces élèves. Seule solution : rallonger la prochaine année scolaire. « Selon l’évolution de la situation, nous devrons soit faire rentrer les élèves un mois plus tôt, soit terminer l’année scolaire un mois plus tard. Il faut impérativement remettre les élèves à niveau, leur faire passer des examens avant d’entamer la prochaine année scolaire », explique un responsable au sein d’une école privée. Un avis partagé par plusieurs autres établissements qui se réunissent par zone d’administration pédagogique (ZAP) et essaient de prendre des décisions communes.

 

Quoiqu’il en soit, tout dépendra de la décision officielle du ministère concerné. Pour le moment, il est difficile pour lui de se prononcer à cause du contexte sanitaire par lequel passe actuellement Madagascar.

Depuis le début de cette pandémie, le télétravail est devenu la seule option pour les entreprises afin de continuer à tourner. Bien qu’il soit pratique, il représente une charge supplémentaire pour les entreprises.  

Afin que l’entreprise reste opérationnelle, les employeurs doivent fournir le matériel nécessaire à leurs employés pour le bon déroulement du travail de ces derniers à distance. Dans une société d’externalisation, 120 sur 125 employés sont en télétravail. Pour eux, la mise en place du système et l’approvisionnement des collaborateurs en termes de matériels informatiques sont très coûteux. 

Dans cette même optique, certaines entreprises ont même vu leurs dépenses se multiplier par 5, rien que pour assurer la connexion internet de leurs employés.  « Avant, on payait 1.226.000 d’ariary par mois et maintenant nous déboursons environ 5 millions d’ariary pour la connexion », témoigne un responsable au niveau d’une entreprise médiatique. Il en est de même pour une entreprise de production et de distribution de boissons, basée à Antananarivo : « Avec 1% de nos travailleurs en télétravail, nous avons dû investir dans des matériels comme des ordinateurs portables et la connexion internet : ce qui impose des coûts supplémentaires ».

Concernant les matériels remis aux employés pendant le télétravail, le code de travail à Madagascar ne dispose d’aucune loi par rapport aux engagements des employés en cas de perte ou de destruction de ces matériels. Par contre, des responsabilités sont définies dans les contrats de travail entre l’employeur et l’employé.

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