Ny tontolon’ny tantara an-tsehatra sy amin’ny onjam-peo eto Madagasikara no resahina anio ato anatin’ny #Sandrify. Ho an’i Ando Harinjaka, mpandrindra an-tsehatra tantara, fanehoana eo an-dapihazo ny trangan-javatra, trangam-piainana nosoratana mpanoratra ary lalaovina eny ambonin’ny sehatra no atao hoe tantara an-tsehatra. Matetika mizara sehatra telo na efatra ny tantara an-tsehatra ary ny mpanoratra azy no mamorona izany. Ao no ahitana ny fizotran’ny tantara sy ny mpandray anjara ao anaty tantara ary ny toerana hitrangany. Ny fanatontonsana azy kosa dia mety izy nanoratra azy ihany na koa ny mpandrindra an-tsehatra no miandraikitra azy. Ho an’i Razafindrakoto Nanja, mpilalao tantara, tiany fony fahakeliny ny ho lasa mpiasan’ny haino aman-jery. Tsy nianatra mikasika izany izy fa talenta miaro fizarana no nahatonga azy ho lasa mpanao tantara.
Le monde du théâtre sur scène et radiophonique sont différents mais ont la même base. Aux yeux de Ando Harinjaka, metteur en scène, le théâtre sur scène permet de retranscrire des situations imaginées et écrites par un scénariste. Pour Nanja Razafindrakoto, le théâtre est une passion depuis petite. Selon elle, son succès est dû à son talent et à l’habitude acquise au fil des années. C’est de cette façon qu’elle s’est professionnalisée en tant que comédienne.
Aretina roa mety hahazo ny vehivavy avy niteraka ny « baby blues » sy ny « dépression post-partum ». Raha ny filazan’ny psykology Andrianilaina Koloina, ny « baby blues » dia alahelo mety mahazo ny vehivavy vao avy niteraka. Maro no mety ho antony : ao ny havizanana, ao ihany koa ny fahatongavan-tsaina hoe niova ny toe-batany na hoe tsy araka ny nieritreretany azy ny fiterahana, indrindra raha zaza voalohany. Mandalo ny baby blues ary tsy mihoatra ny telo herinandro ary afaka ho azy, hoy izy, fa miankina amin’ny toem-pahasalamana ara-tsain’ny vehivavy ny mampivadika ny baby blues ho aretina hafa. Rehefa tena mafy ny niatrehany fiterahana sy ny fananana zanaka dia mety miafara amin’ny « dépression post-partum » ka manilika ny zanany ary tsy te hikarakara azy, na koa ny « psychose puerpérale » izay mahatonga azy hanilika sy hanao toy ny tsy niteraka. Manamafy ny psykology fa ilaina ny fanampiana amin’ny manodidina mba tsy ho irery ary azo sitranina tsara amin’ny fanafody ireo aretina ireo.
Tsara ny mihinana sakafo vaovao noho ny mialon’andro. Ny ambina henan’akoho, ny ovy, ny olatra, ny vary, ny atody na ny sakafo misy atody, ny makamba dia tsy tsara afanaina intsony fa hanina mangatsiaka, mba tsy hankarary.
Le baby blues est un état dans lequel certaines mères qui viennent d’accoucher tombent malgré elles, surtout en cas de naissance du premier enfant. La tristesse, la peur de ne plus revoir son corps revenir à son état initial, la fatigue en sont généralement les causes. Le baby blues est un état passager, il ne dure pas plus de trois semaines, selon la psychologue Koloina Randrianilaina. Cependant, lorsque cet état tend à se prolonger, la mère souffre de dépression post-partum et peut rejeter son enfant et refuser de s’en occuper. Dans le cas de la psychose puerpérale, la mère peut agir comme si elle n’avait jamais accouché. A l’aide de traitement médical et d’accompagnement par la famille ou les amis, il est possible de retrouver une meilleure santé psychologique pour les mères qui passent par ces étapes difficiles.
Tous les aliments ne sont pas faits pour être réchauffés. Les restes de poulet, de pommes de terre, de champignons, de riz, d’œufs, de crevettes ne doivent pas être remis sur le feu, une fois qu’ils ont déjà été mis au frigidaire. Ils pourraient être toxiques et générer des maladies.
Non, l’état d’urgence est, en effet, une circonstance exceptionnelle permettant à l’Etat de prendre certaines dispositions, afin de maîtriser une situation préoccupante sur un territoire donné, à l’exemple de la pandémie de COVID-19. Cet état d’urgence s’est traduit, par exemple, par les différentes réquisitions, le couvre-feu ou encore les fermetures de frontières. Cela n’a rien à voir avec le respect ou non des gestes barrières. Ce dernier reste toujours en vigueur afin de prévenir la transmission de la COVID-19 et afin d’habituer les citoyens au respect de l'hygiène pour la préservation de la santé.
Midika ho fitsaharan’ny fihetsika sakana ve ny fahataperan’ny hamehana ara-pahasalamana eto Madagasikara ?
