On sait actuellement que parmi les personnes contaminées par la covid-19, certaines s’en sortent comme si de rien n’était, alors que d’autres passent par la forme grave. Parfois, le virus laisse des séquelles après la guérison.
« Je souffrais de nausées, j’avais mal à la tête, puis j’ai été hospitalisé. Les médecins m’ont dit que c’est peut-être à cause des séquelles laissées par la covid-19 », a témoigné Roger, tandis que Mandimbisoa a confié se sentir systématiquement très vite à bout de souffle, au moindre effort physique.
En effet, plusieurs organes peuvent être dysfonctionnels lorsqu’un sujet guérit de la covid-19, a affirmé le pneumologue, Joelson Rakotoson. Les poumons sont les plus souvent touchés, mais il est aussi possible de rencontrer chez certains patients des troubles cardio-vasculaires, des dysfonctionnements au niveau des reins, voire des atteintes au système cérébral.
Les personnes susceptibles de développer des séquelles
« Environ 80 % des personnes contaminées ne présentant pas de forme grave n’auront pas des séquelles post-covid ou n’auront que des séquelles bénignes », a fait savoir le Pr Joëlson. En effet, les séquelles apparaissent souvent après la forme grave de la maladie, notamment pour ceux qui sont passés par la réanimation. Et dans ce mécanisme, les personnes potentiellement atteintes par des maladies chroniques, comme le diabète ou l’insuffisance rénale, restent les plus vulnérables.
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Fampianarana kabary, 2/3 ny mpianatra dia tanora latsaky ny 30 taona avokoa.
Les jeunes ne manquent pas d’idées, mais généralement c’est l’opportunité de s’exprimer qui manque dans notre société. Aujourd’hui, grâce à la plateforme JODI SOLO, les jeunes peuvent s’exprimer sur les sujets qui leur tiennent à cœur.
Créée par l’association des anciens de l’ENA France (AAENA) et lancée en partenariat avec l’ambassade de France, JODI SOLO entrera en septembre prochain dans sa 6e édition. JODI ou « les jeunes ont des idées » a vu jusqu’à aujourd’hui la participation de 97 jeunes.
La jeunesse est l’avenir de la nation. Responsabiliser et, plus encore, former les jeunes pour qu’ils assurent la relève, c’est quelque part la finalité de JODI, une scène ouverte pour les jeunes, allant des lycéens à ceux qui sont déjà en poste. « Il s’agit d’une plateforme qui leur est particulèrement destinée pour qu’ils puissent s’exprimer avec la possibilité de traiter les sujets qui leur tiennent à cœur », explique Andrianaina Rabarisoa, trésorier de l’AAENA. « Certes, avec l’évolution technologique et notamment multimédia, il existe des moyens permettant à chacun de s’exprimer, mais nous sommes partis du constat que les jeunes sont encore plus ou moins lésés par rapport à ceux qui ont déjà une place au niveau de la société… »
Une plateforme ouverte
Ainsi, pour la prochaine édition de JODI, un appel à candidatures est lancé. Ceux et celles qui veulent y participer peuvent s’inscrire librement et sont libres de choisir eux-mêmes leur sujet. Les thématiques abordées touchent presque toutes les facettes des problématiques qui affectent les jeunes. Ranto Rasolonjanahary par exemple, qui a participé à cette plateforme, a choisi d’attirer l’attention sur l’esclavage moderne des enfants, qui selon lui existe partout dans le monde et même à Madagascar.
Pour éduquer et apprendre
Cette initiative permet, d’une part, d’éduquer les spectateurs et la société elle-même à s’intéresser à des sujets qui passent parfois inaperçus. « Bien avant de faire le tournage de la vidéo à publier sur les réseaux sociaux, nous offrons une petite séance de coaching à chaque participant. C’est surtout dans le but de les orienter et leur enseigner comment capter l’attention du public », explique ce responsable de l’AAENA. C’est d’ailleurs ce qui attire certains participants, comme Fitia Andrianantenaina qui affirme aussi que « c’est particulièrement apprendre à prendre la parole en public qui m’a intéressé, mais plus encore, j’avais l’opportunité de m’exprimer sur un sujet qui me titillait ».
