"Boribory ny tany" est une expression malgache qui a le même sens que "comme le monde est petit", en français. Mais, ce n’est pas seulement la seule signification de cette expression. Ny Aina Hery Zo Ratsimba, président du FIMPIMA Analamanga nous en dit plus.
Boribory ny tany hoy isika rehefa mifankalala koa ny olona roa na maromaro fantatsika. Tsy izay ihany anefa no ampiasana an’ity fiteny ity. Mitondra fanazavana bebe kokoa ho antsika i Ratsimba Ny Aina Hery Zo, filohan’ny sampana FIMPIMA Analamanga
A Madagascar, les expressions courantes pour qualifier les services des transports sont nombreuses. Parmi elles, on a « vodihazo », qui désigne le stationnement pendant une durée relativement longue des autobus à l’arrêt. Tahirisoa Andria, orateur au sein du FIMPIMA Antsirabe, nous en dit plus.
Betsaka ireo fiteny mikasika ny fitaterana raha eto Madagasikara. Anisan’izany ny hoe « vodihazo », izay fiteny andavanandro milaza ny fijanonan’ny taxibe ela eo amin’ny toeram-piantsonana. Mitondra fanazavana bebe kokoa momba ity voambolana ity i Tahirisoa Andria, mpikabary mpikambana ao amin’ny FIMPIMA Antsirabe ato anatin’ny Kozio ahy.
Manatrika atrikasa fiofanana ny mpamboly ao Marofody. Nohazavaina tao ny toeran’izy ireo ao anatin’ny rojom-pihariana ara-pambolena. Namiratra tamin’ireo mpandray anjara i Meza satria efa mpiantso ny laharana 321. Natoro ireo tantsaha koa ny fanaovana drafitra momba ny tetibola.
Les agriculteurs de Marofody suivent un atelier de formation. On les conscientise sur leur importance dans la chaîne économique de l’agriculture. Meza se démarque parmi les participants puisqu’il a déjà demandé conseil au 321. Les paysans ont aussi appris à faire un plan budgétaire.
L’année 2020 a vu naître de nouveaux projets et de nouvelles initiatives de jeunes malgaches. Certains se sont focalisés sur la lutte contre la covid-19, d’autres sur le changement climatique et quelques-uns sur des projets personnels. Nous avons sélectionné pour vous ceux qui nous ont le plus marqués cette année.
Marie Christina Kolo et son dévouement écologique
Marie Christina Kolo est une des figures féminines les plus marquantes de l’année. Engagée pour la cause des femmes, elle est l’une des initiatrices du projet Ra-ha tsy fady. Ce concept propose des serviettes hygiéniques réutilisables aux femmes, comme alternative plus écologique et moins coûteuse à celles jetables. Un autre de ses projets, Alt soap, a aussi attiré l’attention du public. Il s’agit d’un savon écoresponsable fabriqué à base d’huile alimentaire récupérée. Ce projet a d’ailleurs reçu le prix du jury du hackaton en ligne du mois d’avril Hackoragnavirus.
Un robot distributeur de gel désinfectant
La covid-19 a permis aux jeunes créateurs et ingénieurs en herbe malgache de se dévoiler. Tiantsoa Razafindrakoto, à seulement 17 ans, a fabriqué à lui-seul un robot distributeur de gel désinfectant. Cela lui a valu sa place dans l’équipe malgache qui représentera le pays au mondial de robotique First Global en 2021. Mais ce jeune garçon n’a pas été le seul.
Un respirateur artificiel
Un groupe de sept étudiants, sous le nom de RespiMada, a créé un respirateur artificiel afin d’aider les patients atteints de la covid-19, notamment ceux à un stade avancé de la maladie. Ce projet a reçu le financement de l’Agence Universitaire de la Francophonie, et leur a permis la production en masse de ce modèle 100% made in Madagascar.
Un prix pour la première école digitale de Madagascar
Des jeunes malgaches ont su se démarquer de la scène internationale cette année. C’est le cas de Matina Razafimahefa, la fondatrice de la première école digitale de Madagascar, Sayna. Elle a reçu la seconde place au prix Anzisha des jeunes entrepreneurs africains, un bel exemple pour les futurs entrepreneurs.
Un prix Pulitzer pour Madagascar
A la liste s’ajoute aussi la journaliste Gaelle Borgia, qui a reçu le prix Pulitzer pour son article dans le New York Times sur la participation des Russes dans l’élection malgache de 2018. Le prix Pulitzer est une récompense accordée par l’université de Columbia de New York aux meilleurs dans le domaine du journalisme, de la littérature et de la composition musicale. Une grande première pour les journalistes malgaches.
Un jeune malgache dans un film Disney
Et enfin, le jeune Faly Rakotovahana est à l’affiche d’un film signé Disney. Ce jeune américano-malgache a attiré l’attention des internautes malgaches vers le mois de juin. En effet, il figure parmi les acteurs principaux de « Secret society of second-born royals », un film long-métrage de jeunes super héros produit par Disney.
Vivement 2021 pour découvrir nos jeunes en action !
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Jean Laborde est un personnage marquant dans l’histoire de Madagascar. Né à Auch le 16 octobre 1805, il a toujours souhaité devenir riche. Féru commerçant, il a sillonné la route des épices de Bordeaux jusqu’en Inde. Il a acheté un bateau pour rejoindre l’île au large de l’Océan Indien Juan de Nova. Sur la mer, voulant retourner en Inde, une tempête l’a accosté à Matitanana-Vohipeno. Les combattants de l’ethnie dans la partie Sud-Est de Madagascar – les Antesaka, l’ont alors capturé et l’ont amené à Mahaela, où il a rencontré Napoléon de Lastelle. Son histoire avec la reine Ranavalona I a commencé là.