Tsia. Toe-draharaha manokana manome fahafahana sy fahefana ny fanjakana hampiasa na hampihatra lalàna manokana ny hamehana mba hampahomby ny fepetra raisina hiatrehana zava-tsarotra iray mihatra amin’ny firenena toy ny coronavirus. Isan’izany ohatra ny famerana ny ora fivezivezena amin’ny alina, ny fampiasana ny haino aman-jery tsy miankina, na ireo orinasa tsy miankina, ilay antsoina hoe réquisition. Tsy misy ifandraisany amin’ny fampanajana ny fihetsika sakana izany. Ity farany izay mbola manan-kery hatrany ho fisorohana ny fifamindrana ny aretina COVID-19 sy ho fanazarana ny olona amin’ny fahadiovana manoloana ny fahasalamana amin’ny ankapobeny.
Nahafahana nanangana fotodrafitrasa maro ilain’ny mponina amin’ny fiainana andavanandro ny fiaraha-miasan’ny Kaominina Ambanivohitra Ampitatafika, Alakamisy Fenoarivo ary ny fiarahamonimpirenena MSIS Tatao tao anatin’ny tetikasa Fampandrosoana Ifotony ao Anaty Mangarahara na FIAM. Isan’ny ifantohany ny fampandraisana andraikitra ny olompirenena mivantana izay mivondrona ao anaty rafitra ifotony fikaonan-doha, komity mpitantana fotodrafitrasa, mpanao tombana ny fangaraharana sy ny fanatanterahana tetikasa, sns. Tsapan’ireo mpitantana isan-ambaratongany fa mitondra fiovana izany ka hataon’izy ireo izay hampaharitra azy.
La collaboration entre la commune rurale d’Ampitatafika, celle d’Alakamisy Fenoarivo et de l’organisation de la société civile MSIS Tatao, dans le cadre du projet développement local dans la transparence, a permis de construire plusieurs infrastructures dont les habitants ont besoin au quotidien. La particularité de ce projet réside dans la participation citoyenne dans les concertations, la gestion des infrastructures, l’évaluation de l’exécutif sur la transparence et la mise en œuvre du projet. En remarquant les changements apportés par cette pratique, les responsables communaux souhaitent la perpétuer.
L’Union internationale de conservation de la nature (UICN) a rendu publique sa liste rouge, l’inventaire mondial de l’état de conservation des espèces végétales et animales, le 4 septembre dernier. Les spécialistes parlent d’un effondrement de la biodiversité. Madagascar n’est pas mieux loti. Dans la configuration actuelle, le pire serait encore à venir …
En danger critique (CR). Voilà le statut UICN du plus grand des Sifakas, le Propithèque à diadème. Sur l’échelle de l’Union internationale de conservation de la nature, le Propithèque à diadème n’est plus qu’à un niveau d’être considéré comme espèce éteinte. Il n’est qu’un exemple parmi tant d’autres à Madagascar, surtout en ce qui concerne les lémuriens. Presque la totalité des espèces malgaches connaissent une aggravation de leur statut. « C’est normal. On assiste actuellement à une destruction continue du milieu naturel, lance le primatologue Pr Jonah Ratsimbazafy. Nous n’avons plus actuellement que 10% de nos forêts naturelles. Avec un rythme de 35.000 ha détruits par an, nous n’aurons plus de forêt naturelle dans 35 ans. En 2020, 100.000 ha de forêt ont disparus ».
Espèces parapluies
Notre interlocuteur souligne le cas des lémuriens. « La tendance destructrice touchant les primates s’est particulièrement accélérée ces dernières années », indique-t-il, en faisant savoir que plus de 90% sont actuellement menacés, un triste record pour la Grande île. Le primatologue de rappeler qu’un grand nombre de ces espèces sont endémiques. « Ces espèces risquent tout simplement de disparaître d’ici quelques années. On voit cela partout. Les activités de l’Homme exercent une pression directe sur l’habitat de ces animaux », explique-t-il, en précisant que les lois existent mais qu’elles ne sont pas appliquées.
Par ailleurs, il attire l’attention sur la pauvreté qui contribue grandement à cette tendance destructrice. La dépendance de la population à la forêt est encore trop élevée. Pour lui, la pauvreté constitue une cause indirecte à la situation qui prévaut actuellement. Comme solution, il préconise ainsi une alternative à cette pauvreté aux côté de l’éducation et de la sensibilisation. La promotion de l’écotourisme, pour lui, est une piste intéressante pour protéger ce qui reste. En ce sens, il indique que les lémuriens constituent des « espèces parapluies » par excellence. « En protégeant les lémuriens, on protège d’autres espèces grâce à la préservation de leur habitat », précise-t-il. Il est également d’avis que les lois doivent être renforcées et surtout appliquées.
La mise à jour de la liste rouge de l’UICN fait état de 28% d’espèces menacées dans le monde. Pour le Pr Jonah Ratsimbazafy, cette liste est un signal d’alerte qu’il faut prendre en compte pour ne pas à avoir à le regretter.