Pour d’autres, participer à JODI, c’est pouvoir attirer l’attention du public sur des faits qui devraient changer. C’est le cas de Ranto Rasolonjanahary, qui indique que pour lui, JODI c’est la possibilité de s’exprimer sur un sujet qui doit être soulevé, pour conscientiser les autres et les sensibiliser. De plus JODI est non seulement partagé avec le public malgache mais aussi avec le reste du monde.
Le paiement des cotisations au sein des organisations internationales telles que l’Organisation des Nations Unies (ONU) ou régionales comme la Communauté des Etats d’Afrique de l’Est (SADC) est prévu par les statuts, selon les explications du juriste et enseignant en Droit International, Léon Dola Andrianasolo. C’est une obligation étatique car sans les cotisations, les organisations ne peuvent pas fonctionner convenablement. Toujours selon lui, le paiement des cotisations ne devrait pas être un problème, mais étant donné que Madagascar est un pays vulnérable, il se trouve en difficulté quant à tout payer à bon escient.
Ny fandrotsahana latsakemboka any amin’ny fikambanana iraisam-pirenena toy ny Firenena Mikambana (ONU) na rezionaly toy ny Fivondronan’ny firenena aty atsimo sy atsinanan’i Afrika (SADC) dia efa voafehin’ny lalàna sy ny fitsipika mifehy ny fikambanana, hoy ny mpahay lalàna, Andrianasolo Léon Dola. Tsy maintsy efaina ny latsakemboka ahafahany miodina an-tsakany sy an-davany. Raha ny fanazavany hatrany, dia tokony tsy misy olana ny fanefana ny latsakemboka, saingy Madagasikara mihitsy no firenena sahirana, ka manjary tsy mahefa ny adidy araka ny tokony ho izy.
Après une formation en entrepreneuriat, Sitraka et Adèle ont décidé de créer leur petite entreprise en 2018. Plutôt originale, elle est spécialisée dans la fabrication de vin à base de fruits. Ce choix naturel a été dicté par le fait que Madagascar, sous le climat tropical, regorge de fruits exotiques. La gamme proposée évolue selon les fruits de saisons : corossol, fraise, pomme, tomate, ananas, etc. Le processus de production repose surtout sur la technique de fermentation.
Ny mahazatra antsika matetika dia hoe voaloboka no hanamboarana divay. Fa tsy voatery ho izay foana anefa! Izy mianadahy ireto izao dia mahavita divay azo avy amin’ny alalan’ny voankazo hafa toy ny hoe frezy, paoma, corossol, voanatsindrana na voatabia. Mampiasa ilay teknika antsoina hoe “fermentation” izy ireo. Telo volana eo ny faharetan’ny famokarana andiany iray, izay mahatratra 70 hatramin’ny 80 tavoahangy. Nanomboka nanandrana tao an-trano aloha zareo, nivoatra tsikelikely ary nanangana ny orinasany tamin’ny 2018.
En marque de soutien pour les vivants ou en témoignage de respect et de souvenir pour les morts, la couronne funéraire composée de fleurs est devenue une pratique, un protocole durant les rites mortuaires à Madagascar. Une couronne de fleurs est, la plupart du temps, ornée d’un mot adressé au défunt : « Repose en paix ma chérie », « A jamais dans nos cœurs », les messages véhiculés dépendent des personnes qui l’offre. Mais font-elles vraiment partie de la culture ancestrale malgache ? David Rakoto, traditionnaliste nous donne la réponse.
Lasa fanao rehefa misy fahoriana ny manolotra fehezam-boninkazo na « couronne », arahina hafatra ho an’ilay olona lasa izy reny matetika. Apetraka eo akaikin’ny faty mandritra ny famangiana ary avela eny amin’ny fasana rehefa voalevina ny maty. Mari-pahatsiarovana ihany koa ny fanaterana voninkazo ho an’ny olona aty afovoan-tany. Tsy fomba malagasy anefa izay fametrahana voninkazo izay fa kolontsaina avy any ivelany, Rakoto David, mpandala ny fomba malagasy no ho vahinintsika ato anatin’ny Sandrify. Hiresaka mahakasika ny « fisasana » ihany koa izy.