Le haut fourneau ou « afo mahery » constitue l’un des édifices construit par Jean Laborde pour la reine. Il a permis de fabriquer environ 200 canons, qu’on retrouve aujourd’hui à Ambohijatovo et Manjakamiadana. Aujourd’hui, il ne reste plus que les ruines du bâtiment de travail.
Isan’ny olona nanamarika ny tantaran’i Madagasikara i Jean Laborde. Teraka ny 16 octobre 1805 tao Auch izy. Nanefy karazana firavaka maro izy ary nivarotra izany tany Bordeaux hatrany Inde. Ny hanan-karena no tanjon’i Jean Laborde tamin’izany. Nividy sambo iray izy hitondra azy any amin’ny nosy Juan de Nova hitrandraka harena. Tratran’ny rivo-mahery tao amin’ny ranomasina Indiana anefa izy rehefa nikasa hiverina any Inde ka tafajanona tao Matitanana-Vohipeno. Nosamborin’ny foko antesaka izy ary nentin’ireo tao Mahaela, tany no nahitany an’I Napoléon de Lastelle. Nanomboka teo ny fiaraha-miasan’I Jean Laborde sy ny mpanjaka Ranavalona I.
Isan’ireo fotodrafitrasa nataon’i Jean Laborde ho an’ny mpanjaka ny « haut fourneau » na ny « Afo Mahery ». Manodidina ny 200 ny isan’ireo tafondro namboarina tao amin’io toerana io. Isan’ireo tafondro sisa tavela ireny hitantsika eny Ambohijatovo sy Manjakamiadana.
La crise sanitaire due au coronavirus a démontré combien les décisions prises par certains dirigeants ont déterminé la place de chaque pays dans les relations internationales. Au niveau local, cela a mis en lumière des oppositions ayant engendré des discordes politiques. Tout cela montre la nécessité d’un bon leadership et l’importance de la formation des leaders de demain. Le Coordonnateur du Youth Leadership Training Program, Hervé Razafindranaivo, nous en parle aujourd’hui dans Hono ho’a.
Hita taratra nandritra ny krizy ara-pahasalamana nateraky ny coronavirus fa namaritra ny toerana misy ny firenena eo anivon’izao tontolo izao ny fanapahan-kevitry ny mpitondra sasany. Teo amin’ny sehatra anatiny koa dia nampiseho fifanoheran-kevitra izany ary mety nitarika korontana aza. Tsapa araka izany ny maha zava-dehibe ny haitarika sy ny fanofanana ireo ho mpitarika rahatrizay. Miresadresaka momba izay ato amin’ny Hono ho’a i Razafindranaivo Hervé, mpandrindra ny Youth Leadership Training Program.
Les graphistes designers se chargent de la création des visuels d’une entreprise ou d’une organisation. Le métier de graphiste est souvent associé aux métiers d’infographiste et du PAOiste. Le graphiste Kay Mickael explique que les définitions de ces 3 métiers sont souvent confondues. Ils s’occupent tous du visuel d’une entreprise. Mais le graphiste intervient plus au niveau des généralités et de la créativité. Par contre l’infographiste et le PAOsite sont des exécutants.
Graphiste, infographiste ou PAOiste sont tous obligés de se conformer à une charte graphique. Le graphiste Haja Tombohery explique qu’en tant que document officiel, cette charte doit contenir tous les éléments visuels et l’identité visuelle de l’entreprise.
Ny graphistes designers dia ireo olona manamboatra ny karazana sary sy soratra fanehoana ny maha izy azy ny orinasa iray na fikambanana iray. Rehefa miresaka an’izay hoe manao ny sary famantarana izay dia mandeha ny fanontaniana hoe fa mitovy ihany ve izany ny asan’ny graphiste sy ny infographiste ary ny PAOiste? Raha ho an’I Kay Mickael, graphiste designer dia samy manao ireo voalaza teo aloha ihany izy ireo. Saingy ny mahasamihafa azy fotsiny, ny graphiste designer dia mamorona mihitsy. Ny infographiste sy ny PAOiste kosa indray dia manatanteraka baiko avy amin’ny mpanjifany fotsiny.
Na ho an’ny graphiste na ny infographiste dia tsy afaka misaraka amin’izy ireo ny “charte graphique”. Araka ny fanazavan’I Tombohery Haja, graphiste dia antontan-taratasy mirakitra ireo singa rehetra mandrafitra ny serasera an-tsarin’ny orinasa iray izy io. Ary tsy azon’ny olona ovaina ny sary famantarana, Rehefa mampiasa na mindrana na mizara izany izy.
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Les femmes enceintes doivent consulter un gynécologue, au moins une fois tous les trismestres, jusqu’à leur accouchement, et éviter toute forme de drogue ou d’alcool durant leur grossesse. Cela afin d’éviter d’éventuelles malformations congénitales, d’après le gynécologue Dr Rahaja Rafalimanana. De son côté, le psychologue Andry Razakamanana conseille aux femmes de bien se préparer mentalement pour éviter le déni de grossesse et la grossesse nerveuse.
Ny vehivavy bevohoka dia mila manatona toeram-pitsaboana na ny gynécologue farafahakeliny in-dray isaky ny telo volana ary indrindra tsy mandray zava-mahadomelina na alikaola mandritra ny fitondrana vohoka, mba hisorohana amin’ny tsy fahatomombanan’ny fiforonan’ny zaza ao am-bohoka, raha ny namabaran’i Dr Rahaja Rafalimanana, gynécologue. Etsy andaniny, mandrisika ny vehivavy hilamin-tsaina hatrany ny psikology Razakamanana mba hisorohana ny déni de grossesse sy ny grossesse nerveuse.