Tolotra Andrianalizah
Perdre du poids ou en prendre, le débat est facilement engagé. Cependant, à chaque corpulence, tranche d’âge et masse osseuse, correspond un poids idéal. En se conformant aux normes des indices de masse corporelle, pour les hommes comme pour les femmes, il est recommandé de ne pas tomber en surpoids afin d’éviter de contracter des maladies.
Selon le professeur Randriamanantany, les anticorps servent à protéger le corps pour éviter les infections. Cependant, certains anticorps génèrent pourtant des maladies. Les sujets atteints de maladies congénitales et séropositifs ont des anticorps faibles. Il en est de même pour ceux qui intègrent une faible consommation de protéines qui se retrouvent avec des anticorps faibles. Pour traiter ces sujets, une injection d’anticorps s’impose.
Ilaina fitandremana ny lanja sahaza ny tena mba tsy ho mora andairan’ny aretina. Indraindray mety ho ngeza loatra na kely loatra ihany koa. Azo atao ny mijery ny indice de masse corporelle, na ho an’ny lahy na ho an’ny vavy mba hifehezana ny vatana tsy hihoatra ny lanja tokony ho izy.
Ny profesora Randriamanantany kosa dia manazava ny momba ny hery fiarovana hita anatin’ny ra na ny hery fiarovana na anticorps sy ny asany ao anaty vatana. Marihiny fa ny hery fiarovana no miaro ny vatan’ny olombelona mba tsy hidiran’ny trangan’aretina, fa misy ihany koa ny karazana hery fiarovana mahatonga aretina ho an’ny olombelona. Raha manana aretina hatrany am-bohoka na koa voan’ny Sida ny olona iray dia mihena ny hery fiarovany. Raha ny filazan’i profesora, ny olona tsy dia mihinana “protéines” ihany koa dia somary marefo raha mihoatra ireo mihinana izany satria midina kely ny hery fiarovany. Rehefa tena tsy ampy kosa ny ity farany dia azo atao ny “injection d’anticorps” hanampiana azy.
Fomba iray hahafahana mamoha ny saina tia karokaroka sy ny fahaiza-mamorona ananan’ny ankizy ny fampianarana azy ny mikirakira informatika, ary indrindra fa ny fampianarana azy mampiasa sy mandrafitra rafibaiko amoahany ny zavatra mahaliana azy. Izany indrindra no tanjon’ireo mpampianatra izay namolavola ny programa Our KidsPreneur, programa hampianarana ireo ankizy hanana sahady ny kolontsainam-pandraharahana. Isan’ireo dingana ao anatin’ity programa ity ny hamoha ny fahaiza-manao sy fahaiza-mamorona ananan’ireo ankizy manaraka izany.
Apprendre l’informatique aux enfants et notamment les initier au développement d’application pour laisser libre cours à leur imagination est une des nombreuses méthodes pour stimuler leur créativité et leur curiosité. C’est d’ailleurs l’objectif des éducateurs initiateurs du programme Our KidsPreneur, un volet d’apprentissage de la culture entrepreneuriale pour les enfants, qui ont misé sur la stimulation de la créativité et de la curiosité des enfants dans leurs programmes.
Mitaky traikefa sy fahaizana ny fiasana eny an-tsaha : fahavononana sy fivelaran-tsaina. Kanefa tsy dia sarotra ny mitana angady ary azo ianarana, raha ny filazan’i Razarielina Stéphane, mpamboly avy eny Ambohidratrimo. Ny asa fambolena sy fiompiana no nitodihany, rehefa nahatsapa izy fa tsy dia tena lasa lavitra loatra tamin’ny fianarana. Mahafinarira azy manokana ny fifampizarana eny ambanivohitra na dia misedra olana noho ny fisian’ny mpangalatra eny an-toerana izay maka ny vokatra indray mi-pimaso. Fa na izany aza dia manentana ny tanora izy hivelona amin’ny fambolena fa sehatra asa azo antoka fa tsy ho faty na oviana na oviana raha ho azy.
Raharinaivo Jucelin, tantsaha nitondra avo ny lazan’i Madagasikara tamin’ny alalan’ny fitaovana manampy amin’ny fambolem-bary, no hiresaka ny mampiavaka ny asan’ny ingénieur agronome. Afaka miasa tena ary tena mirotsaka an-tsehatra izy ireny raha ny filazany, kanefa afaka miasa anaty birao sy manatanteraka tetikasa ihany koa rehefa manana fahaiza-manao ny saina sy ny vatana.
Travailler dans un champ nécessite de la motivation et un esprit ouvert. Selon Stéphane Razarielina, agriculteur à Ambohidratrimo, il est possible de recourir à l’agriculture en cas de reconversion professionnelle. Toujours d’après lui, la vie à la campagne priorise l’entraide entre agriculteurs. Cependant, l’insécurité demeure un problème car les cultivateurs peuvent se retrouver sans rien du jour au lendemain. Néanmoins, il sollicite les jeunes à se focaliser sur l’agriculture.
De son côté, Jucelin Raharinaivo nous explique l’importance du métier d’ingénieur agronome.