Dans son explication, Cerveau Kotoson, enseignant chercheur à l’université d’Antsiranana, emploie les mots « vantard », « orgueilleux » et « limite mythomane » pour expliquer le mot « ngengeny ». Ce terme est souvent utilisé dans la partie Nord, Nord-Est et Est de la Grande Île.
« Midehaka », « mihambo » izay no azo anazavana ny hoe ngengeny amin’ny teny malagasy ofisialy. Hoy ireo tanora hoe « dedaka », « be zesita ». Fitenin’olona avy any avaratra hatrany amin’iny atsinanana iny io fiteny io hoy i Cerveau Kotoson, mpampianatra mpikaroka ao amin’ny oniversiten’Antsiranana. Manazava misimisy kokoa momba io izy ao anaty fandaharana.
Et bien, c'est à cause de la quantité d'alcool qu’ils contiennent que les gels hydroalcooliques assèchent la peau des mains. Pour diminuer cet effet, le mieux est de choisir une solution qui contient un hydratant, par exemple l'aloe vera.
Sachez que certains parfums que les fabricants ajoutent peuvent également irriter la peau. Un conseil : n'hésitez pas à vous hydrater les mains à l'aide d'une crème quelques fois dans la journée.
Fa maninona no maha maina tanana noho ny savony ny gel hydroalcoolique ?
Satria be alikaola be ny gel hydroalcoolique. Ny alikaola nefa tena manamaina tanana be. Tsara raha misy akora manamandina toy ny vahona no miaraka aminy mba tsy hahamaina be ny tanana.
Fantaro fa manimba tanana ny hanitra ataon'ny mpanamboatra sasany amin'ireny. Ity misy torohevitra : aza misalasala manamandina tsindraindray ny tananao amin'ny crème ao anatin'ny tontolo andro.
Betroka : La route reliant Ihosy et Betroka a été rouverte.
Maevatanàna : La préfecture a communiqué les nouvelles mesures qui s’appliqueront durant cette onzième quinzaine d’urgence sanitaire.
Tosika Fameno : La commune urbaine d’Ambatondrazaka s’occupe du recensement des habitants pour définir les personnes qui en bénéficieront.
Betroka : Hosokafana indray ny zotra mampitohy ny an’Ihosy sy Betroka
Maevatanàna : Ireo fepetra mifehy ny fahamehana ara-pahasalamana ao an-toerana mandritra ity 15 andro manaraka ity.
Ambatondrazaka : Miantso ireo olona sahirana ho tonga ao amin’ny EPP Antsahatanteraka ny kaominina handaminana ny fitsinjarana ny Tosika Fameno.
Mercredi 12 août, journée internationale de la jeunesse. Cette année, nous avons pour thème « Les facteurs d’engagement et de désengagement des jeunes dans les conflits au niveau communautaire ». Andrianina Rajoharison, directeur du civisme, de la paix et du développement durable auprès du Ministère de la jeunesse, explique que les jeunes ont besoin de connaître leurs droits et de développer une capacité d’analyse par rapport à ce qui se passe autour d’eux. Ils pourront alors décider de comment prendre part à la résolution d’un conflit communautaire. De son côté, Moranierana Rason, membre des scouts catholiques Antilin’i Madagasikara, affirme qu’il ne faut pas attendre que les jeunes atteignent l’âge adulte avant de leur confier des responsabilités. Ils doivent s’initier à cela dès que l’occasion se présente : à la maison, à l’église, dans les associations, etc.
Alarobia 12 aogositra, andro iraisam-pirenena hoan’ny tanora. Ny lohahevitra amin’ity taona ity dia ny fandraisan’ny tanora andraikitra amin’ny disadisa misy eo amin’ny fiaraha-monina misy azy. Manazava Rajoharison Andrianina, talen’ny fanabeazana olom-banona, sy ny fandriam-pahalemana ary ny fampandrosoana maharitra ao amin’ny Ministeran’ny tanora sy ny fanatanjahantena, fa mila mahafantatra ny zony ny tanora sy mizatra mandalina sy mamakafaka ny zava-misy manodidina azy mba hahaizany manan-kevitra amin’ny fomba handraisany andraikitra amin’ny disadisam-piaraha-monina. Hoy kosa Rason Moranierana avy ao amin’ny Antilin’i Madagasikara hoe ilaina ny fanazarana ny tanora handray andraikitra hatramin’ny sehatra kely indrindra toy ny tokantrano sy ny fiangonana na fikambanana hafa fa tsy hiandry hoe lehibe vao hisehatra amin’izany.
Interview avec Francesca Raoelison
Avec les mesures de confinement et l’impossibilité de sortir de chez soi, la plupart des gens et surtout des jeunes sont quasi connectés sur internet tous les jours. Une situation qui a fortement redonné vie au cyberharcèlement, actuellement à la hausse. Fondatrice de l’organisation OMENA, qui lutte contre toute forme de maltraitance verbale et harcèlement envers les jeunes, Francesca Raoelison partage son point de vue sur la question.
Studio Sifaka : Le cyberharcèlement, c’est quoi exactement ?
Francesca Raoelison : Si le harcèlement existe depuis toujours, le cyberharcèlement connaît, quant à lui, une recrudescence avec l’arrivée des réseaux sociaux. Il s‘agit d’une forme de harcèlement, mais en ligne sur Facebook, twitter, Instagram, YouTube, snaptchat, tik tok…
Le cyberharcèlement revêt plusieurs formes : insultes, moqueries récurrentes, fake news, piratage de compte et usurpation d’identité numérique… Aujourd’hui, c’est même passé à l’utilisation de photos ou de vidéos authentiques ou modifiées d’une personne dans le but de la discréditer ou de l’humilier.
Hausse du cyberharcèlement avec le confinement, quelles en sont les raisons ?
Depuis le début du confinement, le fait de rester à la maison est devenu obligatoire pour des raisons sanitaires. La liberté de se balader sur les réseaux sociaux est quelque part à l’origine de la hausse du cyberharcèlement. Tout le monde peut déjà avoir été victime de cette forme de harcèlement, surtout en cette période de crise où le stress est à son paroxysme. La technologie favorise aussi le cyberharcèlement, donnant à chacun l’illusion d’être protégé par l’écran. Selon les chiffres de l’UNICEF, l’année dernière 1 jeune sur 3 était victime de cyberharcèlement. Généralement, les jeunes sont les plus en proie à cette forme d’agression, notamment les jeunes filles et les jeunes femmes, sans oublier les communautés, par exemple, les LGBTQ.
Quelles conséquences sur la personne qui se fait harceler en ligne ?
Les conséquences sont les mêmes que pour le harcèlement classique. Cela porte atteinte à notre estime de soi, notre identité, notre dignité et notre santé mentale. Ce qui peut fortement entraver le développement personnel de la victime, mais également sur ses capacités à affronter les simples problèmes du quotidien. Une personne victime de harcèlement aura tendance à s’isoler, ce qui l’empêchera d’atteindre son plein potentiel et surtout de jouir du bien-être. De ce fait, la victime n’osera plus prendre des risques, s’affirmer, sortir du lot par peur des critiques. Aujourd’hui, les chiffres sont alarmants, car selon l’UNICEF 80 % des personnes à Madagascar ont déjà vécu un abus psychologique et verbal. Donc, si un tel fléau est perpétué sur les réseaux sociaux, les impacts seront énormes tant sur chaque individu que sur le pays tout entier. C’est quelque chose qu’il faut garder en tête, et qu’il faut surtout changer.
Quelles sont les solutions pour changer cette situation ?
Notre approche, c’est d’aller dans les écoles et de sensibiliser sur l’intelligence socio-émotionnelle, et d’enseigner aux jeunes comment s’exprimer de façon plus saine. Miser sur cela est important pour réellement changer la situation, mais surtout il faut agir sur le cycle de l’abus notamment et sensibiliser pour faire comprendre que l’abus n’est pas un acte naturel et normal. Il appartient surtout à la nouvelle génération de montrer l’exemple et de briser ce cycle de l’abus. Mais quelque part, une remise en question est nécessaire et chacun doit se demander pourquoi est-ce que j’ai ce besoin de critiquer ou d’être méchant. Les recherches montrent que c’est, en partie, à cause d’un manque d’estime de soi ou d’un manque d’empathie. Mais l’empathie, ça s’apprend. Et quand on a cette empathie, on sait que derrière l’écran, il y a une autre personne. Les groupes de soutiens psychologiques peuvent être d’un grand soutien moral pour ces jeunes qui ont déjà été victimes d’abus afin de les aider à s’en sortir.
Depuis plusieurs mois le port du masque est obligatoire. Mais au bout de quelques heures, les élastiques peuvent faire mal aux oreilles. Nous partageons avec vous 4 astuces pour éviter d'irriter vos oreilles :
Un, si vous êtes une femme, vous pouvez fixer le masque avec une barrette dans vos cheveux.
Deux, vous pouvez aussi ajouter deux boutons sur un bandeau ou un serre-tête et fixer les élastiques dessus.
Trois, vous pouvez aussi le faire sur une casquette ou un bandana.
Quatre, il existe sinon des masques sans élastiques mais avec des lanières en tissu qui se nouent à l'arrière de votre tête.
En somme, l'idée est d'attacher les élastiques ailleurs que derrière les oreilles. Si vous n'avez pas de bouton, essayez avec des trombones ou récupérer les boutons d'un vieux vêtement !
Marary ve ny sofinao rehefa manao arotava ? Ireto misy fikafika kely tsy hamparary azy
Tsy maintsy manao arotava daholo isika nandritra ny volana maromaro izay. Mety hankarary sofina anefa ny lastika rehefa anaovana elaela ny arotava.
Ireto misy fikafika 4 mba tsy hankarary ny sofinao :
Voalohany aloha, azonao tazomina amin'ny bigody amin'ny volo ny arotava, raha vehivavy ianao.
Faharoa, azonao atao ny mametaka bokotra amin'ny fehiloha ary mamatotra ny lastika amin'izany.
Fahatelo, azonao atao amin'ny satroka na bandana ihany koa izany.
Fahaefatra, misy an'irony arotava tsy misy lastika irony fa tady no mamatotra azy makany ambadiky ny loha.
Le panaris est une infection se situant au niveau du pourtour des ongles. Il est causé par des bactéries et le plus souvent il s’agit d’un staphylocoque doré ou d’un streptocoque. Le panaris évolue en 3 stades : l’inflammation, la collection et les complications, explique le Docteur Domoina Soa Kanto Rakotonoely.
L’allergie aux fruits de mer est héréditaire. C’est aussi un type de réaction immunitaire excessive induite par l’immunoglobuline E (lgE). Les symptômes sont l’éruption cutanée, les rougeurs et les démangeaisons, la difficulté à respirer, les vomissements et le choc anaphylactique, selon le Docteur Fanomezantsoa Herinirina Randrianarizay.
Aretina hita eo amin’ny hoditra malemy manodidina ny hoho eny amin’ny ratsan-tanana ny panaris. Otrikaretina antsoina hoe « staphylocoque doré » na koa ny « streptocoque »no mahatonga azy. Misy ambaratonga telo ny fivoaran’izy io : ny fanaintainana, ny fiandronana ary ny fahasarotana araka ny fanazavan’i dokotera Rakotonoely Domoina Soa Kanto.
Manaranaka ny tsy fahazakana hazan-dranomasina. Antony mahatonga ny tsy fahazakana ihany koa ny famokaran’ny vatana « immunoglobuline E (IgE) » be loatra. Misy karazany efatra ny fisehony : voalohany ny fambara eny amin’ny hoditra,mangidihidy lasa menamena ny vatana, misy ihany koa ny miseho amin’ny alalan’ny fahasemporana, mety handoha na haloiloy, ary farany mety ho tratran’ny fahasarotana antsoina hoe « choc anaphylactique », araka ny fanazavan’i Dokotera Randrianarizay Fanomezantsoa Herinirina .